All language subtitles for PPPD-494 Hitomi Tanaka

Traduit par "Le Père Vers"

- Hé... Ça faisait longtemps, Hitomi.
- Toi aussi, Kiyoji.

- On se sent différent dans une nouvelle maison, n'est-ce pas ?
- Ouais je suppose.

Tu es ici pour voir Mari, n'est-ce pas ? Entres.

Désolé pour l'intrusion.

- Mari, Kiyoji est là.
- Oh merci.

Vous vous êtes trouvé un bel endroit. Ça a l'air sympas ici.

- Ça l'est. - Ouais.
- Pourquoi je n'emménagerais pas avec vous ?

- Surement pas. - Les hommes ne sont pas autorisés ici.
- Oh, allez...

Ce sera amusant de vivre ensemble.

- J'ai Hitomi avec moi, on ne peut pas.
- Euh, c'est vrai.

Il n'y a aucune solution.

J'aurai un tas de nouveaux juniors l'année prochaine.

Bien évidemment.

Je sais, mais c'est tellement relaxant quand il n'y a personne dans le club.

Je ne peux pas t'aider la dessus.

Ce club était assez populaire à l'époque. Kyoji était réticent à le rejoindre.

C'est à cette époque que nous nous sommes tous connus, n'est-ce pas ? Et vous vous êtes bien entendus après ça.

Avant que je le réalise, vous sortiez ensemble.

- Tu as raison.
- J'ai toujours pensé que vous agissiez bizarrement à l'époque.

- Kiyoji n'avait-il pas un gros appétit à l'époque ?
- Oui, tout a fait.
- Vraiment ?

- Au fait, parler de nourriture me donne la dalle.
- Vraiment ? Laissez-moi vous préparer quelque chose alors.

- Allons-y.
- Oh, ça va. Je m'en charge. Tiens compagnie à Kyoji.
- Tu es sûre ?

- Ouais.
- D'accord, merci.

Ça va lui prendre un peu temps. Allons dans ma chambre.

Ah ouais. Bien sûr.

Assied-toi.

Je me rend compte que c'est la première fois que je suis dans ta chambre, je me trompe ?

- Ouais.
- Tu as caché des trucs ?
- Bien sûr que non.

Donc...

- Je t'aime.
- Je t'aime aussi.

- Ça fait tellement longtemps.
- Ouais.
- Enlevons ça.

Tu aimes ?

Oui.

- Merde, tu es terriblement excitée, n'est-ce pas ?
- Oui.

C'est trop soudain Kiyoji.

Allez, montre-m'en plus.

Il est temps que je te mange.

C'est le bon endroit ?

C'est si bon... Oui...

Je jouis, je jouis... je jouis !

Allez, fais le moi aussi.

Vas-y.

C'est génial.

- Tu n'attendais que ça, n'est-ce pas ?
- C'est vrai.

Ah, c'est le pied.

Tu es si chaude.

Tu peux la prendre encore plus profond... Oui, comme ça.

Ah, bordel. Je ne peux plus tenir. Laisse moi te prendre.

- Tu veux ?
- Ouais.

- C'est gênant. - Tellement bon.

C'est si bon, Kiyoji. Tu vas tellement profond. Oh oui.

C'est tellement bon... Oui...

- Génial...
- Ça frappe si profondément. Tu es si profondément en moi.

- Oui, juste là.
- Si bon... C'est si bon...

Oui ! Oui !

je vais jouir ! Je vais jouir !

Génial... C'etait incroyable.

Kyôji !

- Ah, O... Ou... Oui !
- Je suis désolée mais, tu peux venir m'aider m'aider un peu ici ?

- Ouais, bien sûr ! Je, j'arrive dans une minute !
- D'accord, merci !

- Ah, merde.
- Je vais t'aider.

Non, c'est bon. Attends ici, je reviens.

- C'est bon.
- Ouais ok.

- Qu-qu'est-ce qu'il y'a ? - Désolée. C'est ce truc.

- C'est coincé.
- Ça devrait être facile.

Tu peux l'ouvrir, n'est-ce pas ?

- Génial !
- De rien.
- Tu es un homme après tout.

- Eh bien, duh...
- Wow, merci beaucoup !

- Qu'y a-t-il, Kiyoji ?
- Ah, non, c'est juste, wow. Désolé.

- Tu agis bizarrement.
- Pas du tout, je vais bien. C'est juste que ces melons...

- Dis Kiyoji.
- U-uh...
- Tu regardais mes seins tout à l'heure, n'est-ce pas ?

N-non. Pas du tout, pas du tout !

Ça ne me dérange pas vraiment si tu le fais.

Non, mais... mais...

Je ne pense pas... que je devrais...

- Je vois, très bien alors.
- Ah non !

Non...

- Juste un peu ?
- Ça devrait aller, non ?

Je m'en fiche si tu regardes.

Eh bien, puisque l'occasion est là...

Je ne veux pas seulement regarder, mais...

les toucher.

C'est bon.

Génial. Ils sont trop incroyables. Cette douceur.

Ça ne me dérange pas si tu les pelotes plus fort, tu sais ?

Si gros... Comment c'est possible ?

- Ils te plaisent ?
- Ouais.

- Hé, Kiyoji...
- Ouais ?

Quels seins tu préféres, ceux de Mari ou les miens ?

Eh bien, évidemment ceux-là.

Je suis heureuse.

- Tu as toujours voulu toucher mes seins, n'est-ce pas ?
- Ouais. Je ne peux pas croire que je le fais.

Tu m'as toujours intéressé, tu sais ?

- Vraiment ?
- Ouais.

- Touche moi.
- Ouais.

Génial... tu es géniale...

- Ils sont gros ?
- Je n'ai jamais vu une paire de meules aussi grosse de ma vie.

Tu veux les toucher directement ?

C'est bon

- Ils sont moelleux ?
- Incroyablement moelleux.

Ouah.

- Wow, tu as l'air géné là en bas.
- Ouais...

- Ça va ?
- C'est bon. Elle ne viendra pas.

Attends, ce n'est pas une bonne idée.

Regarde ça.

Oui.

Génial. Ça m'excite tellement.

Ta bite est devenue si dure.

Kyôji, où es-tu ?

-Ah, ici. T-tout va bien ?
- Ouais.

- Que faisiez-vous ?
- Ah, nous parlions des moyens d'améliorer la soupe miso et nous sommes partis sur autre chose.

- Je vois. Tu as mis si longtemps, j'avais peur que quelque chose se passe. Désolée.
- Nan, tout va bien.

Oh, c'est ma mère. Excusez-moi.

Allo ? Ouais. Ouais. Je vais bien.

- Hein? Ah, hum... C'est ça ? Je vois je vois.
- Elle est juste là. Arrête ça.

Ouais. Vraiment ? Je vois.

- Elle va nous attraper.
- Je vois.

Hé, c'est trop risqué. Elle est juste là-bas !

Merde.

Oh putain.. c'est trop bon...

Hmm ? ... Hum, c'est ça ? ... Ouah.

Huh... ouais, je voulais la voir aussi. Ouais.

- Ouah.
- Tes tétons. C'est fou.

Tellement bon.

Ah !

Attends attends.

Calme-toi, hein !

Quoi ? Petit ami ? Ouais, j'en ai un. Oui merci.

C'est exact. Ouais.

Ouais. Yep, oui.

- Je te le dis, c'est une mauvaise idée. Dans tout les cas.
- Quels cas ?

Attends, attends. Oh merde... s'il te plaît, arrête.

Je... Je ne peux plus me retenir.

Tu n'as pas a le faire.

- Pas besoin de te retenir.
- Mais je vais jouir.
- Alors fais-le.

- Oh merde. Je suis sur le point de jouir !
- Fais-le.

Ah ! Je jouis !

Je t'ai dit que j'avais atteint ma limite. Regardes ce bordel maintenant.

Je ferai attention. Ouais. Je dois y aller maintenant, maman

Ouais. Je t'appellerai plus tard.

Au fait je veux te présenter mon copain. Alors viens un jour.

Oui, oui. Très bien... Prends soin de toi alors. D'accord au revoir.

- Désolée, je vais aider aussi.
- Vraiment ? Merci.

D'accord. Je file alors.

Je suis là alors. Merci.

Faisons ça.

- Très bien.
- Nous devons nous dépêcher.

Ahh, c'était amusant... Kiyoji, qu'est-ce que tu fais aujourd'hui ?

- Hein ? Comment ça ?
- Pourquoi tu ne restes pas ?

Euh, eh bien... Je ne voudrais pas m'imposer.

C'est bon, c'est bon. Allez !

Eh bien, notre autre amie est parti récemment, donc nous avons de la place. Pas vrai ?

C'est vrai ? A-alors...

- Yay !
- C'est trop cool.
- Mais nous ne coucherons pas ensemble, d'accord ?

Hitomi... encore... argh ! ... Je ne peux pas...

Je ne peux pas me calmer.

- Que ? Hitomi ?
- Hé, faisons-le.

Quoi ? Mais... le faire ? Elle dort juste à coté...

Et qu'est-ce que tu dis ?! Pourquoi ?

Tu sais, j'ai toujours eu un faible pour toi dans mon cœur.

C'est pourquoi... te voir flirter avec Mari aujourd'hui... m'a rendu vraiment jalouse.

- Aaa-attends une seconde.
- Tu ne veux pas ?

- Eh bien... ce n'est pas vraiment ça, mais...
- Mais ?

- Allez.
- Attends. Qu-que !?

Attends une seconde.

- C'est tordu.
- Pourquoi ?

Tu sais que je sors déjà avec Mari.

Je sais mais qu'en est-il de mes sentiments ?

- Attends deux secondes.
- Je peux faire beaucoup de choses que Mari ne peut pas...

Ce que Mari ne peut pas faire...

Je ferai tout avec ces seins que tu regardes en ce moment.

- Je ne peux toujours pas.
- Pourquoi ?

Je... ne... nous ne pouvons pas...

- Nous serons découverts.
- Nous ne le serons pas, si nous sommes discret.

- C'est vrai mais ce n'est pas ça. Nous ne pouvons pas.
- Quel rabat-joie. Très bien, allonge-toi.

Je suis vraiment désolé.

- Je t'ai dit d'arrêter. Arrête.
- Tu viens de toucher mon sein.
- Sûrement pas ! Bouge ! C'est faux.

- Tu veux le faire, n'est-ce pas ?
- Je ne sais pas ! C'est vraiment mal, je te le dis.

Continue de me rejeter et je t'étouffe avec mes seins.

- Ça ne te dérange pas que je fasse ça, n'est-ce pas ? - Non, c'est faux. S'il te plaît, descends maintenant.

- Non, tu as tort...
- Je ne sais pas.... Je sens que ça me touche.

- Non, tu te trompes...
- Comment ça ?

Eh bien, pas tellement que ça je suppose mais... ça fait du bien, c'est pour ça.

- Hé.
- Ton corps est honnête.
- Ah, c'est...

- mal...
- Chut ! Tu veux réveiller Mari ?

- Hé-hé ! Hé! Bordel. Arrête de déconner maintenant.
- Ce n'est pas une blague.

- Tu es devenu plus dur que tout a l'heure.
- Je te le dis, tu te trompes.

- Quoi ?
- Pourquoi tu n'arrêtes pas maintenant ?

- Tu ne dois pas faire ça.
- C'est pas mon avis.
- Que ? Hé arrête.

Ta bite est vraiment grosse. ... Je suis jalouse de Mari.

- Hé. Arrête toi là.
- C'est bon... C'est bon.

- Arrête... Hé.
- C'est bon.

- Ouvre les jambes.
- Hein ? Quoi ?

- Tu ne peut pas te calmer ?
- Tu veux vraiment arrêter ?

- Eh bien... on ne peut pas...
- Même si je fais ça ?

Hé! Hé!

- St-st-stop !
- Ça m'éxcite.

- Comment c'est ?
- Euh...

He-hey... Tu fais quoi ?

- Comment c'est ? Mes seins sont gros et doux, non ?
- Oh mon Dieu...

- Regarde comme tu palpites. Tu peut le voir, n'est-ce pas ?

- Ouais mais... Ça craint toujours.
- Mais non. On se fait juste du bien tous les deux.

- Tu vois ? - D'une certaine manière, oui, mais...

- Regarde, elle disparais entre mes seins. Est-ce que ça fait mal ?
- Non, c'est génial.

Waouh, c'est génial ! Génial, c'est dingue.

- Comme ça ?
- Oh, merde ! C'est bien trop bon.

- C'est trop.
- Ah bon ?
-Kyoji !

Putain, putain, putain. Ça craint, ça craint. Cache-toi sous la couverture.

- Ouais ? Un soucis ?
- Tu dormais ?

- Non, pas vraiment.
- Ok. Tu as vu Hitomi quelque part ?

- Non, je ne l'ai pas vue.
- Je vois... Elle est allée au magasin peut-étre ?

J'ai entendu la porte s'ouvrir il y a quelques temps.

- Je vois. Oh, au fait tu prevois quoi pour notre voyage ?
- Hein ? Tu veut en discuter maintenant ?

- C'est un probléme ? C'est pour bientot non ?
- Ouais, mais je n'ai encore rien prévu.

- Hmm... Nagoya ou Osaka ?
- Oh ! Osaka !

- Ouais.
- Il y a de la bonne nourriture la-bas, Takayaki, Okonomiyaki. J'adore ça.

C'est vrai. Quoi qu'il en soit, parlons-en plus tard.

- Ouais, planifions ça vite. - Ça roule... Mais, j'ai un peu sommeil maintenant.

- Ouais, normal. Bonne nuit alors.
- Ouais. Bonne nuit.

- Bon Dieu !
- C'etait moin une !

- On s'en fout !
- C'était excitant, n'est-ce pas ?

Putain non, fout le camps maintenant !

A-a-attends ! Hein ? Que ?

- Hé, hé. Qu'est-ce que tu vas faire ?
- Je suis un peu excitée.

- Hé ! Hé !
- Tu es embarrassé ?

- Bah oui !
- Tu n'as jamais fait ça ?

Mais qu'est ce que tu crois bordel ?

Ce n'est rien. Ne t'inquiétes pas.

Tu es si dur.

Hé ! Non, ne fais pas ça !

- C'est gênant ?
- Je t'ai déjà répondu !

- Mais ta bite est encore plus dure maintenant.
- Mais je m'en fous !

Ne dis pas ça. On s'amuse bien.

Oh, putain !

Comment c'était ?

Ce n'est pas bien.

- Non, non, non, non, non.
- Pourquoi ? C'est bon, n'est-ce pas ?

J'ai dit stop !

- Ma chatte s'agite.
- Merde, je n'arrête pas de te dire d'arrêter.
- Hé, attends.

- Mais quoi maintenant ? Hum ?
- Regarde, tu ne vois pas ?

- Tu ne veux pas te calmé maintenant ?
- Je ne peux pas.

Ce n'est pas bon. Hé, hé, arrête ça.

- Juste là, oui !
- I-ici...?

Oui, caresse-moi là !

J'ai joui...

- Attends, tu as mouillé le lit, c'est pas grave ?
- Ça ne me dérange pas.

- Quoi ?
- Recommence.
- Encore ?

- Fais comme tout à l'heure.
- Co-comme ça ?

- J'ai tellement joui...
- Ça va trop loin.

- Tu m'as fait gicler.
- Qu'est-ce qu'on fait à ce propos ? Le lit est trempé.

- Allonge toi.
- Hein ? Maintenant ?

- Allez grouille.
- Quoi ? Que ?

Tu m'as fais mouiller, maintenant nettoie.

C'est vraiment pas bien.

Hé ! Tu fais trop de bruits. Tu veux être découverte ?

Je m'en moque.

Je la veux...

- Tu veux quoi ? Hé !
- Je la veux vraiment maintenant.

- Non, mais...
- Regarde comme ma chatte est mouillée.
- Je m'en fiche. Tu ne trouves pas ça malsain ?

- Pourquoi malsain ?
- On ne devrait pas faire ça.

- C'est normal.
- Normal mon cul ! Retourne dans ta chambre tout de suite !
- Ça va. C'est rien !

- Je ne peux plus revenir en arrière.
- Hé, non, ne fais pas ça ! Ce n'est pas correct !

Elle est allé jusqu'au fond d'un seul coup.

- Regarde.
- Je ne peux plus réfléchir correctement.
- Ma vilaine chatte mouillée...

se fait retourner par ta tige de l'interieur.

Enfin... Ta bite chaude est enfin à l'intérieur de ma chatte lubrique.

Non... non, mais...

- Je ne peux plus m'arrêter.
- Non, stop. Descend de là.

Ah, pas ça... Qu'est-ce que tu fais ?

Elle est toute en moi.

- Tellement bon. C'est si bon, Kiyoji !
- Merde !

Pourquoi tu me cachais une si belle bite ?

- Tu vas trop vite !
- Pourquoi tu ne me laisses pas m'amuser ?

- Tu vas trop vite ! Je ne peux pas le supporter. - Je suis tellement mouillée, je m'en fous.

- Hé, hé.
- Tu veux avoir une meilleure vue, n'est-ce pas ?

Tu te trompes... Hé !

- Comment ça je me trompe ?
- Je ne peux plus tenir.

- Stop, stop.
-Kyoji...

Arrête de te déhancher.

J'aime ta queue.

- Tu peux voir ma chatte ?
- Clairement... attends !

- Viens...
- Hein ? Comment ?
- Baises-moi en levrette.

- Viens...
- Hé, tu... Tu es sérieuse ?
- Trés sérieuse.

Waouh, et maintenant ?

Tu peux arrêter de bouger autant ?

Arrête j'ai dit.

C'est si bon, Kiyoji !

- Oh mon Dieu, je ne peux pas m'arrêter. Ta bite frappe si profondément dans ma chatte.
- Merde !

Génial... Elle continue de me bourrer si fort.

Kyoji... ta bite me retourne.

je vais jouir! Je vais sérieusement jouir tout de suite !

Tu frappe si profondément. elle me touche tellement profondément !

- J'ai joui...
- He-hey, ça te suffit, n'est-ce pas ?

Non, ce n'est pas assez.

- Ce n'est pas bien.
- Tu me baisais aussi, n'est-ce pas ?
- Oui mais...

Tu ne le refera pas pas ? Je peux rester dans cette position pour toi.

- Ce n'est pas le problème.
- Fais-le c'est tout.
- Ahh, c'est bon j'ai compris.

C'est bon, saute moi comme tu veux.

- Mais merde, je ne sais pas quoi faire.
- Ouah.

Ta bite va si profondément.

- Je ne pourrai pas me retenir si tu bouge comme ça.
- C'est ta bite qui me donne envie de faire ça.

Tu veux bouger maintenant, n'est-ce pas ? C'est bon. Tu peux bouger.

Génial ! Ah ! C'est peut-être la première fois que j'ai une bite aussi profondément en moi.

Tu peux faire des choses péversses comme ça avec Mari ?

- Je suis plus sexy ?
- Tu es sacrément bandante.

Vraiment ? Alors assure-toi de foutre tout ton sperme viril dans ma chatte bandante.

- C'est bon. Ce sera encore meilleur à l'intérieur.
- Tu crois ? Ça ne m'a pas l'air sûr.

Jouis quand tu veux jouir, d'accord ? Crache tout dans ma chatte.

- Je jouis !
- Oui ! Donne-le moi, donne-le moi !

Merde... Je l'ai vraiment fait. Et maintenant ?

- C'était génial.
- Qu'est-ce que j'ai fait...?

Qu'est-ce qu'on fait maintenant ?

Elle pourrait revenir et nous attraper.

- Je vais retourner dans ma chambre maintenant.
- Ouais...

Bonne nuit.

- C'etait cool hier, hein ?
- Ouais.

- Ouais c'est vraiment sympas de voir un film tous ensemble.
- C'est vrai.

- Hé, Kiyoji, pourquoi tu ne reviendrais pas une autre fois ?
- Hein? Ah, euh...
- Qu'y a-t-il ?

Ahh, non, rien.

Tu reviendras, n'est-ce pas ?

Ah ouais.

- Mari n'est pas à la maison. Entre.
- D'accord...
- Dépêche-toi.

- Alors, comment tu trouves ?
- Quoi ? Tu veux dire la chambre ?

- C'est ma chambre.
- Oh je vois...

Pourquoi m'as-tu amené ici...

- Mari ne sera pas de sitôt à la maison.
- Vraiment ?

- C'est rassurant de savoir qu'elle ne sera pas là tout de suite, n'est-ce pas ?
- Je, je suppose.

- Alors... Faisons-le.
- Hé, pas si près.

On ne sais jamais quand elle pourrait revenir.

Quand elle reviendra. On l'entendra.

Mais je ne pense pas que ce sera de sitot.

Nous ne devrions pas faire ça.

Faisons le.

- Hitomi...
- Hum ?

- Je, je ne sais pas. Est-ce vraiment correct ?
- C'est bon. Nous ne serons pas découverts.

- Tu as les tétons durs.
- Ils sont juste un peu sensibles.

- Attends au moins une minute.
- Tu veux ?

- Tu veux les toucher, n'est-ce pas ?
- Euh, ben...

Touche-les autant que tu veux avant que Mari ne rentre à la maison.

Tu ne peux pas respirer ?

- Wow, je suis si heureuse.
- C'est vraiment pas bien.

- Alors pourquoi tu me touches ?
- C'est, euh...

- Regarde comment tu es devenu.
- Non, non, tu te trompes.
- Je vois.

- Viens ici.
- Attends une minute.

- Garde un œil sur la porte, d'accord ? Mari pourrait revenir.
- Pourquoi n'arrête pas alors ?

- Arrêtons-nous.
- Si on arrête alors comment tu veux toucher mes seins ?

- Hein ? Eh bien, nous n'avons pas à...

- Tu aimes ?
- Ah, c'est si bon.

- C'est pas bien, sérieusement.
- Mais non.

- C'est mon point faible.
- Tes tétons ? Mari te fait ça ?

Non, je ne lui en ai pas parlé.

- Est-ce que ça fait mal ?
- Non, ça fait du bien.
- Vraiment ?

Il fait si chaud... tes seins me touchent.

Ce n'est pas bon ? Ta bite est devenue dure parce que mes seins la touchent.

- Montre-moi ta queue.
- Laisse la.

Tu es égoïste, hein ?

Tu veux que je raconte tout ça à Mari ?

- Non, ce serai encore pire. Ne fais pas ça.
- Alors laisse-moi la voir.
- Non, attends une minute.

Hé, montre-moi. J'enlève ça.

- Attends.
- Montre-la moi

- Je te dis d'arrêter...
- Qu'est-ce qui ne va pas ?

- Ce n'est pas bien.
- Mais ta bite dit le contraire.

C'est un pénis tellement pérvers.

Non... c'est trop bon...

Ah, ce chibre...

Hé, attends une seconde. Putain, c'est trop bon.

- Je suis à la maison !
- Mari est de retour !

Sors ! La tuile ! Oh bordel !

- Mari ! Tu es déjà de retour ?
- Ouais, où est Kyoji ?

Je ne sais pas. Probablement sorti.

- Ah bon ? Je vois. Merci.
- De rien.

- Elle est partie.
- Tu es folle ?
- C'est bon.

Hé ! La porte est ouverte !

- Ne sois pas si bruyante.
- Tais-toi et profite.

- C'est vraiment dangereux.
- Comment ?
- De nombreuses manières

C'est si bon... mais c'est si mal...

Hitomi !

- Bon sang ! Donne moi ça.
- Tiens.

Oui ?

- Tu veux qu'on cuisine ensemble ?
- Ah, je suis désolée mais je dois nettoyer ma chambre.

- Je viendrai après avoir fini.
- D'accord, je commence sans toi.
- D'accord. Merci.

- C'est trop dangereux.
- C'est bon. Tout va bien.

- De retour aux affaires.
- Tu as entendu mes avertissements ?

- Tu veux les toucher ?
- Ce n'est pas la question.

- Hé, hé, hé.
- Elle cuisine en ce moment.

- Elle va revenir. Qu'est-ce que tu fais ?
- Quoi ?
- C'est dangereux.

- Qu-qu-quoi ?
- Tu veux me toucher, n'est-ce pas ?

- Oui, mais c'est trop dangereux ici.
- Tu veux arrêter alors ?

- Je ne sais plus. - Tu ne sais pas ? Et...

Dis que tu me préfères à Mari.

- Dis-le.
- Je préfère Hitomi à...

- Mais...
- Dis-le clairement. Allez.

Arf, et merde. Je préfère Hitomi à Mari.

- Vraiment ?
- Hé, ça va mal finir.
- Mais non, ce ne sera pas le cas. C'est bon.

Oui.

- Oh oui !
- Ça fait du bien.

- Tu aimes ça ?
- Ouais mais on ne devrait vraiment pas faire ça ici.

- Pourquoi penses-tu ça ?
- Elle va nous griller.

- Ta bite est vraiment grosse. Je l'aime. J'aime les grosses bites !
- Calme-toi !

Ma chatte, ma chatte n'arrête pas de se contracter de façon insensée.

Attends une minute.

- Allez. Ce n'est vraiment pas une bonne idée. - Pourquoi ? Ta bite est déjà profondément enfoncée dans ma chatte.

- Ne dis pas que tu veux arrêter maintenant ?
-Ah !

- Que regardes-tu normalement quand tu fais l'amour avec Mari ?
- Euh, c'est...

d'un endroit à l'autre, en fait.

Ça fait du bien.

- Cette bite est si bonne. C'est injuste que Mari garde ça pour elle.
-Ah...!

Ne sois pas si agressive.

- Oui...
- Je n'en peux vraiment plus.
- Ouais ?

Oui ! Je jouis ! je jouis !

Ta bite me rend folle ! je jouis !

Génial... c'était tellement bon...

- Viens...
- M-moi ?
- Ouais, approche-toi.

- Defonce-moi.
- OK, j'ai compris.

Rends-moi folle.

Je jouis à nouveau. Oui oui ! Ça fait tellement de bien.

Ils sont vraiment délicieux.

- Ma chatte se sent si bien.
- Mon chibre aussi.

Ma chatte, ma chatte... Oui, oui, là !

- Quoi ? Non, ne te retire pas.
- Je ne peux pas l'éviter.

- Je dois changer de position.
- Ne m'entraîne pas comme ça.
- Viens par ici.

Bourre-moi comme ça.

Oui ! Elle me cogne si profondément, cette bite !

- Je ne veux plus la sortir.
- C'est bien.

Continue à me pilonner... Je suis sur le point de jouir !

- Tellement bon... - Tu peux te redresser un peu.

Ça fait du bien aussi.

-Ah, comme ça.
- Je jouis !

De nouveau ?

Génial... ta chatte et si bonne dans cette position.

Dis que c'est méilleur qu'avec Mari. Dis-le.

- Ça fait du bien.
- Dis-le. Dis le encore.
- C'est méilleur qu'avec Mari.

Ta chatte est la meilleure de tous les temps.

Oui oui !

- Tu jouis déjà ?
- Presque.
- Oui ! Ton sperme ! Donne-moi tout.

- Tu es venu, hein...
- Ouais.

- Je suis crevée.
- Ouah.

C'est plutôt sympa quand tout le monde cuisine ensemble comme ça, non ?

Pas vrais ? C'est tellement amusant

- Je suis désolée ! Ma main a fait un faux mouvement.
- Attends, fais voir ?

- C'est bon. Viens ici.
- C'est bon ?

- Hé, hé.
- Ça peut laisser une tache.
- Pour de vrai ?

- Oh, mince...
- Ça va ? Montre-moi.

- Je ne sais pas.
- Wow, elle est assez grande.

- Est-ce que ça va s'en aller ?
- Pourquoi tu ne prends pas un bain ?

- Je devrais ?
- Je pense que oui.

- Très bien. Je vais prendre un bain alors.
- Je vais préparer le repas pour toi.

Merde, c'était tellement bizarre. Quelqu'un ferait-il vraiment ça volontairement ?

- Qu'est ce qui se passe ?
- Désolée pour tout à l'heure.

Waouh ! Qu-quoi ? Sors. Mari va te voir !

- C'est bon.
- Ce n'est pas bien ! Ne reste pas là. Sors !

- Mais... je m'inquiète pour toi.
- Attends quoi ?

- Laisse-moi tranquille !
- prenons le bain ensemble.
- Oh, lache moi.

- Pourquoi ?
- Tu ne peux pas au moins te couvrir ?
- Mais nous sommes dans un bain en ce moment.

C'est pas comme si tu êtais seule.

- Mais je suis sûr qu'elle ne rentrera pas.
- Ouais, peut-être, mais ça craint quand même.

- Laisse-moi te laver.
- Je peux le faire moi-même.

- Mais je t'ai sali. - Oui, mais même...

C'est bon. Je peux le faire moi-même. Ne t'approche pas plus.

- Quoi, tu es en train de dire que tu n'aimes pas mes seins ?
- Non, ce n'est pas ce que je dit.

T-tu peux... tu sais.

- Eloigne toi.
- C'est bon. Je vais te laver.

- Non, euh... D'accord mais, juste un peu, d'accord ? Ne traine pas.
- Bien sûr, ne t'inquiétes pas.

- Euh, qu'est-ce que tu fais ?
- C'est pour que je puisse te laver.

Hein ? Laisse-moi prendre cette éponge moi-même.

Ah non. A-a-a-attends ! Attends !

Regarde comme tu es déjà devenu raide. Tu t'y attendais, n'est-ce pas ?

- Non, ce n'est pas vraiment ça.
- Je parie que si.

- Ta queue est si raide.
- Ouais, eh bien, c'est normal si tu continues comme ça.

- De plus, ce n'est pas l'endroit où tu as renversé la sauce.
- Vraiment ?

- Ce n'était pas ici ?
- Non, c'était ici.

- Vraiment ?
- Bah oui, tu te moques de moi ?

- Comme je le pensais...
- Hm ? Qu'est ce qu'il y'a ?

Comme je le pensais, tu as de superbes mamelles.

- Juste un peu...
- Quoi ?

- Je peux les toucher ?
- Tu veux ?

- Elle me frappe le dos.
- Ma bite, hein. C'est parce que tes seins sont trop irrésistibles.

Je ne peux pas m'empêcher d'être excité.

Ta queue est si chaude.

- Punaise, ils sont si gros.
- N'est-ce pas ?

Je ne peux même pas les mettre dans mes mains.

- Ça fait du bien ici ? - Ouais, mes tetons adorent ça.

- On ne peut pas vraiment être trop bruyant, hein.
- Oui, je ne veux pas que Mari le découvre.

- Allez. Mets la entre eux.
- Oh, tu le veux vraiment maintenant, hein ?
- Ouais.

Génial.

- Là... c'est incroyable.
- Incroyable ?
- C'est comme si ma bite était dans une autre dimension.

- Elle va si profond.
- Je suis la seule à pouvoir te faire ça.

- Je peux bouger aussi ?
- Tu veux bouger ? Bien sûr.
- Je vais faire doucement.

- Ça fait du bien ?
- Ouais, ça fait tellement de bien.

- Comme ça ?
- Ouais, j'ai l'impression que tes seins m'aspirent la queue.

- Un peu plus.
- Plus ? Comme ça ? Hum ?

Ouais, coince ma bite là-dedans et bouge.

Ça fait du bien.

- Lavons-nous.
- Nettoyons nous maintenant.
- Ouais.

- C'est amusant, n'est-ce pas ?
- Oui c'est sûr... Hum ? Attends, on s'arrête pas ?

Ta bite a jalli toute seule.

- Merde, c'est génial !
- Génial ? Tu aimes ça?
- Putain oui !

- Ah, oui comme ça.
- Comme ça ?

- C'est épique. C'est tellement bon.
- Vraiment ?

Oh oui !

- C'est fou.
- N'est-ce pas ?
- Tes seins c'est de la folie.

- Tu n'as jamais fait ça avec Mari, n'est-ce pas ?
- Elle ne peut pas le faire.

Oh, oui... là.

- Ça craint.
- Ah bon ?

- J'ai envie de jouir.
- Ne te retiens pas.
- Oh, merde.

Ça t'as plu ?

- Je vais te nettoyer.
- Merci.

- Eh bien, tu veux rester dans le bain un peu plus longtemps ?
- Bien sûr.

- J'ai l'impression qu'elle remarquera que quelque chose ne va pas.
- Ne t'inquiétes pas. Elle ne s'en apercevra jamais.

Je ne le crois pas.

- Désolé Mari, j'ai tout foiré.
- Non, ça va. Mais tu es allée où ?

- Ah, aux toilettes.
- Ah ok.

- Cet appartement est parfait.
- Yep, Il n'y a pas de trains passant à proximité, nous pouvons donc dormir tranquillement.

Vous avez raison. Un endroit calme, c'est super.

- Malheureusement, nous ne pourrons plus vivre ici après avoir obtenu notre diplôme.
- Comme je te l'ai deja dit...

- Ne reparle plus jamais de ça.
- Désolée.

Pourtant, j'attends avec impatience notre nouvelle vie après l'obtention du diplôme.

Je veux dire, mes amis resteront les mêmes, n'est-ce pas ?

- Ouais. Merci.
- Nous serons toujours amis même après avoir obtenu notre diplôme.
- Ouais.

- On trinque ?
- Oh oui.
- A là votre !

Elle est bonne.

Elle n'a jamais tenue l'alcool.

Hé, Mari dort déjà...

E-et... ?

Ne bouge pas, d'accord ?

- Hé! C'est définitivement trop risqué.
- Mais non.

- On ne peut pas...
- Deja dur comme ça, tu t'y attendais encore, n'est-ce pas ?

- Eh bien... Si tu continues à me montrer ça...
- Que veux-tu dire par 'ça' ?

- Ces nibards.
- Ceux-ci ? Tu ne les aimes pas ?

La vérité c'est que tu ne te lasses pas de ce frisson, pas vrai ?

Non ? Ce n'est-ce pas pour ça que tu es raide comme ça encore une fois ?

Pourquoi tu ne l'acceptes pas ?

Tu l'attendais avec impatience, hein.

Euh... je t'aime Kiyoji...

Elle parle dans son sommeil.

Tu les aimes vraiment.

Oh oui.

- Ne gémis pas trop fort.
- J'essaierai.

Je suis tellement excitée... L'alcool me monte aussi à la tete...

Et puis Mari est juste là.

C'est si bon.

Oui...

Ne pars pas, Kiyoji

Ne pars pas

- Elle s'est calmée.
- Ça m'a fait un peu peur.

Je suis tellement mouillée.

- Ça frotte mon clitoris... J'adore ça.
- Hé...

Tu es assez sensible, hein.

- Garde un œil sur elle.
- Oui.

C'est super.

Non, je vais jouir... Je jouis... Je jouis ! Non !

Tu es si dur.

- Enleve-le.
- Euh, ben...

Génial.

- Tu es la meilleure suceuse.
- Tu le pense ?

- Approche.
- Hum ?

Merde, je n'en peux plus.

Je ne peux plus tenir.

- Ça m'excite tellement.
- Je connais ça.

- Et si je gémis ?
- Ça finira mal.

Je suis tellement mouillée que c'est rentré tout seul.

Ça fait tellement de bien.

J'ai laissé échapper un gémissement.

Oh, non, oh, non. C'est trop bon.

- Défonce moi.
- Comme ça ?

Je jouis. Je jouis. je jouis !

Tes seins...

Couvre mon visage avec ces melons.

Oui ! Oh mon Dieu ! Je jouis, je jouis !

Oui...

- Descends un peu.
- D'accord.

Oui...

Oh, putain !

Incroyable... Si bon, c'est si bon, Kiyoji... J'adore ça.

Je jouis à nouveau ! Non, je jouis !

- Ne t'arrête pas.
- Ne t'inquiète pas, je ne peux pas m'arrêter aujourd'hui. Ce frisson, c'est trop excitant.

- Redresse-toi, Mari va se réveiller sinon.
- Oh pardon.

Je jouis ! Je jouis ! Je jouis !

C'est le pied...

Merde ! Rhabille-toi !

Hein ? Je dormais ?

- Ouais, tu dormais.
- Ouais.

Tu as l'air plutôt ivre, pourquoi tu ne vas pas dormir dans ta chambre ?

- Merci, c'est ce que je vais faire.
- Ne t'inquiète pas, je vais ranger tout ça.

- Oui s'il te plaît.
- Bonne nuit.
- Bonne nuit.

Je veux ta bite.

Fous-toi a poil.

Je ne peux plus attendre.

Allez, laisse-moi te baiser... Je vais te pilonner comme s'il n'y avait pas de lendemain.

Oui ! Kyôji ! Comme ça ! Oui !

Je jouis ! Je jouis à nouveau ! je jouis !

Allez, mets ta jambe là... Ouais.

- Je vais te baiser comme un fou !
- Oui ! Tu vas si vite ! Tu me broie de l'intérieur !

je jouis ! je jouis ! je jouis !

Tellement bon, c'est tellement bon !

Cette position est vraiment géniale... Tiens, accroche-toi à moi.

- Génial. C'est tellement incroyable. Je suis tellement excité.
- C'est vrai ?

- C'était dingue.
- Allonge-toi.
- Ouais d'accord.

Tu es dangeureuse, Hitomi. Ta chatte est vraiment trop bonne.

- C'est vrai ? Tu l'aimes ?
- Ouais.

Regarde, elle est de nouveau rentré.

Tu vas me faire jouir si vite. C'est tellement bon.

Comment c'est possible... Le plaisir est trop fort.

On s'en fout. déchaine tes hanches. Soit aussi sauvage que tu le souhaites.

- Kiyoji, tu aimes ça ?
- Oui, c'est incroyable.
- Je suis heureuse.

- Je ne me suis jamais senti aussi bien.
- C'est bon ?

- Jouis...
- Je vais le faire. Allons-y.

- Oui...
- Tu aimes faire ça, hein.

- Oui ! Oui !
- Je suis sur le point de jouir bientôt.
- Vas-y.

- Je peux jouir à l'intérieur ?
- Ouais, jouis dedans, jusqu'à la dérniere goutte.

je jouis !

Tu l'as fait.

Ouah...

- Kiyoji, tu es prêt ?
- Ouais.

Mari ! Kyoji est là !

- Allez, viens.
- Hé, hé...

Traduit par "Le Père Vers"