All language subtitles for Le.Sang.de.la.Vigne.2011.S04E02.Vengeances.Tardives.en.Alsace.fr

Je sais.

T 'attends mon papier sur le veine.

Il va falloir que tu patientes encore un peu.

Il faut savoir finir une enquête, Odile.

J 'ai des éléments nouveaux.

Tu le regretteras pas.

Je te laisse jusqu 'à la fin de la semaine.

Ok.

Ça va?

Pas de problème spéciaux?

Ah non non, tout va très bien.

Odile.

T 'inquiète.

Je te laisse jusqu 'à la fin.

Je te laisse jusqu 'à la fin de la semaine.

Donne -le!

L 'appareil de bol.

Une chance sur Aminou pour que ça arrive.

C 'est ce jour d 'accident, et encore quand il y a du vent.

Le coffe de sa voiture a été forcé.

La mi -tate l 'a été ratissée.

On n 'a rien trouvé à l 'intérieur de ces clubs de golf.

C 'est tout étrange, non?

C 'est autant qu 'elle était journaliste.

Journaliste?

Tention, t 'es raminée.

Il attendait pour faire un parcours de golf.

Mais il sonnait le pauvre.

Je m 'en occupe.

Je vais interroger tous les joueurs qui étaient sur le parcours à l 'heure de

la mort.

Ok.

J 'ai bien fait de venir.

Il y a des lotes de qualité.

Ouais, ouais.

Ben, ou quoi?

Non, mais tu sais, dans ce genre de vente aux enchères...

Difficile de savoir d 'où proviennent les flacons et comment ils ont été

stockés.

J 'avertirais mes clients chinois.

Et puis, les commissaires -priseurs sont assez remontés.

Tu fais semblant de l 'avoir oublié,

ou c 'est ma reconversion qui te pose problème?

Ben, qu 'est -ce qu 'il faut pas entendre?

Dis -moi, dernière nouvelle.

T 'es toujours unologue, ou je me trompe?

Oui, mais la vente de grande rue me plaît.

On y rencontre plein de gens passionnants.

Sans parler de l 'aspect pécuniaire.

Et alors?

Y a pas de honte à gagner de l 'argent.

Et puis, j 'ai envie de diversifier mes activités.

Explique -moi pourquoi ça t 'énerve.

Excuse -moi.

Oui?

Monsieur Lebel, Lieutenant Bourry,

section scientifique d 'enquête de la gendarmerie de Strasbourg.

Attendez, qui t 'est pas, hein?

Qui t 'est pas?

Oui?

Vous connaissiez une journaliste nommée Odilsic, je crois?

Enfin, connaître, c 'est un grand mot.

On s 'est parlé une fois au téléphone.

Oui, on a retrouvé la trace de cet appel dans son portable.

Oui.

Odilsic, c 'est mort le lendemain.

On a de bonnes raisons de croire qu 'il s 'agit d 'un assassinat.

Quel était le sujet de son appel?

Elle préparait un article pour traiter sur un de mes clients.

Edgar Leven.

Donc elle cherchait des informations.

Quel genre d 'informations?

Son ordinateur a disparu, peut -être que sa mort est liée à cet article.

Oui, ça, je peux pas vous aider.

Je n 'ai pas accédé à sa demande.

Je ne donne jamais aucune information sur mes clients.

Ok, mais par la suite, elle vous a pas confié une copie de cet article?

Pour corriger certaines erreurs, par exemple?

Non, pas ma connaissance.

Bon, si vous pouviez vérifier dans vos mails,

on cherche ce document pour le verser au dossier d 'enquête.

Bon, ben écoute, entendu, je le fais.

Euh, excuse -moi.

Je suis désolée de t 'avoir dérangé.

Je n 'aurais jamais pu charger ça toute seule.

Et ben, jamais, si vous l 'utilisez juste avant la vente.

Ouais, mais pas de problème, je suis content de vous voir.

Bon, on dirait pas?

Tu finis de ses têtes.

Bon, ben, raconte -moi ce qui te chagrine.

Il y a quelques semaines, j 'ai posé ma candidature comme anologue.

On emmène ta bernasse.

Et tu n 'as pas été retenue?

Ah si, justement, j 'ai reçu une réponse positive.

Et c 'est génial!

Ta bernasse, tu n 'es plus belle pour priorité d 'Argentine.

Tu devrais être foutre -joint.

Ouais, je l 'ai su, hein.

Ouais, je l 'ai su.

J 'ai postulé un jour où Benjamin avait particulièrement énervé.

Vous le connaissez quand elle a décidé d 'être gonflant, là?

Oh, oui!

Ça peut décourager, c 'est plus fidèle à poudre.

Et maintenant, ça te dit plus rien, l 'Argentine?

Moi, j 'adore bosser avec Benjamin.

En plus,

je vais lui demander une semaine de congé pour aller voir le domaine de ta

bernasse.

Je sais pas comment je vais lui présenter ça, moi.

Eh, en prenant ton courage à demain, mon petit vieux.

Benjamin a trop l 'habitude que rien ne bouge autour de lui.

Pense à toi, c 'est ta vie.

Ah, c 'est vrai que vous avez raison.

Puis ça, là, quoi, j 'ai rien fait de mal.

Vous savez quoi?

Dès que j 'ai l 'occasion, je vais le voir et je vais lui dire,

moi et Benjamin.

Le profit de son?

Voilà.

Ça va?

Merci de m 'avoir laissé tomber.

Non, mais j 'avais une chose à vérifier au bureau.

Un petit voyage en Alsace pour me faire pardonner, ça te dirait.

J 'ai des clients à voir, là -bas.

Je sais pas.

C 'était toujours prévu pour la semaine prochaine, non?

Euh, oui.

Sinon, alors, il faut que j 'avance mon départ, là.

J 'ai reçu un coup de fil de la gendarmerie de Strasbourg.

Ils ont besoin de mon témoignage dans une affaire de meurtres.

Et tu ne peux pas le faire par téléphone, bien sûr.

Tu préfères y passer et jeter un œil, hein?

Enfin, finalement, toi aussi, t 'es en plein de reconversion.

Euh, détective onologue a sa fraîtré chier sur tes cartes de visite.

Franchement, pas de mauvaise foi.

Si je vais la passer parce que j 'ai de bonnes raisons d 'y aller,

t 'expliquers en haut.

T 'allons, on part demain.

Tu, part demain?

Moi, je ne suis pas libre.

Mais avant tes enchères, durant encore deux jours.

Bon.

Et il n 'est pas libre, non plus.

Mais comment ça n 'est pas libre, non plus, pour quelle raison?

Non, non, non, non.

J 'avais un truc de prévu, mais...

Je vais le déplacer, c 'est rien, ça.

Voilà.

T 'es libre?

Oui.

Bien sûr.

Bien sûr.

Oui, je vais m 'occuper des questions.

Cette journaliste qui est morte, là, au deal 6, tu la connais?

Je m 'ai entendu parler.

Pourquoi?

Non, quand elle m 'a appelée pour m 'interroger sur le veine,

elle m 'a dit qu 'elle aurait bien aimé te parler à toi aussi.

Tu aurais pu me le dire?

Bonjour, pas de l 'essuie, de toute façon.

C 'est pas une raison.

Ça fait dit pourquoi?

Non, mais j 'ai senti qu 'elle était à croix,

alors j 'ai fini par accepter un rendez -vous à Strasbourg la semaine

prochaine.

Elle m 'a répondu que ça, je suis peut -être trop tard.

Elle devait parler de son article.

Tu n 'as pas senti responsable de sa mort, quand même?

Non, bien sûr que non.

Elle a été tuée de l 'endemain de cet appel, je veux savoir s 'il y a ailleurs.

Prenez -moi d 'être prudent.

Vous connaissez?

Justement.

Avant, si tu m 'accompagnais, tu serais plus tranquille.

Je ne perds pas le nord.

Maintenant, je ne peux vraiment pas.

Cette vente est importante pour moi.

Mais je sais.

Je sais, je sais.

On n 'écoutait rien de tenter le coup.

Edgar Leven est un gestionnaire de patrimoine franco -luxan -bourgeois.

Leven, c 'est sur lui que la journaliste est enquêtée.

Oui, bon, concentre -toi.

Il y a trois ans, il m 'a demandé d 'expertiser un domaine viticole,

le domaine zoom bar.

Le propriétaire venait de mourir, les héritiers souhaitaient vendre.

Et qui a racheté?

Leven, justement.

C 'est pas du jeu, ça.

Bah d 'autant plus qu 'il s 'est pas arrêté en si bon chemin.

Depuis, il a acquis pas mal de terres dans la région.

Bah, décidément, la reconversion est à la mode, hein.

Un nouveau venu qui a racheté en masse à la fous mâle.

Il a dû se faire des ennuis chez les vignerons.

C 'est à tellement ça, moi, c 'est pas lui qui est mort, c 'est Odile Six.

Et d 'air mort, j 'aurais dû répondre à ces questions.

Elle a peut -être découvert qu 'il trempait dans des magouilles.

Elle a voulu le dénoncer.

Vous qui le connaissez, vous pensez que c 'est le genre à devenir un assassin?

Pour moi, il y a pas de genre, dès que dit sa constance.

Pas mal, l 'endroit, hein?

Mm -hmm.

Bonjour, Monsieur Lebel.

Quel plaisir de vous revoir.

Silvia, mon assistant.

Bonjour.

Bonjour.

Votre message m 'a un peu surpris.

Les nouvelles vont vite.

Oui, j 'ai été informé hier.

Ce sont les petits soucis qui arrivent, quand on a mes responsabilités.

Ah ouais, c 'est tout l 'effet que ça vous fait, quoi, c 'est...

T 'attends une seconde?

De quoi parlez -vous, Monsieur Leven?

Bah, des...

des parasites qui détruisent mes vignes, des cauchilises.

Mais on est dans le conseil, fait tout ce qui peut, mais...

Votre aide nous sera très précieuse.

Je vous remercie d 'être venu.

Thomas!

Permettez -moi de vous présenter le célèbre bâche en main Lebel.

Mais vous le connaissez forcément, ne serait -ce que de non.

Bonjour.

Et son assistant Silver, c 'est bien ça?

Oui, c 'est ça, oui.

Bonjour, bonne santé.

Vous êtes sans doute là pour réparer vos erreurs passées, non?

Parce que ça fait des années que ces vignes subissent des invasions à

répétition.

Moins de trois ans en tout cas.

La dernière fois que j 'ai expertisé,

elles étaient gorgées de pesticides en tout genre, mais parfaitement saines.

Ça, on peut dire que le vieux ombar avait la main lourde.

La chimie, ça ne lui faisait pas peur.

Enfin, quoi qu 'il en soit,

j 'ai pas l 'intention de m 'occuper de vos parasites.

Ces papillons m 'intéressent pas le moins du monde.

Moi en revanche, je m 'y connais en cochelis.

Je peux vous donner un coup de main si vous voulez.

Ce serait un plaisir de travailler avec vous.

Enfin, si monsieur Leven est d 'accord.

Et comment?

À condition que ça ne me côtrait rien.

Bien sûr.

Je confus de l 'accueil de Thomas.

Je sais pas qu 'elle mouche la piquée.

Oh, certains zoonologues de ma précie de loin, dès que j 'étais bar,

qu 'ils se sont en danger.

Et savoir pourquoi?

J 'avais pensé que vous aviez une quelconque responsabilité dans ces épidémies.

Et coups -paps, je les connais, ce sont mes voisins.

Les crottes -faires, ils se savent pas s 'ils font du bureau?

Ils ne traitent pas.

Tous ces parasites viennent de leur vigne.

Ils ne sont pas pour le traitement intensif, mais leur foie minimum.

Enfin, je vois de la façon de travailler du percrotte -faire.

Ils traitent avec douceur.

C 'est une école différente.

D 'ailleurs,

vous vous souvenez qu 'il voulait acquérir le devenu zoonbar qu 'il y a trois

ans?

Je n 'aurais pas de l 'oublier.

Depuis, je suis devenu son ennemi juré.

Il s 'est lancé dans une guérilla sans fin contre moi.

Ça n 'a pas l 'air de vous trouver plus que ça.

J 'en ai vu d 'autres, j 'adore accueillir.

Mais dites -moi, si vous n 'êtes pas venu pour les parasites,

vous êtes venu pourquoi?

C 'est la mort d 'Odysix qui m 'intéresse.

Elle souhaitait m 'interviewer à votre sujet, j 'ai refusé.

Elle préparait un article contre moi.

D 'après elle, je ne serai qu 'un affaériste sans scrupule,

prêt à faire main bas sur toutes les vines de la région.

Vous avez bien fait de les conduire.

Dans un premier temps, mais j 'avais changé d 'avis.

C 'est la raison de votre venu, vous arrivez un peu tard.

Oui, en effet.

Et je n 'aime pas que les gens meurent juste avant de me parler.

Je n 'ai rien à voir avec cette histoire.

Odysix a dû se mêler de ce qu 'il n 'a regardé pas.

Pourquoi vous avez son ordinateur disparu?

Avec lui d 'articles qu 'elle était en train de terminer.

Le gendarme où on l 'a parlé, il n 'y avait rien dans son article.

C 'était qu 'un prétexte pour menuer.

Qu 'est -ce que vous en savez?

Odysix était la meilleure amie d 'Elsa,

la fille de Kreuzler et de son compagnon Hugo.

D 'ailleurs, elle allait faire un golfe avec lui quand elle était tuée.

Tu vois, la place a dit « Fuseur de ferromone » au niveau des grappes,

comme ça.

Ça permet de contenir l 'épidémie par un système de confusion sexuel.

C 'est le seul moyen de lutter contre les cochilises.

Je vois que tu connais.

Le plaisir de rencontrer quelqu 'un qui...

Si tu comprends ce que je fais, tu n 'aimes pas son tutoie.

Ah bah non, tu rigoles au contraire.

Mais ton truc là, ça va pas suffire à tout t 'éradiquer.

Puis apparemment, ça fait longtemps que tu te bagarres contre ces papillons.

Ah oui, mais pour ça,

il faudrait que je puisse vérifier l 'état de contamination des lignes

voisines.

Comment Crozier, il va pas en entendre parler?

Il déteste le veine.

Tout est bon pour l 'emmerder, hein.

Bah bah j 'ai peut -être la solution.

Bah jamais le connait bien, il peut intervenir.

Je ne demanderai rien à Lebel.

Plutôt crevé.

Et moi?

Bah je peux lui proposer, non?

Et ce cher Thomas Baratou a accepté?

Ah il m 'a pas répondu.

Alors pour moi, ça veut dire oui.

Bien joué.

Ça m 'arrange d 'avoir un espion dans la place, ça.

Attendez, non, et je le fais pas pour ça.

Oui, non, je le sais, les cochilles, c 'est bon.

Ça te pâche pas dans tes yeux, tes oreilles.

Baratou peut pas me blérer, j 'aimerais savoir pourquoi.

Tiens, la pierre blanche.

On entre sur le domaine de Crud Sleur.

Thomas, vous êtes sûrs de jamais l 'avoir rencontré avant?

Sure.

Ah bah voilà le comité d 'accueil.

Bonjour Alza.

Qu 'est -ce que vous faites dans nos villes, M.

Lebel?

Oh.

Rien de bien méchant.

Je viens saluer Vincent.

Mon père n 'est pas disponible.

Si vous voulez quelque chose, c 'est à moi qu 'il va falloir le demander.

Alors comme ça, vous retravaillez pour ce salopard de Leven?

Qu 'est -ce que vous fais dire ça?

Votre présence à Strasbourg, de plus vous venez de chez lui, non?

Bien, ben bien, en effet.

Je parie qu 'il vous envoyait ici à cause de ses cochelices.

Personne ne m 'en voit.

Et je me déplace comme je l 'entends.

Alors ceci étant le l 'enologue de Leven voudrait pouvoir inspecter vos vignes

pour pouvoir mieux traiter.

Il peut courir.

On a quelques rangées de toucher,

mais leur personne du camp d 'en face ne mettra les pieds chez nous.

Le camp d 'en face?

Mais dit dedans, elle est en pleine guerre civile, hein.

Je me permets de vous rappeler que vos vignes sont impliquées les unes dans les

autres, et que la contamination ne s 'arrête pas au frontière.

Je vous ai écouté parce que mon père vous aimait bien.

Mais je n 'ai pas l 'intention de parler plus longtemps des problèmes de Leven.

Alors si vous n 'avez rien d 'autre à me dire...

J 'y pourriez de prendre congé.

C 'est ça.

Oui, ah, euh, non, j 'ai oublié.

Apparemment, on dit ici que c 'était une de vos...

de vos grandes amis.

Vous pouvez me parler d 'elle?

Mais dis -vous de vos affaires et fichez le camp.

Et qui est -ce que je vois?

Benjamin Lebel, mon traître préféré.

Mais vous me flattez, mon cher Vincent.

Mais il y a de belles lures aides que je travaille plus pour votre meilleure

ennemi.

Ma fille a raison.

Personne d 'en face ne posera un orteil chez moi.

Il ne devrait pas mieux d 'y.

Et pour cause, elle a fait que transmettre vos ordres.

Il me connaît bien l 'animal.

Quelles ont été oufettes, hein.

Préférez laisser ce fléau envahir vos vignes plutôt que de céder.

Je vais pas m 'affoler pour quelques bestioles.

Ils le repartiront comme elles sont venus.

Je ne sais pas comment il s 'y est pris.

Mais je suis sûr que c 'est un peu...

de l 'oeuvre et une pour me ruiner et me racheter après.

Elle est un peu forte là, non?

Vous croyez ça?

Il a fait main basse.

Surtout ce qui était disponible dans le coin.

Et puis...

Il s 'a dit qu 'avec ma maladie, il n 'en a plus pour longtemps à attendre.

Bien ce qu 'il vous va compter là.

Il est trop abuse comme un chêne.

Ce que les roses latérales a mis au trophique, vous connaissez?

La baleine de Charcot.

Cadeau du vieux zombar.

Avec toutes les saloperies dont il a abrevé la terre pendant des décennies.

Ces dégueulasses ont poisoné les vines comme ça.

Et vous avez bien raison de travailler en bio?

Quand j 'ai voulu racheter le domaine zombar,

le veine m 'a coupé l 'herbe sous le pied.

Et un jour j 'y arriverai.

Et je rasserai les sols de toute cette vermine.

Comment vous comptez procéder pour racheter?

Comment regarde?

Il me reste deux ans à vivre, mais...

deux ans, c 'est long quand on a la niac.

On s 'en...

Il n 'est pas raisonnable, hein.

Allez, il faut reposer maintenant.

Hugo Bassler, mon ergothérapeute, est presque mon gendre.

C 'est grâce à lui, si je ne suis pas encore en fauteuil roule.

Allez.

Emmène -moi.

Et après, tu accompagneras nos amis.

On va se revoir.

Je ne suis pas encore parti.

Et moi, je ne suis pas encore mort.

Dites -lui à la veine.

Ça lui cassera le moral.

Ouais, qu 'est -ce qu 'il faut le quitter, là?

Pour y rentrer à pied?

Par les vignes, on n 'a pas pour longtemps, non?

Non, non, non.

La voiture, c 'est beaucoup plus confortable.

On ne pourra pas poter avec notre chauffeur.

Bah, là, le voilà, t 'es bon.

T 'es là?

Mettez ça.

Vous pouvez.

Sécurité oblige.

Vous venez voir des turbulence sur ce type d 'enjeu.

Prenez quelle place?

Bon, ça va, rassé, hein?

Là -bas, hein?

Non, ça y est.

C 'est de bien mal, ça va?

Pourquoi?

Vous n 'aimez pas la moto?

J 'ai tant qu 'à mourir.

Je préfère que ça aille lieu sur une route du bord de l 'ail.

Bonne idée.

Retournachez -vous et foutez -nous la paix.

Bah, nous y voilà.

T 'as cause des questions que j 'ai posées à votre compagne?

Je vous interdis d 'approcher, Xa.

Faut dileter comme une sœur pour elle.

Et pour vous.

Pas que vous aviez rendez -vous avec elle, le jour où elle est morte.

On était amis depuis l 'enfance, tous les trois.

Elles avaient bouleversé.

Ça s 'ajoutait à la maladie de son père,

sans parler de l 'assassin qui court toujours.

Moi, si j 'étais à votre page, j 'aurais envie de savoir qui c 'est.

Merci du conseil.

Mais les gendarmes s 'en occupent.

Mais moi aussi.

J 'ai la passion des énigmes.

Laissez tomber, Lobelle.

Je vous le dirai pas de fois.

C 'est les menacecs, c 'est pas la bonne méthode.

Ce serait plutôt temps l 'on s 'a motivé.

Il est sympa, le gendron.

Alors?

Il a dit quoi, le vieux crotsleur?

À quel propos?

Avec le malin.

On peut les inspecter, c 'est vigne.

Il n 'y a pas le temps d 'aborder le sujet.

Ah, est tellement chose à se dire.

Une autre fois peut -être.

Profite bien, connard.

Il n 'y a pas rire longtemps.

Désolé, le belge doit faire un aller -retour en Suisse pour voir des clients.

Ah!

Croyez -moi, gestionnaire de fortune, c 'est un emploi à plein temps.

Mais tellement lucratif quand on a la passion des propriétés viticoles.

C 'est vrai.

La vigne est un peu ma danseuse.

Et cet endroit serait un paradis, sans monde horrible, voisins.

À propos, comment va -t -il?

En pleine forme.

Et très remonté contre vous.

Qu 'est -ce que tu m 'as remonné de tout à l 'heure?

C 'était à propos de Benjamin, je parie.

Je l 'aime pas.

Ça, j 'avais compris.

C 'est un peu débile, non?

Tu ne le connais même pas?

Je connais ses guides, ça me suffit.

Ils sont tous bidons.

Je préfère même pas en parler.

Tu délires, là.

Il est hyper compétent et tu le sais très bien.

Et qu 'est -ce qu 'il est venu foutre à Strasbourg, d 'abord, hein?

Ne t 'inquiète pas, va.

Il croule sous les propositions et il risque pas de prendre ta place.

T 'es sûr de ça?

Il a déjà fait, pourtant.

Avant de partir, j 'aurai une requête.

Oui?

Accepteriez -vous de travailler pour moi.

Ah ben, je comprends pas.

Votre nologue, Thomas Barato, me semble...

Parfaitement compétent.

Oui, c 'est des barats de l 'Oydium.

Puis c 'est les Cochilises qui font leur apparition et ça n 'a jamais de faim.

D 'un chanoire, ce type.

D 'aie pas me dire qu 'un dur à cure, comme vous, est sensible,

aux superstitions ancestrales.

Je me fie à mon intuition et elle me dit que ce Barato porte la poisse.

D 'ailleurs, il a l 'intention de partir.

Réfléchissez le bel.

Votre prix sera le mien.

Fatiguez pas.

Quel que soit les sommes folles que vous êtes prêts à débourser,

cherchez toujours à savoir la vérité sur la mort d 'Odium -6.

Vous êtes à la merdeur.

Pareil.

En tout cas, c 'est l 'opinion à s 'attendre de gens dans la région.

Bonne journée.

La belle se l 'est revenue à cause de la mort de cette journaliste.

Mais il est vraiment tordu, ce mec.

Mais ça va maintenant, qu 'est -ce que t 'as contre lui, enfin?

Ah, mais ça c 'est normal, quand tu défend ton patron.

Ouais, et toi, tu n 'auras pas eu n 'occasion de le pourrir.

Alors maintenant, tu m 'expliques?

Tu dis qu 'il a pris ta place, mais à quel moment?

Où ça?

Où ça?

À mon avis, de France.

De quoi?

France Pelletier?

Ça n 'a pas.

C 'était mon ex.

Non, mais...

Non, mais attends!

Hé!

Hé, attends, il y a Leven qui a mis une bagnole à ta disposition.

Tends -moi les clés.

Merci.

Tu reviens demain?

Mon patron, il est venu pour rien.

On ne fera jamais l 'assassin de la journaliste.

Et moi, je sais qui c 'est.

Tu lui diras ça, de ma part?

...

Vous êtes Benjamin Nobel?

J 'en ai peur.

Je vous a reconnu, j 'ai vu des photos de vous.

Lieutenant Bourry, c 'est moi qui vous ai appelé.

C 'est le sujet de la mordeau des six.

Il est utile de préciser, je reçois pas ce genre de côte -fi tous les jours.

Je m 'en doute, oui.

Qu 'est -ce que vous faites à Strasbourg?

Comment vous direz?

Je suis venu vous donner un coup de main.

La très vite écartée est la thèse de l 'accident.

Topsie a révélé que la balle de golf avait atteint la victime avec une extrême

violence.

Le coup est parti de très près.

Plus sa voiture avait été forcée.

A propos toujours aucune trace de l 'article sur lequel elle travaillait?

Non.

Non, mais en vous voyant tout à l 'heure,

j 'ai espéré un instant que vous l 'aviez retrouvé dans vos mails.

J 'ai vérifié, elle m 'a rien envoyé.

Parait qu 'elle adorait fouiller dans la vie des gens pour dégoûter des scoops.

Sacré programme, dites -donc.

C 'est le rapport de Jean -Darmuris, hein?

Là, je peux jeter un oeil.

Rune enquête en cours?

Pensez pas sérieusement que je veux dire oui?

Ah bon, pas.

D 'autres enquêteurs m 'ont déjà accordé cette faveur, vous savez?

Ben, tenez sûrement pas à la Jean -Darmuris.

Oui, oui,

je connais la guéguerre que se livrent les différents corps de police avec

votre permission, je préfère rester neutre, hein?

T 'as d 'un drôle le type?

Y pareil.

Pourquoi vous vous intéressez à cette enquête?

Disons que j 'ai besoin de savoir pourquoi cette jeune femme a été tuée.

Ce genre de question peut très vite tourner l 'obsession chez moi.

Je comprends, je suis comme vous.

Mais moi, c 'est mon métier.

Eh ben alors, ne ça me fait pour nous entendre?

Faites penser qu 'il faut que je me remette au travail.

Vous accepteriez de dîner avec moi ce soir?

Pourquoi vous voulez me séduire?

Bon, je sais bien que c 'est juste pour obtenir des renseignements.

Cuisine contre cuisine, c 'est un bon marché.

Ça me dit à oui ou ça me dit à non, ça?

Vous dire peut -être?

Déciderez le moment venu.

J 'attendrai.

Que ce soit Leven Krossler ou la gendarmerie, c 'est le maire Tata Total.

Je me demande s 'il saurait un jour ce que cette fille voulait me dire.

Ça démarre mal, en tout cas.

Tu ferais mieux de rentrer.

Non, non, non, non.

Non, non, je vais passer au journal de dix -six, on verra après.

Oui, entrez, oui.

Ah, bah voilà, spécialiste des cochilles disques qui rendent du beau.

C 'est France.

Oui, je vais te rappeler.

D 'accord.

Ah, c 'est ça, je te rappelle.

Et bah alors, qu 'est -ce qu 'il se passe?

Thomas, t 'as fait des misères?

Non, au contraire, il m 'a mis une bagnole à disposition.

Sur ordre de Leven.

Alors pourquoi cette gueule de catastrophe éminente?

Pourquoi?

Si le verre à ma patience, ça délimite.

Thomas m 'a balancé un sku d 'avant de partir.

Il prétend connaître l 'assassin de la journaliste.

Ah...

Bah voilà, enfin une bonne nouvelle!

Allez, on va dîner, tu vas me raconter tout ça.

Il a peut -être dit ça pour faire le malin.

Bah c 'est plutôt risqué comme bravade.

Qu 'est -ce qui te fait croire ça?

Je sais pas.

Pour moi, c 'est un mytho, ce type -là.

Pourquoi, il t 'a dit autre chose?

Non.

Non?

Premier d 'entrer à Bordeaux.

Il faudrait que je prenne une semaine.

Je dois aller...

Où ça?

En vacances?

En vacances!

Eh...

On y va?

Finalement, j 'ai pas faim.

Je vais me coucher, je suis pas trac.

Eh ben, je me passerai de toi, le temps que j 'ai peut -être invité.

Il y a pas qu 'ils sont de prendre une semaine de vacances en ce moment, hein.

Sauf si tu m 'avances une bonne raison.

T 'en as eu, là?

Non.

T 'en as pas.

Allô?

France, c 'est Sylvère.

Rappelez -moi, c 'est Sylvère Jean.

Je prendrai un porcelet direct.

Voilà.

Merci.

Vous retirez le deuxième couvert?

Non, non, non.

Laissez -vous.

Merci.

Ah...

Bah justement, je pense à...

Je parie pas que vous connaissez l 'assassin de la journaliste.

Voilà.

Sylvère Jean,

On ne vous a jamais dit que vous êtes agaçant avec votre petit -heur supérieur?

C 'est...

C 'est...

C 'est très souvent.

...

D 'être sûr que vous ne voulez pas dîner.

Il y en a bien suffisamment pour deux.

Et ce porcelet mérite des touts.

C 'est m 'en fout de votre cochon.

Bon, visiblement vous avez quelque chose à me dire, alors allez -y,

je vous écoute.

Mais vous savez très bien ce que j 'allais vous dire.

Pendant deux ans, j 'étais avec France.

Je travaillais dans le bordelais à l 'époque.

Hum.

Bah, j 'ignorais que vous aviez travaillé dans le bordelais.

C 'est pas la question.

Arrêtez votre numéro, ça va mal finir.

Alors,

c 'est ce terrible secret que vous avez confié à mon assistance à l 'Instagard

sans très délicat de m 'en avoir rien dit.

Et France vous a jamais parlé de moi peut -être?

Nan, non, elle a dû penser avec raison que ça ne me regardait pas.

J 'ai si peu compté pour elle que ça lui ait même pas venu à l 'esprit.

C 'est ça que vous s 'y entendez?

Vous espérez quoi, Auguste?

Qu 'on saute à la gorge comme deux coques de bascours.

Je suis désolé de ne ressentir aucune jadouille,

mais votre liaison avec France était bien avant, je ne la connais ça.

Enfin, en tout cas, je le suppose,

parce que sinon je m 'en serais rendu compte.

J 'ai failli crever quand elle est partie.

Pendant des journées entières, j 'ai cherché à comprendre.

Pourquoi?

Qu 'est -ce qu 'elle avait foiré?

J 'ai cherché.

Je peux trouver.

Après, j 'ai appris que...

France était à nouveau avec quelqu 'un de la profession, mais...

avec l 'assaut dessus, cette fois, une sommité.

Je me suis senti tellement l 'innombre.

Et elle me sent j 'ai outué.

Vous vous désiriez une table, madame?

Non, merci, je dois y aller.

Et je pouvais pas lutter contre un mec comme vous.

On a l 'air reconnu.

Auteur de guider succès.

Moi, je suis qui, écoutez?

Personne.

Qui me demande.

Fancy.

Les propriaux.

Il y a des parasites à éradiquer.

Pour ces, je suis bon.

Mais vous confirmez, c 'est bien.

Les choses iront beaucoup mieux.

Un bon anonyme conseil ne court pas les vignes.

Prends vitezant.

Si vous y croyez, quelqu 'un peut être talent beau ou de travail.

Il y aura un boulevard devant vous.

En plus, vous êtes sympa.

Comment je vais faire pour vous détester maintenant?

Attendez un peu pour vous désolée.

Ça peut revenir.

On renonce pas si facilement au malheur.

Je suis désolé, il se fait tard.

Il faut que j 'aille me coucher.

Non, oh!

Non,

mais la nuit fait commencer et on pourrait boire un petit coup tous les deux.

Ça va, il ne faut pas exagérer.

Allez, mon fils, allez vous coucher.

D 'ailleurs, prenez un taxi ou une chambre d 'hôtel.

Vous n 'êtes pas un tas de conduire.

Alors tant pis.

Je ne dirais pas qu 'il sait qu 'il a tué la journaliste.

Mais vous en aviez pas l 'intention.

De toute façon, je le sais très bien.

Mais vous savez rien du tout!

Désolé, monsieur Lebel, mais je vais demander à ce monsieur de sortir.

Oui, non, mais je m 'en charge, merci, excusez -moi.

Allez, mon vieux, je suis irrazionable et vous couchez, ça va, quoi?

Je te donnerai une onde d 'assassin.

Si France vient me le demander personnellement, là...

Oui, bon, ça va comme ça, allez, bonne nuit.

Non, mais...

On peut boire un coup là -dedans?

Ouais, ça va, je me tire.

C 'est bon.

...

Je vais te laisser, j 'allais m 'endormir quand tu m 'as appelé.

Plutôt que tu ne veux pas parler de Thomas.

Pourtant, c 'est important qu 'on en parle.

Oui, enfin, écoute, peut -être pour toi, mais pas pour moi.

On n 'a pas rongé rien à dire.

Et puis je suis pas d 'humeur.

Ton camarade s 'est invité à ma table.

Le diner était plutôt pesant.

Ce n 'est pas mon camarade.

Et je n 'aime pas le ton que tu prends.

Bon, écoute, excuse -moi, j 'en ai pas d 'autres en réserve.

Bon, je suis crevé, je vais me coucher là.

Arrête -moi, jamais.

Sinon, je rappelais qu 'en Alsace.

T 'en blague.

Pour lui, pour moi.

Allô?

Allô?

Oui, allô, oui.

Le bel, c 'est Thomas.

Encore.

Mais je joue plus.

Il faut que je vous vois tout de suite.

Je vais tout vous dire.

D 'être sûr, hein, parce que je n 'ai pas envie de me déplacer pour rien.

Mais toute cette histoire, c 'est partie de la mort du vieux Zumbar.

Je ne peux plus garder tout ça pour moi, vous comprenez?

C 'est beaucoup trop dangereux.

J 'arrive.

Vous êtes où?

Et puis vous voulez m 'en parler?

Est -ce que je sais, moi?

Hum, vous n 'avez pas demandé?

Non.

Non.

Alors vous,

on vous appelle et puis vous rappeliez sans vous poser de questions.

En plus, dans un endroit où personne n 'aime trader en nuit.

J 'imagine qu 'il a voulu faire simple.

Le canal est juste derrière mon hôtel.

Dommage que vous n 'ayez rencontrer personne qui puisse témoigner de votre

présence à l 'hôtel entre son départ et sa mort.

Bon, écoutez, ça va bien comme ça.

Allez, on me donne ma dévosition, j 'insigne puis on revoit.

Désolé, ça marche pas comme ça.

Asseyez -vous s 'il vous plaît.

Ça va?

C 'est pas trop fatigué?

Non.

Je suis traité comme un prince, ici.

Mieux, ça sera un descendre.

On a borné l 'appel que Barato vous a passé.

Vous avez dit la vérité.

Suivez -moi.

Je ne sais pas ce que vous.

Dites -moi ce que c 'est.

Ah...

Possilia ambiguella.

Mais encore?

Cochilis, si vous préférez.

L 'épidopterre ravageur de la vigne, plus communément appelé, Verde la Grappe.

J 'imagine que vous avez trouvé cet aquarium chez Ampto Mabarato.

Exact.

Bah oui, les vigne -ups dont il était chargé, en ce moment -là,

ils sont infestés et c 'était lui l 'empoisonner, finalement.

Les gens repompiers pyromanes, un classique.

On a trouvé plein d 'autres choses intéressantes chez ce monsieur.

Allez.

Un flash -boom.

Expertise prouvera sûrement que c 'est l 'arme qu 'a tué au Dixix.

Alors là, vous m 'étonnez.

Toi, moi, en saboteur, passais encore, mais là, ça sent franchement...

Avant de le défendre.

Lisez plutôt ça.

C 'est quoi?

Une de ses oeuvres.

Loci, il se pique à décrire.

Merci.

Alors?

Vous en pensez quoi?

C 'est...

C 'est un pamphlet plutôt réussi.

La haine est un moteur très puissant.

Cette onologue qui décrit comme un imposteur totalement incompétent bouffit de

son importance plaît bien à moi.

Peut -être parce qu 'il s 'appelle Benjamin Lebel.

Il y a vieil fait quoi à Baratheau pour qu 'il vous déteste à ce point?

Allez savoir, il n 'y a pas plus personne pour lui demander maintenant, Elas.

Comme vous dites.

Alors moi j 'aime bien ce poème de la fin, tout est la gloire de cette femme,

certaines France.

Vous la connaissez?

Non, moi je n 'ai pas, il n 'y a pas cette chance.

Tant pis.

Bon bah écoutez, je vais partir maintenant, je crois d 'ailleurs,

je vous ai tout dit.

Puis comme vous ne connaissez rien sur personne,

garder ne serait pas d 'une grande utilité.

Excusez -moi.

Il y a une certaine France Pelletier qui demande, M.

Lebel, elle dit qu 'elle est sa femme.

Oui, merci, vous lui dites que j 'arrive.

Lebel, il faut que je vous parle.

Non, avant que vous d 'interrogez.

Sous -titrage ST' 501 Lieutenant Bourry, laissez -moi vous présenter.

Je ne crois pas que vous vous connaissiez.

Je vous laisse.

T 'es très bientôt.

Qu 'est -ce qu 'elle raconte?

Je t 'explique.

Qu 'est -ce que tu fais là?

Quand j 'ai vu que tu n 'étais pas à l 'hôtel, je suis venu directement ici.

C 'était soit l 'hôpital ou la gendarmerie.

T 'as mis d 'un malaise à exécution?

Par le 1er arrivent du matin.

Depuis notre conversation d 'hier, j 'étais inquiète.

Le comportement de Thomas m 'a fait craindre le pire.

Il y a bien raison.

Le pire est arrivé.

Thomas est mort.

Non.

Et tu m 'annonces comme ça?

Je ne connais pas de manière douce pour annoncer ce genre de choses.

Leven, vous êtes engagé.

Tout va bien?

Oui, oui, j 'arrive.

Non, je l 'étais sur Internet.

Je prenais des renseignements sur Thomas.

Alors?

Tu as trouvé quelque chose?

Figuerebou, il était expert chronologue au Conseil de l 'Europe.

Il s 'est fait virer.

C 'est la loose, ce mec.

Oui, comme tu dis, il a été assassiné hier soir.

J 'ai passé ma nuit à la gendarmerie.

Habille -toi, je te raconterai que ça devait un petit déjeuner.

Allez, dépêche -toi.

Je t 'attends en bas.

Parce qu 'elle est de la France aussi.

C 'est drôle,

j 'ai eu un mauvais pressentiment et je suis venue pour essayer de te ramener.

J 'avais raison.

C 'est dangereux de rester ici.

Je ne pense pas être en danger, je peux plus partir, l 'événement gâché.

Tu n 'as qu 'à refuser, ça te gêne pas d 'habitude.

J 'ai horreur comme donne des ordres,

et ça n 'est pas une femme légère qui va m 'expliquer ma conduite.

C 'est dingue, franchement.

Enfin, je peux les orter.

C 'est bien ce que je te reproche.

Thomas, c 'était de l 'histoire ancienne.

Mais ça...

sa mort me choque.

Je me choque aussi, je me choque aussi.

Bon alors, ça arrivait comment pour Thomas?

Enfin, vous avez raté l 'assassin de peu, si j 'ai bien compris.

Vous avez quand même eu un sacré coup de bol.

Explique -lui qu 'il aurait pu y passer.

Moi, il n 'y m 'écoute pas.

Bon, allez, t 'as assez mangé comme ça,

j 'ai besoin que tu files au domaine Zumba.

Le veine m 'a engagé, alors puisque tu aimes tellement les cochilles lisses,

bah c 'est le bar monde qui nous montrait tes talents.

Euh, je suis tout seul, hein.

J 'ai deux fois plus de boulot du coup.

Ah bah tu vois, ça a ton rythme, hein.

Plus que tu pourras gagner là -bas, ma terrestre.

Bon, bah très bien, j 'ai pas cru.

Attends, tu fais attention parce que ta mission n 'est pas sans danger.

Super.

Voilà.

Bon, bah...

Tiens, pour la route.

Merci.

Ha, ha, ha.

Mais vous êtes sacrés, qu 'est -ce que vous avez fait?

Calme -toi, gamin.

Tu devrais apprécier.

On a guéris les vignes.

Mais c 'est pas comme ça.

C 'est du vandalisme.

Vous êtes des criminels, vous.

Bon allez, faut pas traîner ici.

Moi, j 'y vais.

Qu 'est -ce qu 'il a?

La vigne.

Et la chère.

de ma chère, une deuxième fille pour moi.

Et je suis prêt à tout pour la protéger.

Tu comprendras un jour, comme...

D 'importe quoi.

Les cèpes ont été coupées à leur base.

Ça me fout en l 'air, ça.

Ça me flingue.

Oui, oui, ça va.

Calme -toi, calme -toi.

La vignes, c 'est comme une liane.

Ça finira bien par repousser.

Du coup, j 'ai plus de parasites à traiter.

Ça a bien mérité ta semaine de repos.

Profites -en pour aller faire un tour en Argentine, ça te remontra le moral.

Pourquoi l 'Argentine?

Tais -toi qu 'il me pose la question.

France, vous a parlé?

Parce qu 'elle était au courant, elle aussi.

Elle n 'a pas eu besoin.

Ta Bernasse est un vieil ami.

Il m 'a prévenu quand il a reçu ta candidature.

Je lui ai dit tout de bien que je pensais de toi, quoique.

Vous m 'en voulez?

Je t 'en veux.

T 'es trop en tout faire.

Pour prendre des risques dans la vie.

Bon sang.

C 'est pas moi.

T 'as pas choisi l 'éthiopie, la frontière, sinon mon gol.

Ils font des vins extraordinaires.

J 'y penserai.

Faudrait, oui.

Attendez, de toute façon, rien n 'est décidé.

On peut pas...

Qu 'est -ce qu 'il y a encore à faire là -bas?

Le commandant de l 'assainissement vient terminer le boulot?

Mon père veut vous parler.

Seul.

Asseyez -vous, Lebed.

Faites -vous pas la gueule?

M 'as -tu laissé emporter?

Mais au moins, le problème des parasites était réglé.

On s 'en fout des parasites.

C 'est quoi le projet en Valanché Leven?

Le flaguer, s 'il avait eu l 'impouvé d 'en être encore chez lui.

Je voulais seulement l 'avertir qu 'il allait payer.

Je le tiens pour responsable de la mort d 'Ody.

Pas sûr qu 'il y soit pour grand -chose.

Pas plus que pour les parasites, d 'ailleurs.

Pour vous tenir au courant, hein.

C 'est Thomas Barato qui était derrière les épidémiaires et pétitions.

Et il est mort, comme par hasard.

Ce qu 'il veut dire?

Arrêter de parler par énigmes.

Il a agi sur ordre.

Et Leven s 'en est débarrassé pour l 'empêcher de parler sur ça.

Et sur le reste.

J 'y crois pas.

À coup, sans ordre.

Je vois pas Thomas de l 'assassin.

Odile l 'avait rencontré pour son reportage.

Et Levin a pris peur.

Il a chargé Thomas de se débarrasser d 'elle.

Peur de quoi exactement?

Ça c 'est le boulot des gendarmes.

Je leur en ai parlé, mais ils n 'ont pas bougé.

On peut les comprendre.

Vous aussi.

Vous pensez que Jaffa bulle.

Vous feriez mieux de partir alors.

Non.

Finalement, je vais accepter votre invitation.

On en profitera pour trinquer à la mémoire d 'Odile.

J 'ai même affilé ma semaine.

Il est au courant pour l 'argentine.

Il m 'a traité de dégonflée.

C 'est pas moi.

Je sais, je sais.

C 'est le proprio qui l 'a averti.

Ils sont amis.

Ça couple envie de faire le voyage.

Tu as eu ta semaine sans même avoir eu à demander.

Tu devrais être content.

Qu 'est -ce qui t 'a reproché au juste?

On manque de goût pour l 'aventure.

Lui, il voudrait m 'expédier en éthiopie, comme Ravaux.

C 'est bien son genre.

Benjamin vit comme dans un roman.

Enfin, il m 'essaie.

En attendant, il a gagné.

Mon voyage découvert, ça sera pour plus tard.

Ailleurs, sans prévenir personne.

Ça m 'arrange.

Je préfère que tu restes avec lui.

Je risque d 'être très occupé ces prochains jours.

Vous déconnez à Blanc -le -Belle.

J 'ai jamais demandé à Odile d 'enquêter sur Leven.

Mesdames Métons, elle a bien dû vous dis ça à un bout sur ses recherches.

Comment je le saurais?

Il y a cinq minutes, vous saviez tout.

Surtout qu 'il m 'a non plus rien, elle le fait d 'un effort.

Odile...

Odile avait reçu une lettre de menace.

Comme quoi, elle ferait mieux d 'arrêter de mettre son nez partout.

Si c 'est pas si dit, Leven, ça.

D 'après Thomas Barato,

tout provient de la disparition dans un propriétaire du domaine.

Alors si vous avez raison, peut -être que...

Leven est aussi mêlé à sa mort.

Non.

Pour le coup, Leven n 'est pour rien, dans la mort de Rodol, son bar.

Je peux vous le dire?

J 'y étais.

J 'étais Leven et un joueur, il a trois ans.

Il était six heures du matin.

Il a son bar, sortait de son domaine.

Ce pourrique de Rodolphe voulait pas me laisser passer.

Il a toujours été comme ça.

Il avait horreur qu 'on le dépasse.

Mais ce jour -là, j 'étais pressé.

En plus, il y a plus dix!

En plus, il doit l 'aider!

Dieu fou!

Les deux jeunes sont morts sur le coup.

Quant à Rodolf, il a fait une crise cardiaque au volant de sa voiture.

Le Samuel n 'a pas pu le réanimer.

Son ordre d 'engueil imbécile a fait trois morts.

C 'était à quelle distance, quand le choc s 'est produit?

Centaines de mètres.

Quelle méfiance.

Vous me croyez irresponsable?

Non.

Alors, la distance vous inocente.

Enfin, d 'autres ont pu se poser la question.

Pourquoi je vous mentirai?

Tout ça finira avec moi.

Ma fille s 'intéresse au domaine et aux vignes pour me faire plaisir.

Si seulement elle m 'avait donné un petit fils,

les choses seraient différentes.

Ce n 'est pas le cas.

Quand je serai crevé, elle vendra le domaine.

Tout ça m 'aurait rendu.

Et maintenant barrez -vous.

Elle n 'en revenait plus.

Ne me gâchez pas le temps qu 'il reste.

Le veine, c 'est moi.

Désolé, Lebel, impossible de vous parler.

Les gendarmes ne peuvent plus se passer de moi, ils me retiennent.

Ils me soupçonnent du meurtre de barato.

Mais leur dossier est plutôt mince.

Oui, il faut j 'en raccroche.

On va passer si vous avez quelque chose à me dire.

Vous ne pouvez pas le voir.

Il est en garde à vue pour complément d 'enquête.

Tout le monde s 'accorde à le croire coupable du meurtre de Thomas alors qu 'il

était même pas en ville.

Ben, il n 'est pas si loin.

Il refuse de nous dire avec qui il a passé la soirée pour protéger l

'inconfidentialité de ses clients que tu existes.

Bon, pour exister, pas de doute.

Il aura tous les témoins nécessaires, vous n 'y pourrez rien.

Je sais, c 'est un avocat sans charge.

Et que je mette quelqu 'un sous la dent du juge d 'instruction.

Ah oui, j 'imagine qu 'il est en train de s 'agiter, de mort,

c 'est la panique.

Le menace d 'Orphil est l 'affaire en flic.

J 'aurais du mal à le supporter.

Ce serait un désaveu total pour moi.

Mais enfin, on n 'est pas encore là.

Moi, je peux vous aider.

Mais pour ça,

il faut que j 'ai accès au dossier d 'un accident automobile qui remonte à

trois ans.

T 'as eu chantage?

Oh non, pas du tout.

Un échange de bons procédés, tout à plus.

Cuisine contre cuisine.

Bon, j 'en suis.

Venez.

Non, je suis désolée, je ne vois rien.

Krusler a dit, oui.

C 'est malheureusement un banal accident d 'Auth.

Un accident qui fait trois morts et jamais banal.

C 'est un drame.

Krusler aussi, on est responsable.

Thomas prétendait que tout est parti de cet accident.

Et comme on l 'a tué, j 'ai plutôt le temps d 'en s 'en croire.

Les deux jeunes que Zumba a renversé venaient de vie sans bois.

Vous avez recontacté les familles?

Mais mortre,

2dil et Thomas ont rien à voir avec la mort des enfants de ces pauvres gens.

Quoi, j 'irai les tourmenter?

Non, j 'essaie juste de vous aider à garder l 'enquête.

En attendant d 'avoir un coupable.

C 'est gentil, mais des coupables j 'en ai.

Le veine ou les Krusler?

Ce qui me manque, c 'est des preuves.

Excusez -moi.

Ce n 'est pas Odile qui m 'a proposé ce sujet sur Leven.

C 'est moi qui l 'a lui attribué.

De part ses acquisitions, Leven est devenu un poids -lourd dans la région.

Le Papier n 'entoute tout ce qui est ce n 'est pas Odile.

Elle a commencé par refuser.

Elle vous a dit pourquoi?

Non.

Mais au bout d 'un moment, elle s 'est prise au jeu.

Elle m 'a même demandé un délai supplémentaire pour son article.

Enfin, ça ne prouve rien, sinon qu 'elle était à la bourre.

Je reconnais que ça arrive souvent.

Mais là, il y avait autre chose.

On sent qu 'un journaliste est en train de le faire lièvre.

Et elle ne vous a rien dit sur le taillet du lièvre en question.

Malheureusement non.

M.

Level!

M.

Level, je ne me suis pas abusé,

mais j 'ai une toute petite faveur à vous demander.

Mais profitez -en, je n 'en ai rien à la refuser à un grand chef comme vous.

J 'aimerais bien qu 'on nous prenne des photos ensemble dans mes cuisines.

Mais très bonne idée, et alors ça tombe bien, parce que moi aussi,

j 'ai une toute petite faveur à vous demander.

Vous viez pas nous dire tout de suite que vous aviez passé la nuit avec une

escorte?

C 'est pas très flatteur pour moi,

et les gens en prennent ces dames pour les putes.

Pourquoi c 'est pas le cas?

Non, parce que leur spécialité consiste à fournir des alibis.

Vous avez que l 'une avec autant d 'acharnement, les Creutzler?

Parce que je ne les vois pas beaucoup traîner dans beaucoup de loire, ceux -là.

Du don, merci, les a interrogés chez eux.

Ils ne sont pas quittés de la soirée.

Bah tiens, et ça vous suffit pour les innocents.

Mais soupçonne tout autant que vous d 'être impliqué dans la mort de votre

collaborateur, si ça peut vous rassurer.

Au revoir, M.

Leven.

Au revoir.

Je ne vous dis pas, bientôt.

C 'est Silver?

Oui?

Vous savez pas où il n 'y a jamais, j 'arrive pas à le joindre.

Ah ben moi non plus.

J 'ai pas arrêté d 'essayer de l 'appeler.

Il commence à m 'agasser celui -là.

Mais attends, attends.

Invite -moi à diner.

J 'crois que de faire.

Oui, mais pas jamais.

Mais quoi pas jamais?

Il nous tient au courant, c 'est fait gest, celui.

Allez, viens.

T 'as faim?

Ouais, j 'ai faim, ouais.

Voilà, voilà.

Tiens.

Voilà.

Vous m 'avez faim, le verre.

Oui.

Merci.

Merci.

Merci.

Merci.

Je vous remporte les cartes.

Si vous plaît.

Alors, qu 'est -ce que t 'as choisi comme décision?

C 'est dangereux, c 'est quoi, là?

Et tu n 'as rien à prouver.

On a toujours quelque chose à prouver, hein?

Des fiers à relever, une vérité à découvrir.

Sinon, comment être sûr de ce qu 'on vaut?

Et c 'est pour ça que tu as coupé ton portable tout l 'après -midi pour jouer

au pistolet.

Ah mais tu sais, cuisiné m 'aide à réfléchir.

Mais j 'aime ce ton de révolte.

Les mutins de cette peintre poussent de terrain, ils sont là,

ils vont face au moqueur.

Assez -toi, il faut que je te parle.

Bon.

J 'ai appelé la mère de Thomas.

Elle est très âgée et elle ne réalise pas vraiment la pauvre.

Elle croyait que j 'étais encore avec son fils.

Ah, ça, je ne suis pas étonné.

On ne voit pas de temps passer sur les couples, bien la sorti.

J 'ai décidé de l 'aider pour les formalités de décès et le retour du corps.

C 'est d 'une excellente initiative.

Personne mieux que toi n 'était placé pour accomplir cette noble tâche,

puisque c 'est un corps que tu connais.

Tu vas trop loin, Benjamin.

Je te l 'accorde.

Ah!

Entendu, sonnerie.

Mon plat est prêt, alors tu ne peux pas te sauver avant d 'avoir goûté, hein?

Hum?

Cougloff aux escargots, cuisinés par mes soins,

des morceaux rampants en réalité,

dispersés dans une pâte levée que vont -ils nous révéler?

Oui, pourtant je suis habitué, mais là je ne te comprends pas.

Qu 'est -ce qui ne va pas?

Je tourne en rond.

J 'ai l 'impression de savoir, j 'arrive pas à me décider.

Vous parlez de quoi?

Des vins?

Hum.

Ah, bah voilà, c 'est ça, oui, oui.

Des vins ici présents.

Alors, mon cher Jérémy, présentez -nous ça.

Gaveur Straminaire, pour les émises.

Musca, tout en douceur.

Wrestling pour sa nette et calcaire.

Et enfin, de dire ma place sur sa gérée malamère.

Voilà, qui est là, à titre d 'Outsider, mais enfin, c 'est -on jamais.

Il est capable de remporter la décision.

Alors, maintenant,

je vous annonce que les jeux sont ouverts en ce qui concerne les accords mai et

vingt.

Il y a Liji, un jugé sans pitié.

Pape Mievrory, c 'est interdit.

Et le meilleur mariage désignera l 'assassin.

Bonsoir.

Enchanté, Edgar Leven.

Pas ça?

Je vais pas vous déranger très longtemps, rassurez -vous.

Vous permettez?

Je me suis brûlé.

C 'est pas ma journée.

Oui, on peut le dire.

Non,

il faut que je vous appane quelque chose en ce qui concerne vos pieds de vigne.

Il faut que je te parle.

Bon, si.

– Je vais m 'installer à l 'hôtel pour quelque temps.

– C 'est à cause d 'Odile?

– Pardon?

– J 'ai toujours pensé qu 'elle te plaisait.

– T 'as vu une liaison avec elle?

– Pas du tout.

– C 'est ridicule, qu 'est -ce qui t 'est pensé une chose pareille?

– Votre petit rendez -vous secret, au golf.

C 'est pas du tout ce que tu crois.

Pendant qu 'Odile préparait son article sur Leven,

elle avait reçu des lettres de menace du même style que celle que j 'ai reçue

hier.

– Et pourquoi elle s 'est confiée à toi plutôt qu 'à moi?

– On s 'était croisés en ville.

Mais par hasard, je t 'assure.

Odile avait pas du tout l 'intention de se laisser faire.

– Elle a enquêté et elle a fini par trouver quelque chose.

– Mais quoi?

Elle m 'avait donné rendez -vous au golf le jour de sa mort pour m 'en parler.

On en a pas laissé le temps.

– Qu 'est -ce que ça veut dire?

T 'as vu quelque chose au golf, ce jour -là, Leven ou quelqu 'un d 'autre?

– Non, non, rien.

– J 'ai pas arrêté d 'y repenser.

– Oh,

tu fais bien de te mettre à l 'abri au moins le temps qu 'on retrouve son assassin.

Elsa, tu sais très bien que c 'est pas la raison.

Tu vois bien qu 'on s 'entend plus, qu 'on arrête pas de s 'engueuler.

Ça arrive à tous les couples.

Les choses peuvent s 'arranger, va savoir.

C 'est pour ça que j 'ai besoin de prendre un peu de recul.

Fais ce que tu veux.

Qu 'est -ce que tu voulais me dire tout à l 'heure?

J 'ai pris un apportant.

J 'ai froid, je vais me coucher.

Tout le monde est partant pour une chocroute au poisson fumé?

Trutter a détruit une partie de ma vigne et vous me parlez de bouffe.

Maintenant qu 'il a commencé à se forceler, il ne va plus s 'arrêter.

Va vous laisser tranquille pour un petit bout de temps, là.

Si Benjamin vous le dit, vaut mieux vous attendre au contraire.

Je serai vous, je resterai en ville.

On est sans ma barre avec sans protection, non merci.

Ça se trouve, il a déjà tout fait cramer.

Pas d 'autant plus que votre domaine et désert depuis cet après -midi.

Mon assistant l 'a abandonné pour préparer un voyage.

Vous êtes gonflés, j 'y suis pour rien.

Si vous allez passer la nuit au domaine, au moindre signe suspect,

vous appelez les gendarmes.

Tu devras accepter, hein.

Pour cette somme -là, tu peux grimper Ouma et faire le gaieteur.

C 'est un bat -cocaine.

Il accepte.

Voilà, c 'est le style de la maison.

Il y a que des gens serviavent dans mon entourage.

Excusez -moi.

Je vais vous dire que je vais vous dire que je vais vous dire que je vais vous

dire que je vais vous dire que je vais vous dire que je vais vous dire que je

vais vous dire Allez -moi.

France, je disais pas ça pour toi.

J 'approuve ton initiative et dès la mer de Thomas, t 'as mis un...

Tu vois, c 'est un ironie continuelle que j 'ai du mal à supporter.

Bon, écoute, j 'ai toujours préféré sourire quand ils compnaient de pleurer.

Voilà, chez moi le drame, appelle la comédie sinon je m 'emmerde.

Et tu vois, avec une femme comme moi, tu devrais mettre des sous -titres.

Je suis sans doute trop sérieux, ça.

Oui, c 'est le plus que j 'ai rencontré.

Et ce cher Thomas, t 'avais moins d 'en douté.

Ok, d 'accord.

D 'accord.

D 'accord, je reconnais.

J 'ai été désagréable et mesquien, je le reconnais.

Et tu sais pourquoi?

Parce que t 'es jaloux.

Mais oui, je suis jaloux, bien sûr.

Je suis jaloux.

Tu crois que c 'est une partie de plaisir, toi,

de dire des propos brûlants d 'un autre homme sur la femme qu 'on aime?

Ah, mais tu n 'avais qu 'à refuser de le lire.

Attends.

Ecoutez, demain, hein,

je t 'aiderai pour les formalités de l 'enterrement de Thomas.

Tu vois, je suis beau joueur.

Trop tard, je me débrouille à toute seule.

J 'ai l 'habitude.

Bon, écoute.

Je vais aller dormir en Allemagne ou en Suisse.

Je me déciderai à dernier moment.

Mais qu 'est -ce qu 'il fout?

Tu vas ici à trouver un chauffeur une heure pareille, ou?

J 'ai une conciergeurie disponible jour et nuit capable de tout me fourner.

Le service me coûte assez cher.

Alors, leur demander un petit peu d 'exactitude n 'est pas exagéré.

Non, mais ce qui pourrait l 'aide,

c 'est de ne pas avoir engagé de vigile pour garder votre domaine et d 'y

envoyer mon assistant.

Au contraire, c 'est l 'homme de la situation.

Il ne m 'aura rien fait à lui.

Il est de la vigne.

Ecoutez, je comprends que vous ménagez Crutzler.

Il n 'a appui pour longtemps que vous voulez récupérer ses parcelles.

Enfin,

vous êtes trop malin pour pas vous être rendu compte que Thomas a beauté vos

vignes.

J 'ai apprendu le moment où vous alliez m 'en parler et vous y avez mis le

temps.

Alors, pourquoi vous l 'avez lycée faire?

J 'avais passé un marché avec lui.

Je vais se livrer une course de pied un bout de temps après ce que m 'a dit

Thomas.

Thomas, mais qu 'est -ce qu 'il faisait là?

Il attendait Zumba au sous -sauce.

C 'est le nom d 'une parcelle qu 'il devait dépolluer.

Sous -titrage ST' 501 J 'avis de la suite,

creuse l 'aura pris les choses en main,

il aura demandé de disparaître comme s 'ils avaient jamais été là.

C 'est à peu près ça.

Et Thomas est venu me raconter l 'histoire quand la famille Zumba m 'a confié

le mandat de vente de la propriété.

Le vente de la propriété, tu n 'es pas réagi, vous?

Je suis visé d 'aller à la gendarmerie, hein?

Ça restait un accident.

Je me voyais pas aller dénoncer un vigneron connu, mon futur voisin en plus.

Alors j 'ai convaincu Thomas de ce terre contre un engagement comme ménologue

conseil.

C 'était bien pratique d 'avoir un moyen de pression sur un voisin hostile,

non?

Creutzler ne sait pas que je connais la vérité, je n 'en suis jamais servi.

Alors qu 'est -ce qu 'il y a des rapés?

Thomas a dû se vendre auprès de la journaliste d 'avoir assisté à l 'accident

et de l 'avoir connu.

Il a peut -être essayé de la faire chanter.

Enfin, c 'est Odylsix qui est mort de la première, pas Thomas.

On tue pas quelqu 'un qu 'on essaie de faire chanter.

Je sais pas.

Il aura pris autre chose, il lui aura confié.

Si il y a un genre de type à fourrer sur les partout.

Bon, vas -y, venez -moi.

Changement de programme, ta mission a reporté.

Le vénage a changé ta vie?

Non, c 'est moi.

J 'ai besoin de mettre de l 'ordre dans mes idées.

Elle retira demain matin, hein?

D 'accord.

Allez, bonne nuit.

Bonne nuit.

Monsieur Lebel?

Oui.

Midi de tambouris, je suis en bas de l 'hôtel, je peux vous voir?

En pleine nuit, qu 'est -ce qui se passe?

Bah, c 'est -à -dire qu 'il est 7 heures, quand même.

Déjà?

C 'est urgent, vous vous descendez?

D 'accord.

D 'accord, j 'arrive.

À ce soir?

J 'ai réservé une chambre d 'autre.

Pas très loin d 'ici.

Tu veux pas réfléchir?

Si.

Mais seul, on en a déjà parlé.

Oui, c 'est vrai, tu veux faire le point.

C 'est ce qu 'on dit quand on ne veut pas plaquer quelqu 'un séchement.

On va pas recommencer, Elsa.

Ca ne change rien pour ton père.

Je continuerai à m 'occuper de lui.

Hugo?

Je suis enceinte?

Quoi?

Tous les tolles d 'hier, soir et puis.

Je suis enceinte de deux mois.

Mais c 'est tout ce que t 'as à dire?

Je croyais que tu voulais pas d 'enfant.

T 'es sûre ou moi?

Ça va, j 'ai compris.

C 'est plutôt toi qu 'on veut plus, hein?

Je sais pas.

Écoute, on en reparlera d 'être opposés, d 'accord?

Attends.

Mais boule -toi, je te dis!

Je crois pas qu 'on aura l 'occasion de se recroiser.

Excusez -moi.

Allô?

Quoi?

Où ça?

Ok, j 'arrive.

C 'est Hugo Basselaire, il est mort.

Un accident de voiture.

Encore, décidément.

Enfin, je crois.

D 'après Mercier, sa compagne était un peu confuse au téléphone.

Faut que j 'y aille.

Merci.

M 'a fait du bien de vous parler.

Bonjour.

On dirait que quelque chose se précise entre toi et les forces de l 'ordre.

Je peux, moi aussi.

Ah, pas d 'imaginer des choses, tu sais.

Elle était à la recherche d 'une épaule à mi pour épancher son désarroi.

Voilà, elle pète pas tôt, elle pète pas tôt, genre.

Très émouvant.

Mais ne t 'inquiète pas, je vais pas te faire une scène.

Je te fais confiance, moi.

Bon, je te demande pardon pour Ria, je me suis conduit comme un imbécile.

Ah, mais moi, ça m 'a plu.

Quand t 'as colère, tu m 'as dit que tu m 'aimais.

C 'est toujours bon à prendre.

Bon, faut que je m 'absente une petite heure, là.

Tu t 'occupes des formalités pour Thomas?

J 'ai reste après -midi.

Ce matin, je me sens pas et je préfère rester tranquille à buller.

Allez, à tout à l 'heure.

Merci, France.

C 'est vraiment sympa de venir avec toi.

Ça m 'emballait pas de me retrouver tout seul chez Levin.

Je suis rapide de visiter sa propriété.

Je n 'ai que ça à faire.

Je comptais passer la matinée avec Benjamin, mais il a encore filé 2 ,5.

Mais s 'il apprend que vous m 'avez accompagné là -bas, ça va pas lui plaire.

Tu n 'es pas obligé de le lui dire.

C 'est ce que j 'ai pensé.

D 'ailleurs, j 'ai coupé mon portable.

Ça me fera des vacances.

Bravo, tu commences à savoir t 'y prendre.

On a failli vous écraser.

Je les ai connaissances avec ces deux jeunes gens.

Celui -coupe, non?

Vous venez de chez Crocheterre?

Hugo Basler a été assassiné.

La voiture a été trafiquée.

Il y a morace fiction, mais dans le contact.

Il semblerait que l 'assassin soit un vrai bricoleur.

Je vous avais dit que ça pouvait pas être d 'homme à bras d 'eau.

Ils ne sentent pas pour l 'autre crime?

Ils ont aussi lancé un avis de recherche sur elles à Crocheterre et son père.

Ils ont disparu tous les deux.

Continuez à en requêter, alors que la justice a passé la main au flic.

Je lui avais dit que je chercherai jusqu 'à la dernière minute.

Et rien ne m 'empêche de répondre à un appel.

Oui, je comprends bien, oui.

Détendant, il faut qu 'on y aille.

C 'était pas un couple.

Ils faisaient le chemin de Compostelle.

C 'était rencontrer la veille à la maison des Pelerins de Strasbourg.

J 'avais contacté les parents au moment de l 'accident.

Avant ça, c 'est de la se connaissez pas.

Alors Sylvain, qu 'est -ce que tu fabriques, quoi, bon sang?

Pourquoi t 'es sur mesagerie?

Bon, écoute -moi bien.

Tu ne vas surtout pas au Domaine Zumbaard.

Tu restes à l 'hôtel, tu m 'attends.

T 'as compris, hein?

Tu m 'attends.

Ah, c 'est pas vrai, ils sont revenus.

J 'appelle les flics, hein.

Où est le vent?

Sous -titres réalisés par la communauté d 'Amara .org Le Ven m 'a chargé de

surveiller sa propriété.

Il est parti.

Où ça?

J 'en sais rien.

À l 'étranger, je crois.

Le salopard!

Repousse -toi, papa, je vais m 'occuper d 'eux.

J 'aurais dû réagir avant.

Le tuer, comme est le sale vermin.

Ego serait encore vivant!

Mais venez m 'aider, vous!

Papa?

Le temps j 'ai trouvé la plante du tueur...

...à haut de la parcelle.

Il n 'est pas trop, je crois que je devais y être.

Pourquoi vous êtes venus fouiner, voici?

Ah, comme ça, l 'enquêteur à l 'assassin ne font qu 'un.

Ah, c 'est pas du jeu, seuil lieutenant.

C 'était mon fiancé.

Rappelez les croissants.

C 'est l 'heure qu 'on en finisse.

Ils doivent pas être longs.

Non, je les appellerais pas.

Ça suffit.

Vincent est à moitié mort et ça a perdu son compagnon tout le monde à son

compte.

Si vous refusez, je vous colle une balle dans le bandre.

Après, je descendrai votre femme, je le jure.

Ils viendront pas.

Si.

Le vieux voudrait m 'avoir.

Pensez à votre femme.

C 'est le bel.

Allô?

Ne m 'interrompez pas.

Je suis que le tueur.

Le marché est simple.

Vous vous pointez tout de suite ou alors, ils me descendent.

Si vous prévenez la police, ils me descendent aussi.

Je suis au zoussaus.

Je vais vous donner un conseil.

Ne venez pas sur le terrain.

C 'est une jolie journée.

Au!

Au!

Tenez, fais de gaffe, hein.

C 'est pas évident à conduire.

Merci pour tout, je sais pas quoi dire.

Mais nous dit -tu rien, et dépêchez -vous d 'aller aux urgences.

Monsieur le Baird, on n 'a pas de temps à perdre.

Attendez, là, vous êtes sûrs de votre coup?

Hein?

Le type qui t 'étient pas jamais,

il va tout de suite voir que je ne suis pas trop de sueur.

Telle meilleure idée pour empêcher qu 'il t 'étient pas jamais?

Bon bah, on y va, on y va, allez!

Attendez, attendez!

Voilà, voilà.

Bon?

Oui.

Entrez là -dedans et tenez -vous tranquille.

J 'ai rien contre vous.

Je me couche et je me colle les papates sur les oreilles.

Dommage qu 'on se rend compte dans ces circonstances.

Je les aime bien.

T 'es encore tendre à relancer.

Tu et les crottes slairs est inutile.

C 'était un accident, on ne pouvait pas aller à l 'air à ce point -là.

Mais qu 'est -ce que vous en savez?

Je ne sais pas.

Quand Tristan est mort, je suis morte en même temps que lui.

Tout ça à cause de petits cons qui faisaient la course en sortant de boîte.

Je venais juste de demander ma mutation d 'Alsace pour être près de lui.

J 'ai pas pu faire machine arrière.

En étudiant le constat d 'accident,

j 'ai tout de suite senti que les choses ne s 'étaient pas passées comme elles

étaient décrites.

Alors j 'ai enquêté.

Minucieusement.

Vous avez mis trois ans à en trouver.

J 'ai bossé comme une malade.

L 'insu de ma hiérarchie.

Bienjour.

Je suis tombée sur un autre filet vieux de cinq ans dans les archives

informatiques d 'un journal local.

Ça parlait de trois jeunes qui avaient eu un accident,

sans gravité après une course poursuite.

Égoo Baster s 'accompagne au dix -six.

Il aurait dû tenir compte de cet avertissement du destin.

Mon intuition me disait que c 'était eux les vrais coupables.

Mais j 'ai pris la peine d 'enquêter.

Et quand j 'ai été sûre,

je pouvais pas les laisser vivre leur petite vie tranquille.

Ils n 'avaient pas le droit d 'être heureux alors que Tristan prouissait dans

sa tombe.

Tu n 'as pas certain qu 'ils aient été si heureux que ça après l 'accident.

En tout cas, vous vengez le frappant à revenir.

Vous fatiguez pas.

Je vis que pour ça plus trois ans.

Personne pourra m 'arrêter.

Et comme un bateau, il t 'a pas prévu au programme.

Comment il a compris vous a situé la journaliste parce qu 'il l 'avait compris

pour vous l 'éliminer?

Il m 'avait vu déposer des fleurs à l 'horatoire.

Le hasard a fait le reste.

Le hasard?

Le hasard, c 'est l 'article que devait pondre d 'Ils six sur le veine.

Il a commencé par interviewer son onologue Thomas Barato.

Et Thomas Barato, évidemment, il s 'est vanté dans sa warlon sur l 'accident.

Je l 'ai dû lui balancer mon encontre du fric parce qu 'elle a essayé de

rentrer en contact avec moi.

J 'ai dû agir plus vite que préfète.

Il n 'a pas sa mort, il a voulu vous faire chanter vous aussi.

Il me n 'a assez de tout raconter, j 'ai senti qu 'il ne me lâcherait pas.

Prenez trop de plaisir à être le maître du jeu.

Vous l 'abriiez, vous l 'avez montré qu 'il tenait toutes les cartes en main.

Il aurait été à côté de la plaque jusqu 'au bout, c 'est- T 'es fait attention!

Oui, mais il y a des troupes partout!

Après, nos couilles partout seules!

Bon, pose le fusil à tes pieds!

C 'est dangereux comme ça!

Il ne vous aurait pas tiré dessus, vous savez?

La voiture!

Vite!

Ah, mon cheveux!

Vite!

Ah, je peux pas sortir, j 'ai mal au bouton!

Sors de là!

Ok!

C 'est bien pour tout le monde ainsi, pour sa famille,

que nous soyons d 'accord.

Personne n 'a rien n 'est gagné.

Oui, c 'est fini.

Un malheureux accident de tir pour stopper une voiture folle.

Nous ne sommes compris.

Pas besoin d 'en raconter plus, à la presse notamment.

Je vois, quelle sera la version officielle?

Les freins qui ont lâché, on te signera ça, après l 'expertise.

Expertise?

Pour avoir la due d 'enmercier.

Je l 'aime bien, elle me préparait pour le stage de la police scientifique.

C 'était quelque chose.

qu 'un niveau d 'investigation.

Pour le reste aussi.

Comment avez -vous compris que c 'était Tell qui avait tué?

Allons à Toire quand elle vous a parlé.

C 'était pas un couple.

C 'était le chemin de Compostelle.

C 'était rencontrer la veille à la maison des pelerins de Strasbourg.

J 'avais contacté les parents au moment de l 'accident.

Avant ça, c 'est de la se connaissait pas.

Le lieutenant Boris n 'a pas pu contacter les parents des victimes de l

'accident.

Elle a été nommée un mois après.

Ça a dû remuer dans votre tête avant de décider d 'avertir ou tirer à Chim.

Ça me rend trop tard.

Elle vous a faussé compagnie.

Heureusement que vous êtes arrivés à temps pour sauver des victimes qui me sont

chers.

Je visais les pneus, le véhicule de lieutenant a pris une bosse.

Croyez -moi, j 'en suis malade.

Alors, faut pas vous sentir coupable.

C 'est la mort qu 'elle aurait choisi.

Enfin, moi, à votre place, je retirerais mon base de tireur d 'élite.

Quelqu 'un de mes chiens pourrait penser que votre retire était une porte de

sortie que vous lui avez offerte.

Vous, par exemple.

Au moins...

J 'aimais bien cette fille.

J 'aimais bien.

Un dommage que sa vie est mal tournée.

Ah, ça va?

Ah, ça va.

Ah bah voilà, le retour des roues.

Alors, vous êtes fier de goût.

Ça va, je me suis niqué de genoux pour voler à votre secours.

Vous n 'allez pas m 'engueuler en plus.

Mais si, voyons, normalement, le héros, c 'est lui.

Alors, forcément, il est vexé.

Ah, pas du tout.

Je suis navré pour Sidvert.

Maintenant, son voyage en Argentine est foutu.

C 'est ça.

Faites soin pour d 'être déçu.

Vous avez des nouvelles de Chrysler?

J 'ai eu une attaque.

Enfin, il va s 'en sortir.

Je viens d 'avoir Elsa au téléphone.

Elle a décidé de tout raconter aux gens en main.

Mais tu vas faire la même chose avec nous, parce que nous,

on connaît la fin des histoires, mais pas le commencement.

Oui, plus tard.

Voilà, je vais savourer ce moment.

Bon, on est là.

Quand je pense à ce qu 'il y aurait pu vous arriver,

mais jamais t 'aurais dû leur braquer dans cette folie, toi.

Je pouvais pas...

C 'était mon idée.

Quoi?

Eh oui, monsieur.

Nous aussi, on peut jouer les têtes brûlées pour sauver les gens qu 'on aime.

Qu 'est -ce que tu crois?

Rien.

Je crois rien.

Je suis juste content qu 'on soit tous vivants.

Voilà.

Mais pourtant, je te sens préoccupé.

Qu 'est -ce qu 'il y a?

Je m 'en veux.

C 'est évident.

J 'étais beau et qu 'il était coupable.

C 'est toujours si elle me l 'a pas dit, j 'ai rien compris.

J 'ai des excuses.

J 'étais sur le charme.

Qu 'est -ce que tu racontes?

Là, j 'ai de ma fille.

Non, non, non.

Mais c 'est perdu de mon accueil.

Voilà.

Ça reviendra vite.

Je me charge de nous faire oublier cette triste aventure.

On y va?

On y va.

Et c 'est moi qui conduis.

On n 'est jamais assez prudent sur ces chemins.

Allez.