All language subtitles for Aerobicide (1986) (Aka Killer Workout) French Fansub 25fps LT.TM

Salut, chérie, c'est ta tante,
rappelle-moi dès que possible.

Tu ne vas pas le croire,
mais j'ai trouvé un type...

?...?

Salut, Valérie, tu as le travail.

Tu décolles demain matin pour Paris pour...

Salut, Valérie, tu as le travail.

Tu décolles demain matin pour Paris
pour une séance photo.

Rhonda m'a dit que c'était une occasion unique,
alors assure-toi d'y aller. Au revoir, ma belle.

- Quelle est l'urgence ? Tu es ravissante.
- Pas maintenant, Tommy, je suis en retard.

Allez, Tommy, c'est pas drôle.

- Dis-moi une chose.
- Quoi ?

À quoi sert cette fermeture, chérie ?

Je te laisse imaginer.

- Rhonda, pourquoi pas ce soir ?
- Non, Jimmy.

- Et demain soir ?
- Écoute !

Pas ce soir, pas demain soir,
ni aucun autre soir.

Combien de fois je vais devoir le répéter ?

Eh bien, bonjour.

Désolée d'être en retard,
j'ai fait au plus vite.

Dans mon bureau.

- Rhonda...
- Dans mon bureau !

Alors, c'est quoi cette fois ?

Je suis en retard, je suis désolée, ok ?

Non, c'est pas ok !

J'ai dû prendre sur mon temps pour m'occuper
de ta classe, au lieu de faire les comptes.

Et tu arrives 5 minutes après
la fin de ton cours ?

Je ne suis pas du même avis.

Je suis désolée, ok, Rhonda ?

Jaimy, ça ne peut pas continuer comme ça.

Cet endroit est trop important pour moi.

J'ai dit que j'étais désolée,
ça n'arrivera plus.

J'ai passé une mauvaise journée.
Commence la fermeture.

Compris.

Et je vais t'inviter à dîner, ok ?

D'accord. Maintenant, sors d'ici.

Hé, tu vas fondre si tu ne sors pas de là.

Je réfléchis mieux là-dedans.

Tu dois vraiment beaucoup réfléchir.

Je dois y aller, je te retrouve
chez moi à 9 heures.

Ok, je serai là.

Je vais te montrer à quoi sert cette fermeture.

Rejoins-moi au club, à 10 heures.

J'y serai...

si tu as de la chance.

- J'ai toujours de la chance.
- Mon Dieu.

- À plus tard.
- Salut.

Cathy ?

Cathy, c'est toi ?

Qui c'est ?

Qui est là ?

Qu'est-ce que tu fais ?

Rien.

C'est pas grave.
Je ne veux rien savoir.

Pourquoi tu ne fermes pas qu'on
puisse aller à ce dîner, ok ?

Ok.

Mon Dieu !

À vous de jouer, lieutenant.

Qu'est-ce que vous pouvez me dire
sur cette Rachel McClee ?

Allez, on a passé les trois dernières heures
à répéter les mêmes choses à d'autres flics.

Je ne suis pas les autres flics !

Je suis le Lieutenant Détective Morgan,
en charge de cette enquête.

Retenez bien mon nom,
vous allez me voir souvent.

Et si on doit parler de ça pour encore trois
heures de plus, c'est ce qu'on va faire.

Elle était si jolie...

Plus maintenant.

Vous la connaissiez bien ?

Pas vraiment.

Elle venait quelques fois par semaine,
on se disait bonjour / au revoir, c'est tout.

Vous avez déjà vu ça avant ?

- C'est ce qui l'a tuée ?
- Peut-être.

Parlez-moi de Diane Matthews.

Pourquoi ?

Parce que ça a été retrouvé dans son casier.

Et le corps aussi,
au cas où vous ne l'auriez pas remarqué.

Maintenant, parlez-moi d'elle.

C'est une bonne cliente.
Elle est cliente depuis près d'un an.

Du genre calme.
Je n'ai jamais eu aucun problème avec elle.

Il me faut plus que ça.

Elle est plutôt timide,
elle ne se mêle pas aux autres.

Un peu jalouse aussi, je crois.

De quoi ?

Je ne suis pas vraiment sûre,
je trouve que ça ne colle pas.

Je l'ai vue dans quelques bars,
elle est toujours assise seule.

Elle semble nous observer.

Je suppose que ce sera dans
les journaux demain matin.

Ça vous dérange ?

Ça ne va pas arranger les affaires.

Les affaires...

Je suis associée.

L'autre associé doit être prévenu.

Vous allez me voir souvent.

Je suis impatiente.

Ouais.

Non, sérieusement ?

Sérieusement, ici même, la nuit dernière.

- Vraiment ?
- Ouais.

Un malade l'a découpée en morceaux
et enfermée dans son casier.

Il l'a sautée avant ?

Je ne sais pas, mais...
Je l'aurais fait.

- Elle était canon.
- Ouais.

Il est presque 8 heures et demi.

Je ferais mieux d'aller me doucher ou
je vais être encore en retard au travail.

- Tu viens ?
-

- On se verra là-bas.
- Ok.

Debbie, tu peux t'occuper de la classe ?
Merci.

- Salut, Rhonda.
- Qu'est-ce que tu fais ?

Les affaires vont déjà assez mal.

Quoi ?

Contente-toi de donner ton cours au lieu
d'exhiber tes seins et ton petit cul, compris ?

Qui êtes-vous ?

Salut, je suis Chuck Dawson.

J'étais juste...

Qui êtes-vous ?

Rhonda Johnson, la propriétaire de cet endroit.

Vous avez trouvé ce que vous cherchiez ?

On, non, vous ne comprenez pas, je...

Il n'y avait personne,
alors j'ai pensé que si je regardais un peu

j'aurais meilleur aperçu de cet endroit.

Un meilleur aperçu...

Si vous voulez un bon aperçu, essayez
Hollywood Boulevard. Maintenant, dehors.

C'est bon, c'est très drôle,
mais vous ne comprenez pas. Ok ?

Je commence à travailler ici aujourd'hui.

Pas possible.

Allez, ce n'est pas une façon de commencer
une bonne relation de travail. Voilà.

C'est de votre associé, Mr Ericson.

Il m'a engagé hier.

Quoi ?

Tout est clair, maintenant ?

Oui, c'est très clair.

Super, par où je commence ?
Je suis impatient de commencer travailler.

Les toilettes des hommes
ont besoin d'un nettoyage.

D'accord.

C'est quoi ton problème ?
Tu as failli m'écraser.

Un problème ?
Je n'ai aucun problème.

Tu es nouveau ?

J'ai commencé aujourd'hui.
Tu es qui ?

Quelqu'un qui va te donner un bon conseil.

- Vraiment ?
- Oui.

Je suis impatient d'entendre ça.

Ne t'approche pas de Rhonda.

Dégage.

Tu ne sais pas écouter, pas vrai ?

Ne t'approche pas d'elle
ou je vais te massacrer.

Morceau par morceau.

Tu viens de faire une erreur.

Allez !

Allez !

La prochaine fois, je t'achève !

Wow, c'était cool.

- Tu as vu ça, pas vrai ?
- J'en ai vu assez.

On se connaît ?

- Je suis Debbie.
- Je suis Chuck.

Tu veux aller faire un tour ?

C'est la meilleure proposition de la journée.

Merci, monte.

Alors, tu fais de l'aérobic depuis longtemps ?

Un peu plus d'un an.

Qu'est-ce que tu sais de ce Jimmy Hallik ?

J'ai été assez stupide pour sortir avec lui.

Pourquoi tu dis ça ?

Ce mec est bizarre.

Je veux dire, il aime attacher les filles
et faire des trucs bizarres.

Tu sais, c'est cool de faire
des trucs cochons des fois, mais...

Ce type se comporte bizarrement.

Tu as son adresse ?

Pourquoi, tu veux sortir avec lui ?

Non, pas vraiment, je veux juste
lui rendre visite plus tard.

Je vais la chercher.

Je voulais aller me changer de toute façon.

Ne t'avise pas de partir,
je reviens tout de suite.

Mr Ericson ?
Ici Chuck Dawson.

Oui, oui, je suis au courant.

Non, je n'en ai pas eu l'occasion,
mais j'y travaille.

Oui, je sais que je suis payé pour ça.

Écoutez, ne vous inquiétez pas, ok ?
Je dois raccrocher.

D'accord.

- Voilà l'adresse de Jimmy.
- Super.

Et... merci pour le verre.

Tu ne vas pas partir tout de suite, pas vrai ?

Je ferais mieux.

Je dois retourner à la salle de gym,
j'ai du travail à faire.

Tu as aussi beaucoup de travail à faire ici.

- Tu crois ?
- A toi de voir.

Salut, Jimmy.

Salut, Diane.

- Tu fais quoi ce soir ?
- Je sais pas, et toi ?

Je n'ai rien de prévu.

C'est dommage.

- Morgan au central.
- Allez-y, Lieutenant.

Vous avez les résultats du labo
sur cette aiguille à tricoter ?

- Pas encore, où êtes-vous ?
- Ne vous inquiétez pas pour ça.

Allez au labo et dites à cet intello...

que s'il n'a pas les résultats dans 30 mn,
je vais faire une autopsie sur son visage.

- Compris ?
- Oui, monsieur, quel est votre location...

- Faites-le.
- Oui, monsieur.

Bonjour.

Ici Diane Matthews, j'ai reçu des messages ?

Aucun ?

Merci.

Qui c'est ?

Qui est là ?

Ouvrez !

Ouvrez la porte !

Ouvrez !

Ouvrez la porte !
Police !

Central au lieutenant Morgan.
Répondez, lieutenant.

Ici Morgan, c'est à quel sujet ?

Je viens de recevoir les résultats sur
l'aiguille à tricoter de Diane Matthews.

Ce n'est pas l'arme du crime.
Je répète : ce n'est pas l'arme du crime.

Oh, merde.

Bonjour ?

Il y a quelqu'un ?

On ferme !

Bonjour ?

C'est pas drôle, Jimmy.

Ne refais jamais ça.

Je ne voulais pas te faire peur.

Tu ne m'as pas fait peur.

Détends-toi, je ne suis pas un tueur fou.

Arrête ça !

Écoute, je voulais juste te voir seule.

Je sais que tu n'es pas le tueur, Jimmy...

mais tu es un connard.

Tais-toi, idiote !
Tu as amené ce qu'il fallait ?

C'est tes bombes de peinture,
tu te rappelles ?

Ouais...

La voie est libre, allez !

Ils vont flipper en voyant ça !

Allez, une voiture arrive !

- Où est Curtis ?
- Cet imbécile a dû se faire attraper.

- On devrait aller le chercher.
- Pas nous, toi...

je retourne à la voiture.

Curtis ?

Curtis, c'est toi ?

Curtis ?

Curtis, où es-tu ?

Mon Dieu !

À plus tard, Brad.

Merde !

Merde !

Attends, je n'ai rien fait !

Tu travailles ici depuis hier ?

Oui, c'est ça, lieutenant.

Je suppose que ce n'est qu'une simple coïncidence
que tu sois arrivé au moment...

du massacre.

Je suppose.

Pourquoi je ne te crois pas ?

Je ne sais pas, j'ai toujours cru
avoir un visage honnête.

Tu vois, c'est parce que tu as étalé
ce gars comme un pro, pas vrai ?

Non, c'était facile.

D'accord.

Je ne sais pas ce qu'il y a avec toi,
mais je vais le découvrir.

Tu peux compter là-dessus.

- Salut, Tom.
- Jaimy.

Je... Je n'ai pas...

- Je n'ai pas...
- Ça va, Tommy, ça va.

Qu'est-ce qui se passe ?

Je vais te montrer à quoi sert
cette fermeture.

Attends... écoute...

Chut, détends-toi, Tommy.

Au revoir, Tommy.

Réveille-toi, mon grand.

Ce gars t'a sacrément tabassé.

- Des menottes ?
- C'est provisoire.

C'est arrivé si vite...

Tu ne te rappelles pas avoir été retrouvé dans
la même pièce que deux hommes morts ?

Du calme !

On n'en a pas fini avec toi.

Je reviens tout de suite.

Et n'essaies rien de stupide...

- Il y a un officier devant la porte.
- D'accord.

À demain matin, lieutenant.

On dirait que les choses ont vraiment
dégénéré depuis que tu es ici.

Ouais, ça en a tout l'air, pas vrai ?

Je veux vous parler.

Oui, on est deux.

Je viens de parler à mon associé.

J'allais le supplier de me laisser
garder cet endroit ouvert.

Mais il voulait déjà rester ouvert,

et je n'arrive pas à comprendre pourquoi.

Il doit y avoir une raison.

Je sais très bien qu'il y a une raison !

Je veux juste savoir ce que c'est.

Vous êtes plutôt habile avec cette chose.

Ce que je suis, c'est exaspérée.

Et je veux des réponses.

Je veux savoir ce que vous faites pour ça

parce que je ne vous vois rien faire de plus

que de traîner ici en vous comportant
comme un flic de la télé.

La moitié de mes clients ont été tués.

et l'autre moitié annulent leurs abonnements.

Puis-je ?

Vraiment aiguisé.

Tout comme votre esprit, pas vrai ?

Je ne fais que mon travail, Mlle Johnson.

Et c'est quoi votre travail exactement,
lieutenant ?

Avez-vous moins un suspect ?

En fait, j'en ai plusieurs.

C'est le mobile que je n'arrive pas
à déterminer, mais je trouverai...

Je trouverai.

Je suis rassurée.

L'officier Peterson va rester ici ce soir
pour surveiller cet endroit.

Si ça ne vous dérange pas.

Bien.

Bien, je commence à être à court
de sacs mortuaires.

Rhonda, tu vas bien ?

Oui, Jimmy, je vais bien.

Je suis aussi très occupée.

Si tu n'as pas remarqué,
il y a eu beaucoup de problèmes ici.

Je sais.

Je peux aider, Rhonda.

Je ne crois pas, Jimmy.

Faites une ronde toutes les heures.

Compris, lieutenant.

Allez !

Où est-il ?

C'est à moi de poser les questions, Charly.

C'est Charly, c'est ça ?

Charly Dawson, détective privé.

Je savais que quelque chose
clochait avec vous.

L'affaire Simpson, c'est ça ?
Il y a cinq ou six ans.

Plutôt sept.

Qu'est-ce qui se passe ici ?

Vous allez parler, Charly,
ou je dois vous arrêter ?

Il va s'enfuir et vous échapper.

On va l'attraper.

Pour l'instant, je veux entendre
toute l'histoire, et immédiatement.

On est deux.

Ok, on arrête de jouer.

Votre associé m'a appelé à San Francisco,

le lendemain du premier meurtre.

Il voulait que je vienne voir ce qui se passe.

Et ça inclus de m'espionner
au milieu de la nuit ?

Je n'étais pas là pour vous espionner,
j'étais là pour vous sauver.

D'accord...

Ce type, Jimmy...

il se comportait de manière étrange,
vous voyez,

vraiment pas normale.

Un peu plus tard,
je suis allé à son casier...

et j'ai trouvé ça.

- Mon Dieu...
- Elles sont de vous.

Au club, chez vous,

en train de monter en voiture, dans la rue,

toutes de vous.

Il insistait toujours pour que
je sorte avec lui, mais...

Je n'aurais jamais pensé qu'il était comme ça.

- Vous l'avez fait ?
- Quoi ?

- Êtes-vous sortie avec lui ?
- Non, jamais.

Ce n'est pas tout.

Plus tôt dans la soirée,
je me suis introduit dans son appartement.

Devinez qui a des photos d'elle
sur tous les murs ?

Moi.

Exactement.

Quel genre de photos ?

Des photos...

Après ça, j'ai pensé qu'elle était la prochaine,
alors je suis venu ici.

Et demain, vous partez.

Vous retournez à San Francisco, compris ?

Il est à vous, lieutenant...

mais vous feriez bien de l'attraper.

Vous feriez bien de l'attraper maintenant.

Tu te décides enfin à laver
ton linge, hein Cathy ?

Je pars d'ici pendant que je suis
encore en un seul morceau.

Si tu avais quelque chose dans la tête,
tu ferais la même chose.

Hé, je plaisantais.

Où est Jaimy ?
Je veux lui dire au revoir.

Elle était là il y a une minute,
sûrement dans la salle d'aérobic.

Jaimy ?

Jaimy !

Mon Dieu !

C'est interdit par la loi, Dawson.

Je pensais vous avoir dit de partir.

Oui, je vais partie, ok ?

Je suis venu récupérer quelques affaires
que j'ai laissées à l'intérieur. Ça vous va ?

Pourquoi ne pas vous servir des clés ?

Lieutenant Morgan, répondez,
lieutenant Morgan.

- Ici, Morgan.
- J'ai le rapport sur Johnson.

- Alors ?
- Vous feriez mieux de venir en personne.

J'arrive.

- Lieutenant.
- Mlle Johnson.

Alors ?
De quoi il s'agit cette fois ?

Lieutenant.

Asseyez-vous, Valérie.

Valérie Johnson...

C'est votre vrai nom.

Ça l'était...

Je l'ai changé légalement.

Vous voyez, après la nuit dernière,

j'étais quasiment convaincu que
Jimmy Hallik était le coupable.

Oh, il n'est pas net...

mais ça ne colle pas, le mobile...
ça n'a pas de sens.

Il y a deux dénominateurs communs
à tous les meurtres.

Toutes les victimes sont membres du club.

Le deuxième, je n'arrivais pas à le déterminer
jusqu'à aujourd'hui.

Elles étaient touts jolies, très attirantes,

et en pleine forme...

des corps parfaits, je dirais.

- Toutes sauf moi.
- Toutes sauf vous.

Rhonda Johnson...

qui était la belle et parfaite
Valérie Johnson...

jusqu'à ce que 70% de son corps soit brûlé
dans un accident de solarium

- il y a 5 ans.
- Ça suffit !

Valérie Johnson, aurait pu devenir
un modèle de grande renommée...

mais subitement, elle ne pouvait plus trouver
de travail à part dans une foire aux monstres.

Qu'est-ce que vous voulez Morgan ?

C'est ce que vous voulez voir ?
C'est ça ?

Ce n'est pas nécessaire.

Vous avez découvert mon terrible secret.

Et après ?

Ce ne veut pas dire que j'ai tué ces gens.

Je pense que si.

Je pense que ça vous a consumée de l'intérieur
de voir tous ces magnifiques corps...

en sachant que vous allez devoir
passer votre vie à cacher le vôtre

et que tout homme essayant de vous
faire l'amour en serait malade.

Enfoiré...

Je ne fais que mon travail.

Vous ne prouverez jamais rien...

parce que je n'ai rien fait.

Central à Morgan, répondez,
lieutenant Morgan.

- Qu'est-ce qui se passe ?
- Chuck Dawson est mort...

même mode opératoire.

- Quand ?
- C'était Jimmy Hallik.

On a deux témoins et l'arme du crime.

Il est toujours en fuite,
toutes les patrouilles sont à sa recherche.

Lieutenant ?

Lieutenant, vous êtes là ?
Répondez, Lieutenant.

Lieutenant Morgan ?

Plus un geste, Hallik !

Arrête-toi, Hallik,
tu es en état d'arrestation !

Jette ton arme !

Allez !

Pourquoi tu l'as tué,
pourquoi tu as tué Chuck Dawson ?

Pourquoi tu l'as tué ?

Tu n'as pas tué les autres, pas vrai ?

Tu sais que Rhonda a commis
tous ces meurtres...

et tu te fais accuser à sa place, pourquoi ?

Réponds-moi, Jimmy Hallik,
réponds-moi, maintenant !

C'est elle qui les a tous tués ?

C'est elle ?

Pourquoi tu as tué Dawson ?

Parce que je t'aime.

Je ne pouvais pas le laisser te faire du mal.

Ce n'est pas une voiture de police.

Vous avez raison, Mlle Johnson,
c'est une voiture de location.

Je ne comprends pas.

J'avais un dîner de prévu et vous arrivez

et m'emmenez pour ce que vous appelez
une affaire de police urgente.

Fermez-la et sortez de la voiture.

Dites-moi, Morgan...

Kidnapper des femmes fait partie
des habitudes de la police ?

On va dire que oui, aujourd'hui.

Cette pelle, c'est pour quoi faire ?

On va chercher des restes humains
ou dénicher un trésor ?

Vous allez bientôt le découvrir.

Très bien, Morgan...

assez joué.

Je ne vais pas plus loin à moins que
vous me disiez ce qui se passe.

Cette endroit va faire l'affaire.

Ok, lieutenant...
Qu'est-ce qu'on fait ici ?

Mon père était le propriétaire.

Il allait s'installer ici après
avoir pris sa retraite.

Ça n'est jamais arrivé.

Un voyou qu'il a arrêté
pour excès de vitesse...

lui a tiré dessus.

30 ans dans la police...

30 ans...

et c'était fini...

juste comme ça.

C'est vraiment touchant, lieutenant...

mais quel est le rapport avec moi ?

Fermez-la et écoutez,
je n'ai pas encore fini.

Mon père était un honnête homme...

un homme exemplaire,
il a passé sa vie à faire respecter la loi...

et m'a appris à faire de même.

"La différence...

entre le bien...

et le mal...

la frontière est bien fragile",
il me disait toujours.

Et un jour...

il y a 25 ans...

il a franchi cette frontière.

Il y avait eu une dizaine de meurtres
en une semaine.

"L'étrangleur de minuit", ils l'appelaient.

Mon père savait qui c'était.

Il l'a attrapé.

Mais le tribunal l'a libéré
à cause d'un détail pénal...

et les meurtres ont recommencé.

Quelques semaines plus tard...

l'homme a disparu.

Mon père n'en a jamais parlé...

mais je savais que c'était lui...

je savais ce qui s'était passé.

Qu'essayez-vous de dire ?

Ce que je dis, Mlle Johnson...

c'est qu'aujourd'hui,
je vais franchir cette frontière.

Vous êtes fou, Morgan,
vous avez perdu la tête !

Je suis fou ?

Vous avez tué 12 personnes, peut-être plus.

Et vous me dites que je suis fou ?

Je n'ai pas tué ces gens.

J'ai tué Jimmy Hallik en légitime défense,
c'est tout.

Lisez les journaux.

Oh, je les ai lus...

j'ai entendu les informations...

et je connais la position du département.

"Rhonda Johnson a tué le tueur fou
en légitime défense".

Toute la ville est convaincue
que vous êtes une héroïne.

Je ne sais pas comment vous avez
planifié ça, je ne sais vraiment pas.

Peut-être que ce n'était pas prévu.

Peut-être que vous avez juste eu la chance

qu'un autre fou vous tire
d'affaire au bon moment.

J'en suis convaincu.

Je sais que c'est vous.

Vous avez tort, Morgan.

Vous avez tort et vous êtes fou !

Vous n'avez pas pu résoudre les crimes...

alors votre ego de flic
n'a pas pu le digérer.

Je sais que c'est vous.

Et vous le savez aussi.

Si je vous laisse partir,
vous allez recommencer.

Je ne peux pas laisser ça arriver.

Vous avez perdu la tête.

Vous ne pouvez pas m'amener ici et me tuer.

Vous ne pouvez pas faire ça.

Vous vous prenez pour qui ?
Un justicier investi d'une mission divine ?

Non...

Juste un homme...

qui rend la justice.

Le moment est venu.

Je sais que mon père comprendra.

Salut, Rhonda !

Rhonda, je ne m'attendais pas
à te voir aujourd'hui.

Je ne peux pas rester, je suis juste venue
chercher mon double de clé et je m'en vais.

Ok, écoute ça.

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Inscrivez-vous cette semaine et obtenez
deux abonnements pour le prix d'un.

Les 50 premiers membres reçoivent
une tenue d'aérobic complète.

Qu'est-ce que t'en penses ?

Oui, c'est super.

Pourquoi tu n'emmènes pas ça
au journal avant que ça ferme ?

J'y vais.

Avant la fin de la semaine,
cet endroit sera rempli de corps fabuleux.

Je compte là-dessus.

Traduit par psykopeon pour LaTeam@TaMère