All language subtitles for Belgravia.The.Next.Chapter.S01E02.1080p.WEB.h264-EDITH[EZTVx.to]

[Frédérick] Qui est cette fille ?

[Duchesse de Rochester]
Elle s'appelle Clara Dunn.

La duchesse me dit que vous avez
récemment arrivé à Londres.

[Clara] Oui.

Puis-je déduire de tout cela que
tu es sérieux à propos de la fille ?

Mlle Dunn,
me ferais-tu l'honneur

de devenir Lady Trenchard ?

Je ne veux pas t'effrayer.

[Clara] Je n'ai pas peur.

[Frederick] Je n'ai pas toujours
trouvé la vie facile.

J'ai parfois ressenti
moi-même trahi.

Vous avez travaillé pour la famille
depuis longtemps, M. Enright ?

Vingt-six ans, Votre Seigneurie.

Très bien.

Mon frère est-il à la maison ?

j'ai lu l'annonce
de son mariage.

J'aimerais qu'il sache
il est dans mes pensées.

-[hennissements de chevaux]
-[bruit sourd]

[James] Il y a un médecin
en chemin.

Merci pour tout
c'est ce que vous avez fait, mademoiselle...

-Dunn.
-James Trenchard.

Vous avez dit Trenchard ?

-Ma sœur est Clara Dunn.
--[Dawes] Faites-le entrer !

Je suis sûr que tu comprends pourquoi
le duc est déterminé

que la maladie de Peter ne devrait pas
deviennent de notoriété publique.

Personne n'entendra jamais un seul
un mot de votre passé de ma part.

je veux quelquechose
à une plus grande échelle.

[Duc de Rochester]
La marquise d'Étagnac.

Elle est l'une des
les femmes les plus riches d'Europe.

Nous devons parler davantage.

[Frédéric] Cette femme est
extrêmement important pour moi,

et tu m'as humilié
Devant elle.

-Je ne l'ai pas fait.
-Tu me demandes de te faire confiance.

Et c'est ce que tu fais ?

-Clara, s'il te plaît...
--[Clara crie]

[Frédérick] Non, non, non !

Si tu pouvais sortir
un instant, Votre Seigneurie.

[Davison] Je crois que je sais
à quoi vous pensez, monsieur,

mais c'était un accident.

[le verre se brise]

[jeu de musique à thème]

Bonjour mon cher.

Si tu le dis.

[les gens bavardent indistinctement]

- Comme d'habitude s'il te plaît, Mawd.
-Oui, M. Enright, monsieur.

Elle n'aura pas besoin de grand chose.

Elle ne se sent pas
trop bien ce matin.

Quel est son problème?

-Elle n'est pas...
-Non.

-Il est de retour ?
-Pas encore.

Il aurait dû dire si
il aurait besoin d'un petit-déjeuner.

Qu'est-ce qui l'a fait sortir
à cette heure?

Début des affaires, j'imagine.

Ouais, ouais, qu'est-ce qui a causé ça alors ?

Le lit fait trembler les murs ?
Ou est-ce une querelle d'amoureux ?

[Fletcher] Cela ne nous regarde pas.

Bonjour à toi aussi,
M. Fletcher.

Je n'en veux pas, merci.

Dans mon expérience,
aucune situation n'est améliorée

en ayant faim, Votre Seigneurie.

Tu veux ta force,
n'est-ce pas ?

Est-ce que mon mari
dans la salle à manger?

Je crois qu'il est sorti.

Il a dû se laisser sortir
la nuit.

je suis sûr que ce n'est rien
se préoccuper de.

[Duchesse de Rochester]
Il me demandait si je pouvais

recommander un médecin
qui serait gentil et discret.

-Était-il?
-Hmm.

J'ai recommandé le Dr Ellerby.

Je pensais qu'ils semblaient
un peu en retrait quand ils sont partis.

Et ils sont partis si brusquement.

Et bien,
Frédéric est Frédéric.

S'il souhaite que nous le sachions,
il nous le dira.

Mm. J'espère qu'ils ont réussi
pour trouver Ellerby.

Il est extrêmement rassurant.

[soupirs]

Percy, la dernière fois
il était là,

Ellerby a suggéré
que Peter pourrait bénéficier

de voir
les autres enfants de temps en temps.

je me demande
s'il n'a peut-être pas raison.

Et Amelia est toujours
parler de son frère.

Il a également parlé de certains
de nouveaux traitements qui...

Je vois, Dizzy recommence.

Percy....

J'essaie de choisir
le bon moment.

Je sais que oui.

Mais il ne semble jamais y en avoir.
Parce qu'il n'y en a pas.

Y a-t-il un bon moment
pour parler de tout l'avenir

de sa lignée familiale
s'effondrer de honte ?

Désolé, Marie,
mais ne le faisons pas, d'accord ?

La règle du matin de Percy,

rien qui ne se conserve.

Un peu d'argent. Merci.

Bonjour, Votre Seigneurie.

-Cette fonderie ?
-Abercrombie ?

Produit-il uniquement du fer ?

Je le crois. Je sais
ça fait longtemps qu'il est là.

Est-il possible
pour une fonderie de fer

étendre
pour produire de l'acier ?

Le projet d'aciérie
qui a échoué

n'a rien à faire
avec cet endroit.

Je suis au courant de ça. Je demande
si c'est possible en théorie.

Si c'est le cas, ce serait un plus
proposition économique,

n'est-ce pas, que de construire
une œuvre entièrement nouvelle ?

J'espère qu'ils
sont souvent assis côte à côte.

L'acier a besoin du fer,
après tout.

Ce serait certainement
un plus grand projet

que ce que nous avons vu auparavant.

Je pense qu'il y aurait
pas de fin de problèmes, cependant.

Voudraient-ils s’étendre ?

Serions-nous capables
pour saper Sheffield...

Facteurs. Pas de problèmes.
A considérer et à traiter.

Examinez-le.

Commencez par découvrir
si c'est même possible.

Et je veux savoir
pourquoi le dernier projet a échoué.

Un rapport de
ce soir, s'il vous plaît.

J'ai un investisseur en tête.

Comme vous le souhaitez, Votre Seigneurie.

[frapper à la porte]

[respirant lourdement]
Entrez.

[Frederick] Je tiens à m'excuser.

Mon comportement était... absurde,
et je dirais impardonnable,

mais j'espère que tu pourras le trouver
dans ton cœur pour me pardonner.

-C'était autant ma faute que...
- Ce n'était pas le cas.

Je n'aurais jamais dû parler
avec la marquise,

et je n'aurais pas dû
se précipita dans les escaliers...

C'était de ma faute. Entièrement.

[soupirs] Quand je pense à
qu'est-ce qui aurait pu se passer...

J'espère que tu n'as pas mal ?

Je ne suis pas.

Un léger mal de tête.

Les choses que j'ai dites ne sont pas
ayant besoin de vous, oubliez-les.

-Frédéric...
-Oubliez-les et pardonnez.

[musique pensive jouant]

♪♪♪♪♪

[Oliver] Excellent, James.

[le jeune James] Freddie, maintenant.

[Oliver] Viens ici alors.

Montre-moi ce que tu as.

♪♪♪♪♪

[le portail grince]

[le portail se ferme en grinçant]

S'il vous plaît excusez-moi.
Mlle Dunn ?

Révérend Trenchard.
J'espère que c'est pratique.

-J'ai demandé à l'église.
-Bien sûr.

Je suis content que tu sois venu.

Comment va notre pauvre fille ?

Euh...

Physiquement, elle semble
beaucoup mieux,

mais j'ai peur de ses esprits
sont très faibles.

Hmm.

Elle n'a toujours pas parlé.

-Alors, on ne sait pas qui elle est ?
-Aucun.

J'ai joué à un jeu avec elle
ce matin,

essayant de deviner son nom.

-Oh. [des rires]
-Faire des suggestions farfelues.

J'espérais que ça pourrait l'amuser
me disant ce que c'est vraiment.

[des rires]

Comme Rumpelstiltskin ?

-[des rires]
-Oui.

Oui, exactement.

Non, non, s'il te plaît, ne le fais pas.

Je pensais que tu aimerais
pour rencontrer Mlle Dunn.

Miss Dunn fut la première personne
pour courir à votre aide.

Oui. Tu nous as tout donné
plutôt une frayeur.

Mais je suis si heureux de te voir
à nouveau sur vos pieds.

Vous devez nous dire comment
tu es venu près de l'église.

Êtes-vous de cette paroisse?

[James] Merci, Mme Warren.

Je suis désolé, c'est
une question affreuse,

mais tu penses
il est possible qu'elle...

Je suis entré sur la route
intentionnellement? Oui.

Je crains
cela s'est produit ainsi.

Nous devons faire tout ce que nous pouvons
pour lui faire comprendre

combien elle est précieuse pour le Seigneur.

En effet.
Nous sommes tous des créatures de Dieu.

Je ne peux toujours pas créditer
la coïncidence

de toi étant
Le frère de Lord Trenchard.

J'espère que nous nous reverrons

à la maison
à Eaton Square parfois ?

Merci.

-Tu es souvent là ?
-Non.

je n'ai pas reçu
une invitation encore.

Je suppose que c'est ce qui se passe

quand on vit
dans une grande maison à Belgravia.

On oublie
tout le monde existe.

je ne suis pas entièrement sûr
que faire, Mlle Dunn.

[soupirs] Elle... Elle ne peut pas
rester ici indéfiniment.

-La convenance l'interdit.
-Absolument.

Elle ne peut pas rester ici...

avec toi,
étant un gentleman célibataire et...

Mais quelle est l'alternative ?

L'hospice ?

Si personne ne vient regarder
pour elle, que puis-je faire d'autre ?

Ça me brise le coeur.

[toux et étouffement]

Oh.

[halètement]

Oh, vas-y. Juste aller!

Oh cher.

je jure que c'est le cas
plus d'os que de poisson.

je ne sais pas comment
vous pouvez supporter de le manger.

Comme tu l'as dit tant de fois,
elle est désespérée.

Si seulement ce n'était pas si difficile

trouver de bonnes personnes
ayant besoin d'un poste.

-Je veux dire, je-je vraiment...
-Mère...

-Je pense vraiment que n'importe qui...
-Tu as raison.

C'est l'idée la plus brillante.

N'importe qui serait mieux.

Mère, tu es un génie.

[rires]

[hennissements et fanfaronnades de chevaux
a distance]

Le Docteur arrive,
Votre Seigneurie.

Celui qui était ici
l'autre soir.

Je n'ai pas besoin de lui.
Demandez-lui de partir, s'il vous plaît.

[la porte s'ouvre]

Je vais y veiller.
Merci, M. Enright.

Euh, Lady Trenchard dit
elle n'a pas besoin de vous, monsieur.

Elle vous remercie de votre sollicitude.

Je préférerais voir Sa Ladyship

et assure-toi bien
elle est rétablie.

D'un coup à la tête...

Eh bien, elle mange et boit.
[rires] Elle est hors du lit.

Elle dit qu'elle se sent
parfaitement bien.

Je te verrai à l'arrière
porte, monsieur, si cela ne vous dérange pas.

En fait, je le fais.

Bonne journée.

[des pas partent]

[la porte se ferme]

[Claire]
Regardez le désordre qu'elle a laissé.

Oh, et bien, la nouvelle fille
il faudra le nettoyer.

[Emilie]
Elle ne le fera pas. Je le ferai.

je n'aurai pas
le révérend Trenchard

pensant que nous profitons
ou que nous sommes négligés.

Oh! Non en effet,

surtout maintenant nous savons
qu'il est de la famille.

Mère?

Quand le révérend arrive,

serait-il possible
pour que tu ne parles pas ?

-Pas parler?
-Sauf pour dire : "Comment vas-tu ?"

[rires doucement]
Bien sûr, je dois parler.

Oh, je le jure,
c'était mon idée, après tout.

[rires doucement] Ne parle pas...

Tu ne pars pas ? je devrais
sont descendus plus tôt.

[Frédérick] J'en ai
affaire urgente aujourd'hui.

Je suis heureux de te voir
en regardant bien.

Je vais bien. Complètement.

Puis-je venir avec toi?

Euh...

Non bien sûr que non. Désolé.
Je comprends. [renifle]

Mais je te verrai au dîner,
J'espère?

Oui.

[la porte s'ouvre et se ferme]

J'ai reçu une note de
Lord Trenchard ce matin.

-Une proposition commerciale.
-Eh bien, c'est lui.

Jamais du genre à laisser
l'herbe pousse dans de telles matières.

L'avez-vous connu
pendant longtemps?

Plusieurs années.
Lien familial.

C'est un gars solide.
Intelligent aussi.

-Tu en es sûr ?
-Absolument.

Son grand-père était
un homme d'affaires de premier ordre,

un favori de Wellington.

Son père, un peu moins,
mais Frédéric était déterminé

suivre
dans la tradition familiale.

Il n'a pas besoin de gagner de l'argent,
bien sûr.

Il est certainement digne de confiance.
-Merci.

C'est toujours mon instinct,
avant de prendre des décisions,

être sûr
de qui j'ai affaire.

Tout à fait vrai.

[cloche sonne]

J'espère que cela ne vous dérange pas
je vous reçois ici.

Les rénovations. Vous comprenez.

C'était l'habitude
de Marie-Antoinette

recevoir des invités
dans son boudoir.

Il y a bien longtemps
J'ai vu le boudoir d'une dame.

Hormis celui de la Duchesse,
bien sûr.

Bonjour, Madame.

Bonne journée. Et merci encore,
mon ami.

[musique fantaisiste jouant]

♪♪♪♪♪

Et il dit : "Parce qu'elle
il ne vient que lorsqu'il siffle."

[tous rient]

Tu aimes celui-là,
et toi, Mawdie ?

-C'est marrant.
-Pourquoi ça alors ?

C'est juste.
Toutes vos blagues sont drôles.

Mon plus grand admirateur,
n'est-ce pas, ma fille ?

Éliminez-les maintenant, s'il vous plaît.

Je, euh, je pensais que je viendrais
et voyez où vous travaillez tous.

Ça semble étrange de vivre
dans une maison et je ne sais pas quoi...

Que se passe-t-il ci-dessous,
Votre Seigneurie ?

[se racle la gorge]

Mme Enright, j'aimerais

pour discuter des menus
avec vous pour la semaine prochaine.

Êtes-vous malheureux
avec ce que j'ai servi ?

Non pas du tout.

je crois que c'est
une pratique régulière.

Je me souviens que ma mère le faisait
avec notre cuisinier du Hampshire.

Dans le salon,
peut-être, Votre Seigneurie ?

Sa Seigneurie souhaite
pour le faire ici,

alors peut-être Mme Enright
pourrait aller chercher son cahier.

♪♪♪♪♪

Le salon ira bien
si vous préférez. Merci.

[Davison] N'a-t-elle pas
un droit d'être

dans n'importe quelle pièce
de la maison qu'elle choisit ?

Ce n'est pas une pratique régulière
dans cette maison pour...

Mais tu n'as jamais eu
une maîtresse ici, n'est-ce pas ?

Sa Seigneurie certainement
je ne voudrais pas qu'elle soit bouleversée.

Qui l'a contrariée ? Non, je ne l'ai pas fait.

C'est assez.

Merci.

[cloche sonne]

[Mme. Dunn]
Ce doit être votre révérend !

Un moment!

Je vais descendre !

[Mme. Dunn]
Je vais ouvrir la porte !

Oh! Non non Non Non Non Non...

Quel très bel endroit
vous l'avez ici, Mme Dunn.

Merci. Eh bien, nous sommes
je commence à me sentir plus installé.

Ce n'est rien bien sûr, comparé
à ce que nous avions dans le Hampshire.

Oh, la maison la plus charmante

qui regardait
à travers une vallée.

[rires] Oh, vraiment ?

Terrible!

Oh! [rires]
Oh, oh, bon après-midi, ma chère.

Le vicaire...
Le curé présente ses excuses.

Le pauvre M. Bart a pris
un tournant pour le pire,

et le cher révérend James
s'est précipité à son chevet.

Oh.

Voudriez-vous du thé ?

[halètement] Oh, oui, merci.

Peut-être que tu pourrais venir
et m'aider ?

Je suis sûr que c'est tout
va fonctionner à merveille.

Tu sais, ça aiderait vraiment
si tu pouvais me dire ton nom.

Ou dois-je en inventer un ?

-Nell.
-Nell ?

Nel. [des rires]

[rires] Nell.

Vous pouvez dire
le révérend Trenchard,

nous avons notre premier miracle.

[Étienne]
Et de quelle couleur est la balle ?

--[Pierre] Rouge.
-C'est exact.

Un garçon intelligent.

Avez-vous encore pensé à

la possibilité
de plus de compagnie pour lui ?

Dans la maison, je veux dire.

Nous pourrions l’envisager.

Et quel âge avait-il
quand a-t-il eu sa première crise ?

Il avait quatre ans.

Et avant cela, y avait-il des
des signes d'un comportement inquiétant ?

Il était parfois
un peu... distant.

Mm.

Je pensais qu'il était triste
et je me demande pourquoi.

Puis-je demander une question,
en confiance?

-Bien sûr.
-Est-ce que j'ai fait quelque chose

quand je le portais,
qui l'a endommagé ?

Je suis sûr que non.

C'est un cauchemar.

Il n'y a rien de tel
dans l'une ou l'autre de nos familles.

Nous vivons un environnement propre
et une vie saine.

-Je ne sais pas...
-[la porte s'ouvre]

Ah, ma chérie, euh,
voici le Dr Ellerby,

dont je vous ai parlé.

-Votre Grâce.
-Oui. Très bien. Comment vas-tu?

♪♪♪♪♪

[Ross] C'est une entreprise familiale.

Euh, d'après mon contact,

c'est en proie à des luttes intestines
parmi le conseil d'administration

ce qui le retient.

Pas d'investissement extérieur,
je n’en ai jamais eu.

Ils produisent du fer forgé.

Ils ont commencé
regarder la fonte brute,

mais c'est aussi loin
comme ils l'ont fait.

Et avec l'acier, vous cherchez
au processus Bessemer ?

-Obtenir une licence ?
-Oui madame.

Mais je comprends
le processus est défectueux ?

C'était. Mais avec un,

ou idéalement deux Bessemer
convertisseurs en marche,

ça prend
seulement 10 ou 20 minutes

convertir cinq tonnes
du fer en acier.

Avant Bessemer,
ça aurait pris une journée,

et l'acier
aurait été fragile.

[bavardage indistinct]

Vous auriez besoin
plus d'espace, je suppose ?

Si nous courons
deux convertisseurs, certainement.

Il faudrait acheter
l'entrepôt là-bas.

[Frédérick] Je ne vois pas
aucune difficulté avec ça,

si nous offrons le bon prix.

J'ai demandé un rendez-vous
avec le tableau,

et c'est prévu pour la semaine prochaine.

Merci.
Cela a été instructif.

[l'homme crie indistinctement]

En théorie, la proposition pourrait-elle
ça vous intéresse ?

Parce que j'aimerais
rencontrer le conseil d'administration avec...

Peut-être.

S'il te plaît, garde-moi
informé de vos progrès.

J'admire votre ambition.
Cela correspond au mien.

Comment est ton enchantement
une jeune femme ?

Elle va bien, merci.

Et heureux?

Ah, le mariage.

Un casse-tête, n'est-ce pas ?

Vous avez trouvé un trésor rare,
Frédéric.

Puis-je vous appeler Frédéric ?

Clara... elle ne l'est pas
une fille ordinaire.

Elle a la force
pour être honnête.

Tu devrais lui faire confiance.

Elle pourrait devenir
votre plus grand atout.

♪♪♪♪♪

Viens à Glanville avec moi,
Claire.

C'est là que j'ai grandi.

Maison d'enfance.

Je pense...

... c'est vrai que
tu devrais voir ça,

que tu devrais apprendre
pour le savoir.

Veux-tu?

Oui.

[musique orchestrale radicale
jouant]

♪♪♪♪♪

[Bien]
Bienvenue, Votre Seigneurie.

[Frédéric] Très bien.

-Tu as joué là-bas ?
-Parfois.

Il n'y a rien d'intéressant
à voir ici.

Il n'y a pas de crèche ?

j'aimerais voir
où tu dormais.

Deux lits?

Celui-là appartenait à mon frère.

Vous avez un frère?
Je ne savais pas.

Non, nous ne sommes pas proches.

Il est plus jeune que moi.
Il entra dans l'église.

Quel est son prénom?

James.

-[Clara] C'est un grand domaine ?
-C'est.

Tout ce que vous pouvez voir.
Et plus.

Les villages,
les fermes, la forêt.

Et c'était ton grand-père
qui a vécu ici en premier ?

Oui.

Ma grand-mère
conçu ces jardins.

C'était mon père
qui en a fait ce qu'il est aujourd'hui.

Il a mis beaucoup
de travail.

Peut-être que nous apporterons
nos propres enfants ici un jour.

Élevez-les ici, peut-être.

J'imagine que c'est
un endroit parfait pour les enfants.

Viens là alors!

[hurle]

[Susan] Tu seras étonné
à combien vous pouvez enterrer.

Ne pleure jamais, jamais.

♪♪♪♪♪

[Oliver] Je te plains presque.

Tu vois, ce dont tu as besoin
comprendre,

c'est que tu as un noyau pourri.

Tu as une mauvaise âme,

à laquelle vous ne pourrez jamais échapper.

Tu es
et ne sera toujours pas aimable.

[l'horloge tourne]

[oiseau criant au loin]

-Un moment.
-[frapper à la porte]

Frédéric ?

Frédéric ?

Mon père est mort dans ce lit.

Étiez-vous ici avec lui ?

Avez-vous pu dire au revoir ?

À la dernière,
il ne voulait que James.

Pourquoi?

Mon frère m'a supplanté
dans les affections de mon père,

depuis le jour de sa naissance.

-Il a retourné mon père contre moi.
-C'est affreux.

J'essaie de me souvenir
une époque avant James.

Je ne peux pas.

J'essaie de penser à ce que mon père
j'aurais peut-être pensé...

de ce que j'aurais pu faire
pour le faire.

-Peux-tu m'aimer, Clara ?
-Oui.

Tu penses que j'en suis digne ?
Digne de votre amour ?

Oui.

Oui, Frédéric.

Chéri.

[musique romantique jouée]

♪♪♪♪♪

♪♪♪♪♪

[les oiseaux gazouillent]

Quelle heure est-il?

[chuchote]
Juste après huit heures.

- Nous avons raté le dîner hier soir.
--[rires]

Les serviteurs
ça doit être assez confus.

[halètement]

[les deux rient]

J'ai un rendez-vous
avec mon gestionnaire immobilier.

Cela peut durer quelques heures.
Est-ce que tout ira bien ?

Ça ira.

Je reviendrai dès que possible.

♪♪♪♪♪

Lady Trenchard et moi sommes
donner un dîner vendredi.

Il y aura au moins
huit invités.

Nous espérons que vous travaillerez tous dur
pour faire de l'occasion un succès.

Mme Enright, nous déciderons
sur un menu ensemble.

Oui, Votre Seigneurie.

Très bien, veuillez diriger
des questions à Sa Seigneurie.

Merci.

♪♪♪♪♪

[la porte s'ouvre]

-[la porte se ferme]
-J'aime Clara autoritaire.

♪♪♪♪♪

Bon sang, ils vont danser
sur la table après tout cela.

Hmm.

Si cela ne parvient pas à l'impressionner,

eh bien... [soupire] alors j'oserais
son intérêt n'est pas fondé.

je n'ai aucune raison
croire que c'est vrai.

Merci, Ross.
Tu as travaillé dur.

Dame Trenchard.

C'est M. Ross,
mon chef d'entreprise.

Comment vas-tu?

Honoré de vous rencontrer,
Votre Seigneurie.

Et puis-je prolonger
mes sincères félicitations

- sur vos récentes noces ?
-Merci.

Votre Seigneurie.

Elle est plus jeune que lui,
n'est-ce pas ? Et plus joli.

Tu pourrais parler de moi,
M. Ross.

Oh, une recette pour
un mariage réussi, n'est-ce pas ?

Je suis sur et certain.
Ils ont l'air heureux,

spécialement depuis
ils sont allés à Glanville.

-Ah. Que s'est-il passé là-bas alors ?
-Qui sait?

Eh bien, il est de meilleure humeur,
Je dirai ça.

Et si ça l'atteint
sur mon dos...

[Mme. Enright] Hmm.

[slurps]

Et quand te verrai-je
sur le dos, Mme Enright ?

Vous êtes un taquin.

Tu es un diable.
Laissez-moi continuer maintenant.

[Ross] Bonne journée à toi,
M. Enright.

-Comment vas-tu, Frédéric ?
-Nous allons extrêmement bien tous les deux.

je ne t'ai pas vu
puisque tu m'as envoyé chercher...

Oui.

-J'espère que le problème a été résolu.
-C'était. Merci, Duchesse.

C'est... ça signifiait beaucoup
que je pourrais me tourner vers toi.

Tu as
une maison élégante, Clara.

Merci. Il y a encore
beaucoup de choses que j'aimerais faire.

Mais j'apprends à l'aimer.

[conversations indistinctes]

Tu as changé.
Je peux le sentir.

Il a ouvert son cœur,

et maintenant tu es heureux.
Ai-je raison?

Frédéric est tout
J'espérais chez un mari. Plus.

Cela me rend très heureux.

La dernière fois que je l'ai vu
Je l'ai encouragé à être courageux,

faire confiance.

Je pense que ça a fonctionné, non ?

Oui. Je pense que c'est le cas.

À quel point,
le pauvre Henry éternue.

Le tir touche un arbre...

[tous rient]

... rebondit et le frappe
dans le pied.

[tous continuent de rire]

C'était un accident bizarre,

et le jeune Archie Grosvenor,
il dit, euh,

"Sois béni!"

[ils rient tous fort]

[Netherbury rit] Ah,

Henry a toujours été
un handicap avec une arme à feu !

[Duchesse de Rochester]
J'espère qu'il s'est rétabli.

Oui, il est–il est toujours debout.

Sur une jambe, probablement ?

[tous rient]

[Marquise]
J'ai peur des armes et de la chasse

ont perdu leur charme pour moi,

quand on devient
la carrière, tu sais ?

Ah oui.

Mais je suis toujours heureux
manger le résultat.

[tous rient]

Honteux,
la destruction a provoqué

par ces bougres de Paris.

Penser à
le Palais des Tuileries

étant entièrement brûlé.

[Netherbury] Et où
est-ce que ça les a eus ? Nulle part.

Tombes précoces et bon débarras.

[Marquise]
J'avoue un petit regret.

Je ne pouvais pas embrasser, naturellement,
la cause des Communards,

mais quand les gens font un rêve

pour lequel ils sont
prêt à mourir,

cela ne remue-t-il pas l'âme ?

Eh bien, il faut souhaiter à la belle
La France un avenir paisible.

[tous] La belle France.

La belle France.

J'ai été témoin
un accident récemment.

Une jeune fille est sortie
devant une voiture,

-Juste devant moi.
- [invités] Oh, chérie.

- Elle a été grièvement blessée ?
-[Emily] Très mal.

Mais le vicaire de l'église
j'assiste

s'est précipité dehors et l'a sauvée,

et depuis, il s'est fait
responsable de son bien-être.

Oh.

Elle est venue chez nous
comme notre serviteur. [rires]

Quelle histoire extraordinaire.

Même si ses scones
laisse un peu à désirer.

[tous rient]

Espérons qu'elle s'améliorera.

Oui, euh, mais voici
la chose la plus extraordinaire.

Il s'avère que ceci
ecclésiastique chevaleresque

est votre frère, Lord Trenchard.
-Oh.

Le révérend James Trenchard.

- [Netherbury] Eh bien, eh bien.
-[tous bavardent doucement]

-Alors, c'est St. Jude ?
--[Emily] Oui. À Chelsea.

- Pas si loin d'ici.
-Une grande coïncidence.

Il a expliqué qu'il ne pouvait pas
être à votre mariage.

Sinon, nous nous serions rencontrés.

Oui. Mon frère est dévoué
à son troupeau.

Engagements antérieurs. Dommage.

Ma femme de chambre a été touchée
par une wagonette une fois,

sur le chemin Brompton.

-[la porte se ferme]
--[Clara soupire]

J'ai eu la voiture
ramené.

Merci très cher. Merci. Ah.

Merci d'être venu.

Cela signifiait beaucoup pour nous
de t'avoir ici.

Oh, eh bien, cette maison est...
est tout à fait merveilleux.

-Je suis très fier de toi.
-Merci.

je viendrai te voir
plus souvent maintenant, je le promets.

[la porte s'ouvre]

-[la porte se ferme]
-Tu me manques.

Eh bien, vous savez où nous trouver.

Le révérend James Trenchard.

J'espère que je le rencontrerai bientôt.
Vous l'aimez bien, je pense.

Je veux dire, tu penses beaucoup à lui ?

Oui.

Humilité et douceur...

sans parler d'autres qualités.

J'aime tout chez lui.

♪♪♪♪♪

Un aperçu complet de ma proposition,

y compris un compte
de ma réunion avec le conseil d'administration,

qui s'est exceptionnellement bien passé.

Merci.

Pardonnez-moi d'avoir combiné
affaires avec plaisir.

Est-ce qu'il y a un autre moyen?

J'espérais pouvoir t'appeler
début de semaine prochaine,

-pour discuter de la manière dont nous pouvons procéder.
-Peut-être.

je vais lire votre proposition
avec intérêt.

Une délicieuse soirée.

[Clara] Je suis désolée pour Emily.
Cela a dû être un choc.

je n'avais pas réalisé
James habite si près.

Vous avez été extrêmement aimable.
J'étais fier de toi.

C'est toi.

Tu me rends fort.

-Viens au lit.
-Hmm. Bientôt.

[les oiseaux gazouillent]

[l'horloge tourne]

[homme au loin] Peter !

Ah Pierre ! [crie indistinctement]

[homme] Peter ! Continue! Pierre !

[homme criant indistinctement]

Pierre !

Aller!

[Clara] Il est là.

[Marquise] Giovan Lucca,
ce ne sera rien.

[Marquise parlant en français]

Reviens.

[le portail grince]

Bonjour.

Je m'appelle Clara.

Je suis vraiment content de t'avoir rencontré.

je ne suis pas très courageux
quand je suis seul.

-Quel est ton nom?
-Pierre.

Je pense que je t'ai vu
une fois auparavant, Pierre,

sur la place Belgrave.

Veux-tu me tenir la main
donc je n'ai pas peur ?

[halètement]

Dame Trenchard. Pardonne-moi.

Bonjour Peter.

Doit-il revenir
à Belgrave Square ?

Ah oui. C'est une bonne idée.

Je vous ai apporté un nouveau livre.
C'est très amusant.

Je pense que ça va vous faire rire.

On va le lire ?
[rires]

Merci.

Sa famille sera
extrêmement soulagé et reconnaissant.

Les Rochester ?

C'était ravi de vous rencontrer.
Profitez de votre livre.

Au revoir.

Dame Trenchard ?

Je t'ai encore appelé.

Oui je sais. Merci.

Tu étais très gentil, mais comme
vous voyez, je vais très bien maintenant.

Tu avais l'air malheureux...
cette nuit.

Et je sais que ce n'est pas vraiment le cas
c'est à moi de dire...

Non, ce n'est pas le cas,

et ça ne semble pas non plus tout à fait
professionnel, je dois dire,

commenter quelque chose
ce qui ne vous regarde pas.

Je l'ai ressenti cette nuit-là,

ce que tu pensais,
et tu avais tort.

Alors pardonne-moi.

Tu ne sais rien de moi
ou mon mari.

Tu ne sais rien de quoi
il a dû composer avec.

S'il vous plaît, restez loin de nous.

[soupirs]

-[la porte grince]
-Oh!

Bonté divine.

Est-ce qu'il s'est passé quelque chose, madame ?

Non rien.
J'avais besoin d'air, c'est tout.

J'espère que tu n'as pas été vu !

[soupirs]

La propriété
de la maison de Sa Seigneurie - c'est...

C'est primordial.

-J'espère que tu comprends--
-Je sais que.

Veuillez me parler à l'avenir,

Votre Seigneurie, si vous avez
besoin de quoi que ce soit.

En fait, il y a
quelque chose pour lequel vous pouvez m'aider.

Est-ce que le frère de Sa Seigneurie
j'ai déjà appelé ici

et essayer de le voir, peut-être ?

Pourquoi demandez-vous, Votre Seigneurie ?

Est ce qu'il?

J'ai une certaine compréhension
de la situation.

Y a-t-il eu un moment
quand ils étaient enfants, quand...

Je pense qu'il doit y avoir
été une époque où...

il y avait de l'affection
entre eux?

Sûrement?

Peu importe ce que tu penses
vous comprenez, Votre Seigneurie,

J'ai peur de devoir te prévenir
que tu ne le fais pas.

Certaines choses sont meilleures
laissé bien seul.

Et certains sont mieux réparés.

Pas ça.

Je suis sûr que tu ne souhaiterais pas
apporter des ennuis à Sa Seigneurie.

[Clara] Bien sûr que non.

Son bonheur
est ma seule préoccupation.

Alors nous sommes d’accord.

Oui. Merci, Enright.

Votre Seigneurie.

[soupirs]

[chuchotant] James...

♪♪♪♪♪