All language subtitles for In.The.Land.Of.Saints.And.Sinners. 2023 Vost.fr

IRLANDE DU NORD 1974

DES DÉCENNIES DE TROUBLES CIVILS
EST EXPLOSÉ DANS UN CONFLIT ARMÉ

Maintenant, ils viennent.

Allez les gars.

- Maudits gamins.
- Ne te moque pas, Patrick.

Juste ce qui manquait.

Relevez-vous et dites pardon à votre frère.

Je ne veux pas de ça.
Vous êtes en retard.

Allez, bon sang !

Laisser seul !

Dépêche-toi, bon sang !

Dans !

- Conduis, bon sang !
- Conduire !

Ralentis, bon sang !

- Tu es un farceur sournois, Finbar.
- Quoi, Vinny ?

Je peux voir ce que tu fais.

Je ne peux pas vraiment frapper quand je
je ne peux pas les voir. Remontez-les.

- Je n'entends rien à cause du vent.
- Ça te va.

Si vous suggérez que je triche,
officier O'Shea, alors je serai en colère.

Un pari doit être juste.

Vas-tu rester debout
et pleurnicher, ou est-ce

que vous tirez et perdez
comme d'habitude ?

Nettoyez-moi.

- Allez.
- Des manigances rusées.

Merci.

C'est toi qui me
choisis, espèce de salaud.

Qu'avez-vous fait aujourd'hui
en plus de nourrir le chat -

- et rumine la raison
dans Gulliver et les Petits Putters ?

J'ai terminé "Les
Voyages de Gulliver".

Maintenant est-ce
Dostoïevski, auteur russe.

Je ne le connais probablement pas.
Agatha Christie est plutôt ma tasse de thé.

- Où allons-nous ?
- Je ne suis pas au bureau.

Mme. Bailey dit -

- que le panneau d'accueil
de la ville a disparu.

Maintenant vous pouvez voir
ce qu'est le vrai travail.

C'est plutôt juste.

- Brun rougeâtre.
- Rouge bordeaux.

- Rouge bordeaux ?
- Oui.

Une personne folle
doit avoir perdu la domination.

- Ou un ivrogne.
- Il doit être stupide dans sa tête.

Faut-il chercher un fou en ville ?

Oui. Je l'aurai probablement
à l'heure du thé.

Je peux sentir tes yeux dans la nuque.

Rita, je suis sûr -

- qu'Adam voulait le butin
son réveillon avec toi -

- s'il a vu cet endroit.

- Il est sain d'avoir un passe-temps.
- Ils vont probablement décorer.

Pour la décoration de table.

Tu le saurais si tu avais dit oui
pour mes invitations.

Comment va Brendan ?

Il ne s'améliorera pas.

Avec une si charmante jeune femme comme toi
il va probablement rester dans les parages.

Tranquillement.

Je ne peux pas en dire assez
à propos de la prochaine image en direct.

Il a fait plus pour la ville que nous
mérite. Un homme aux multiples talents.

Et peut-être que nous pouvons l'attirer
à jouer pour nous.

Bart McGuinness,
Veux-tu nous honorer avec une chanson ?

Tu ne veux pas entendre
un vieux drogué chanter.

Ma propre chair et
mon sang se croisent.

Allez.

- Tu ne peux pas me tirer dessus ici ?
- Continuer. C'est elle à gauche.

C'est bien ici.

Deux pas à droite.

Tombe.

Où sommes-nous ?

Si je dois reposer ici,
Je veux savoir où je suis.

Donégal.

Donegal à l'autre bout du pays.

Le comté oublié.
Comme c’est approprié.

- C'est comme ça que tu gagnes ta vie ?
- C'est assez profond. Se lever.

À genoux.

Toi tout-puissant.

Tous ces arbres.

Vous avez été occupé.

À genoux.

Les mains derrière la tête.

Vous avez une minute.
Dites ce que vous voulez.

Vous pouvez mendier.
Il ne s'allume ni ne s'éteint.

Je n'ai pas besoin de mendier.
Je savais que ce jour viendrait.

Cela a pris plus de temps que prévu.

Cela fait une éternité.

J'avais un caractère violent
aussi jeune.

J'ai beaucoup de mauvaise conscience.

Je savais,
qu'il n'y avait pas de retour en arrière…

après ce que j'avais fait.

Mais un jour, j'ai décidé que
ce qui restait de mon âme fanée -

- ne devrait pas être gaspillé.

Alors d'une manière ou d'une autre -

- J'ai chassé le nuage noir
et est devenu un bon citoyen.

J'ai fait ce que je pouvais pour les gens.

Vous voyez, c'est ici
ça se termine pour des gens comme nous.

Sur une lande balayée par les vents.

Essayez de faire quelque chose de bien,
avant de finir ici vous-même.

Le temps presse.

- Des problèmes, Kev ?
- Non.

Es-tu gay, Robert ?

- Votre musique le suggère.
- Tu es stupide, Kev ?

Vos bottes suggèrent que vous êtes stupide.

Je n'ose pas penser à ce gâchis,
tu as fait

Un excellent 45
avec les Moody Blues.

Je vais l'emprunter.

"L'indulgence mène à une mort prématurée
pour les faibles."

Qui est-ce ? Oui ?

Ma mère.

- Qui est-ce ?
- Juste moi.

Finbar, comment vas-tu ?
J'ai fait les scones que tu aimes.

Avec des cerises ?

Raisins secs. Je pensais
que c'étaient des raisins secs.

C'est ça.
Vous me connaissez mieux que moi-même.

Je le pensais.

Les emmenez-vous avec vous ?
Tu fais toujours ça.

Bonjour, bon sang, vous les beautés.
Sont-ils chauds ?

- Comportez-vous bien.
- Le voilà.

La main la plus rapide de l'Ouest.

- C'était un garçon de Dublin.
- La jeunesse aujourd'hui !

- Comment vas-tu ?
- Et toi ?

- Merci.
- Du nouveau pour la collection ?

Je l'ai pris comme paiement
du clan O'Reilly.

Elle a été peinte par un Mexicain.

Apparemment, c'est à
la mode en Amérique. Et

cela vaut bien plus
que ce qu’ils devaient.

Dommage qu'on ne puisse pas le revendre
à son propriétaire légitime.

Il va falloir que je fasse attention. J'ai
quelque chose pour toi dans une semaine.

Donne le lui.

Le travail.
Donnez-les-lui tous.

J'y ai beaucoup réfléchi.

J'ai fait tellement de mauvais choix,
depuis la mort de Margaret.

Je peux faire plus que ça.
Et les gens doivent le voir.

Qu'est-ce que c'est alors, Êtes-vous
passionné par le fait de montrer le monde ?

C'est la seule chose
que vous puissiez faire.

Je pourrais planter un jardin.

- Un jardin ?
- Oui.

Tu me laisses juste dans le pétrin
avec le slambert ?

Merci.

Est-ce que je vais te manquer ?

Oui, autant qu’un trou dans la tête.

- Grenouille ?
- Oui.

Vous n'achetez
généralement pas de graines.

Non.

- Es-tu sûr ?
- Oui. Tu en as ou quoi ?

J'ai...

des féveroles, du chou. Il y a aussi
carottes et autres bagatelles.

Je veux planter mon propre jardin.

Un peu de peuplier, peut-être du riz doré.

Comme la vague jaune,
vous avez là-bas.

Le riz doré est une mauvaise herbe, Finbar.

Je n'en avais aucune idée.
J'aurais besoin d'un professeur.

Est-ce que ça a
assez bon goût ?

J'apprécie à la fois la
nourriture et la compagnie.

Votre femme était-elle bonne en cuisine ?
C'était Margaret, n'est-ce pas ?

- Pardon...
- Ce n'est pas important.

Ça fait si longtemps,
quelqu'un a prononcé son nom.

Marguerite.

Elle expérimentait toujours.

Elle a préparé un gâteau...
C'était il y a longtemps.

Elle y a mis des pommes et des noix.

Et un peu de cannelle.
Je n'ai jamais rien goûté de pareil.

- Ça a l'air délicieux.
- Non, bon sang. C'était terrifiant.

Comme j'ai dit
Je n'ai jamais rien goûté de pareil.

Heureusement, je n'y
suis plus jamais parvenu.

C'était à Dublin ?

Oui.

Chaque jour, je passais devant
la librairie, où elle travaillait.

En route vers l'usine.
Mais comme elle aimait ces livres.

- Elle m'a intéressé.
- J'aurais aimé la rencontrer.

Elle était trop bien pour moi.
Juste comme toi.

Je le regarde droit dans les yeux.

Salut Moya.

Si vous avez un crâne
rouge sur le crochet, alors

soyez prudent car la ficelle
peut vous couper la main.

Ici. Utilisez-le ici.

Tel.

Qu’espérez-vous capturer ?
Un poisson rouge ?

Ramenez-le à la maison
et appelez-le Goldie.

Un poisson n'en aime pas.

Mon père décédé a dit que tu ne devrais pas
aime ceux qui ne t’aiment pas.

- C'est peut-être vrai.
- On m'a dit d'aller dîner.

Vous avez du mordant.

Donnez-lui de la ficelle.

Oh non !

Moya ! Ce n'est pas important.

Bonjour Pat.

- Bonjour, Sinéad.
- Que fais-tu ici par une soirée chargée ?

- Catherine.
- Finbar. Il est grincheux ce soir.

- Le vieux Slambert ? Jamais dans ma vie.
- Et puis lors de ma soirée.

Un grand plat pour le grincheux,
un Babycham pour sa femme souffrante -

- et un Black Bush pour moi.

Vous gaspillez
probablement de l’argent.

Comment gagner sa vie
en vendant des livres ?

Tant que je gagne de l'argent avec toi,
Je me débrouillerai.

Avez-vous attrapé
le diable de la vitesse ?

Pas du tout.

Je n'ai pas eu beaucoup de chance,
mais je vais probablement le joindre.

Je le crois.

De l'eau, s'il vous plaît.

- Bon jeu.
- Merci mon ami.

C'est une vieille chanson. Vieux
comme la montagne, mais c'est toujours bon.

- Vous dites vieux comme les montagnes ?
- On appelle ça un concert.

- Merci.
- Qu'est-ce que tu fais ici ?

Il y a longtemps
un Irlandais est venu dans mon village.

Il a joué la plus belle mélodie,
J'ai entendu.

Il est parti avant que je l'apprenne,
donc je devais juste venir.

Cela ne vous manque
pas ? Votre pays d'origine ?

Les jeux ne me manquent pas.
Et le sang ne me manque pas.

J'ai vu ta Moya
pêcher pour le dîner près du pont.

On dirait qu'elle.
Elle est très opiniâtre.

Nous sommes comme des navires
qui se rencontrent dans la nuit.

- Ne sois pas trop dur avec elle.
- Qu'avez vous ?

La boîte de nourriture est tombée à l'eau.

- Quoi ?
- Je lui ai parlé et je l'ai distraite.

Merci pour l'avertissement.

- Surveille mes pieds.
- Cela fait cent ans. Calme maintenant.

Je connais ce regard.

Où vas-tu ? Je suppose
que tu ne t'enfuis pas à

cause de ça avec la
nourriture. Est-ce que tu ?

Je l'ai dit à ta mère
C'était de ma faute.

Tu vas terriblement lui manquer,
quand elle sera laissée ici -

- pendant que vous partez.

Tu es courageuse, Moya.
Parce que les chevaux n'aiment pas le noir.

Ils ont peur des terriers de lapin
et les lapins.

Mieux vaut s'enfuir pendant la journée -

- pour ne rien rencontrer d'inattendu.

Mais c'est à toi de voir.
Tu décides.

Est-ce que tu vis
toujours dans la caravane ?

Oui.

Mère dit que la maison
ne sera jamais terminée.

- Allez-y maintenant.
- Quoi ?

Un gentleman suit toujours la dame
jusqu'à la porte.

Moya, bon sang ! Où étais-tu ?
Je meurs de faim.

Qui est-ce ?

- Un gentleman.
- Comme oncle Curtis ici ?

- Tu n'es pas mon oncle.
- Parlez correctement. Vous suivez ?

Femmes !
Ils ne peuvent vraiment pas le supporter.

Le Vagabond est de retour.

- Il était temps.
- J'ai juste attendu un peu.

- Qu'est-ce que c'est que ça ? Pommes ?
- C'est ce que j'ai.

Au bout de trois heures, vous arrivez
avec des pommes. À quoi penses-tu ?

- Fermez-la !
- Comment peut-il être ton frère ?

- Vous ne vous ressemblez même pas.
- Cela ne te concerne pas.

- Qu'avez-vous fait ?
- J'attendais Moya.

Vous n'êtes pas obligé d'être là.

Obtenez juste ce dont nous avons besoin,
et je suis revenu. Vous suivez ?

Toc Toc.

Finbar, bien sûr. Merci.

- C'est lourd.
- Une tasse de thé ?

Non merci.

Salut Moya.

- Qu'avez-vous ici ?
- Rien.

- Je devrais peut-être demander à ta mère.
- Non, tu ne dois rien lui dire.

Laissez-moi voir. Allez.

Où est-ce que tu l'as trouvé ?

- C'est ton oncle qui te l'a donné ?
- Ce n'est pas mon oncle.

Pourquoi te l'a-t-il donné ?

Est-ce que ça a quelque chose
à voir avec ça avec tes bleus ?

Moya.

Est-ce qu'il s'est passé quelque chose,
tu ne veux pas m'en parler ?

Quoi ?

Moya !

Nous voilà à nouveau le bon gentleman.
Bonjour, Sinéad. Moya.

Vous ne vous souciez
pas de Sinéad, n'est-ce

pas ? Elle est
légalement jeune pour toi.

Applaudissez, Curtis. Ne prends
pas soin de lui. C'est un imbécile.

Maintenant, je ne peux
même pas bavarder un

peu avec les locaux ?
Nous sommes de bons amis.

Pas trop, le bassiste ?
Voilà comment il devrait être.

- Tu as vraiment faim après un bain nu.
- Prends-le et pars.

- Vous en aurez plus ce soir.
- Je deviens fou là-haut.

J'ai besoin de compagnie.

Bon sang. A bientôt, princesse.

- Vieil ami ?
- Vous choisissez des amis.

Mais pas sa foutue belle-famille.

Le mien...

Mon frère a épousé sa sœur
et mourut peu après.

J'attends avec impatience son départ.

Je pensais que tu l'avais mis de côté.

Donne-le-lui, idiot Kevin.
Je paye.

Êtes-vous vraiment intelligent ?
Ici. Un local ?

- Tu veux que les garçons en bleu courent ?
- Il n'est pas d'ici.

- Il vient de l'extérieur. Curtis...
- Je m'en fiche. Pas ici.

Peut-être qu'il vient de
l'IRA. Vous les obtenez

juste sur ton cou
pour le reste de ta vie.

Vas-tu juste le laisser lui faire du mal ?

- Vous ne savez pas ce qu'il a fait.
- Ouais. Je peux le voir dans ses yeux.

Et celui-ci doit la faire taire.
Ce n'est qu'une enfant, Robert !

Collez-le dans les cordes.

Elle ne leur dit rien.
Il lui a fait peur.

Il n'arrête jamais de torturer les gens.

Robert, je sais ce que j'ai dit à ce sujet
tuer, mais c'est autre chose.

Je n'y toucherai pas
avec une pince.

Oublie ça.

Est-ce que vous aérez vos chaussures ?

- Eh bien, pour que tu puisses parler ?
- Seulement quand j'aurai fini d'écouter.

Je dois passer chez Sinéad.
Sautez dedans. Vous pouvez conduire.

- Êtes-vous en vacances ?
- Vacances ? Non, bon sang.

J'aurais pu profiter du soleil à Majorque
au lieu d'être ici dans le Bøhland.

Il y a des cigarettes
dans la boîte à gants.

Juste prends-le. Il y a
des allumettes par terre.

Le chemin du retour n’est jamais le même.

C'est parce que les montagnes
est créé par des géants.

Vous ne dites pas.

Une fois régné fomoirs
sur cette terre.

C'étaient des marins divins.

Ils ont asservi la terre et
mangé les enfants, dit la légende.

Mais je ne l'utilise
que pour le tournage.

Êtes-vous un chasseur ?

Si c'est pour tirer au but après
les boîtes de haricots et les lièvres -

- alors je suis un redoutable chasseur.

- Qu'est-ce que tu as ?
- Un déroulement fluide. A.H. Renard.

Teddy Roosevelt l'a appelé
la meilleure arme de tous les temps.

Veux-tu le voir ?

J'avais un Remington 17,
avant d'avoir ça.

Ce n'était pas aussi délicieux
et pas aussi bien construit.

Magnifique, non ?
Le tiendrez-vous ?

Condamner.

Celui de Satan.

- Qu'est ce que je t'ai fait ?
- Petite Moya, espèce de cochon.

Avant l'enfer. Je dois disparaître.
Tu ne me reverras plus jamais.

Bon Dieu.

Vous êtes le pouvoir de la mort.
Cochon stupide !

Il devait y avoir des
miettes chez ce garçon.

Pourquoi avait-il un
couteau ? Est-ce quelque

chose que les jeunes
hommes pratiquent ?

Je ne sais pas ce que font les jeunes.

- Que fais-tu ici ?
- Robert m'a demandé de m'occuper de toi.

Eh bien, alors il l'a fait ?

Eh bien...

J'aime Banko.

Il y a des opérations bancaires ce soir
chez Wright. Vous payez pour mes disques.

Et un plat ou deux.

Arrête ça. Maintenant, je comprends,
pourquoi ils pleurnichent comme ça.

Il était une fois un monticule,
qui s'est levé et a creusé.

Mais il savait que lorsqu'il
s'était arrêté, alors c'était arrivé.

Le terminus.

Alors il a continué.

Il a dû creuser à trois
mètres de profondeur.

Il avait des ampoules
de la taille d'une prune.

Il aurait très bien pu être atteint
jusqu'aux Fidji.

- Je suis resté là à crier de rire.
- Vous riez de tout ça, n'est-ce pas ?

Ce travail.

Comme mon père le disait toujours :

"Fais quelque chose que tu aimes."

- Numéro suivant : Pas de stress, 53.
- Au revoir, Finbar.

- J'ai cédé hier.
- Tu n'as pas à.

- Puis-je avoir un ?
- Tu n'as pas de quarantaine ?

C'est un bar sauvage.

Elle me rappelle un
Je suis parti dans la forêt.

- Une femme ?
- Oui.

Ils sont plus calmes que les hommes.

Ne penses tu pas ?
Ils meurent avec plus de dignité.

- Toi tout-puissant.
- N'avez-vous jamais...?

Non. Il y a assez d'hommes cruels.

Elle était aussi cruelle.
Horrible à regarder.

- Mais les pleurs ont eu raison.
- Banco !

- Satan !
- Tu es un peu bizarre dans ta tête.

Tu n'aurais pas dû parler.
Juste un centime de bienvenue.

Mais autant que vous en avez au cou,
c'est psychotique.

Écoute, espèce de merde.

Je ne tue pas pour le plaisir.
Et j'en ai fini avec ça.

Mais si je t'entends te moquer d'un,
qui se couche à genoux en pleurant...

alors je te battrai
avec mes vieux poings.

Combien en avez-vous tué au total ?

Curtis, allez.

Conan halète.

Le jour où ils ont
assassiné notre père, Curtis

jouait au football dans
l'équipe des garçons.

Il n'était pas si mauvais après tout.

Je n'oublierai jamais quand je lui ai dit,
ce qui s'était passé.

Il s'est juste assis et m'a regardé
et je ne pouvais pas le comprendre du tout.

Il a grandi à Belfast,
et moi dans le sud avec ma mère.

Il a été bouleversé
sur tout son monde.

Je lui ai promis
que je prendrais toujours soin de lui.

Conan dit que nous devons nous enfuir.

- Aller en France.
- Pas sans mon frère.

Il est probablement coincé dans le pub.
Vous savez comment il est.

À moins qu'il ne
soit devenu invisible,

bien sûr N'a-t-il pas
passé la nuit au pub ?

Pensez-vous que je suis stupide ?

Nous n'irons nulle
part sans Curtis.

Il est probablement
sur le chemin du retour.

Il est mort s'il rentre chez lui.
Nous sommes tous.

"Curtis June et Doireann McCann."
Je savais qu'il se plaindrait.

- Nous avons les cochons, n'est-ce pas ?
- Et les enfants ?

- Je n'aurais pas pu le savoir.
- Vous avez été vu, mais pas moi et Seamus.

- Ils nous ont seulement vus de dos.
- Je l'ai vue de dos hier.

- J'essaie juste de détendre l'ambiance.
- Qu'est-ce que tu vas faire ?

Sortez et trouvez cet idiot de pouvoir,
qui devait juste faire profil bas.

Il gère ça un peu trop bien.
Si vous voulez partir, sortez.

Mais il ne faut pas
s'attendre à ce qu'ils

prennent vous accueille
à bras ouverts à Belfast.

Curtis !

Curtis !

- Que faites-vous ici ?
- Curtis a dit ce qu'il avait à dire hier ?

Je ne l'ai pas vu hier.

- A-t-il disparu ?
- Dieu merci.

Je n'aurais jamais dû
te laisser entrer dans ma

vie à nouveau. Emballez
vos affaires et courez.

Ne me parle pas comme ça.
Je vais t'arracher la langue de ta bouche !

Peut-être que la police l'a arrêté.
Ils sont probablement prêts à vous baiser.

Mère !

Je me bats pour une Irlande libre.
Cela inclut toi, espèce de merde !

Donc tu as des pouvoirs
juste pour me montrer

peu de respect.
Qu'est-ce qu'il vous a dit ?

Mère !

Il n'a rien dit. Mais je ne suis
pas stupide. Je lis les journaux.

Je vais bien.

Il se baignait.
Peut-être qu'il s'est noyé.

Parrain !
Quand laissez-vous l’âge vous rattraper ?

La ligne de front apprend
probablement à tirer.

Quelle est ton excuse ?

J'étais l'un des
derniers arrivés. Je n'ai

pas vécu les horreurs
de la guerre comme vous.

Pour moi c'était la libération de la France
juste beaucoup de vitesse.

As-tu dû l'écouter ?

Je n'ai pas reçu de bons
mots en cours de route.

J'avais l'intention de
combattre les porcs nazis.

Même si j'ai dû
prendre le parti des Anglais.

C'est pourquoi je porte
un uniforme. Je peux

connaître la différence
entre le bien et le mal.

Et nous sommes nécessaires quand
on regarde les conditions dans le Nord.

J'ai connu beaucoup de guerres.

Tel.

- Quelqu'un est venu ici ?
<- Non.>

- Alors il pourrait être à Belfast ?
<- Alors je le renverrai moi-même.>

- Et si la police est sur nos traces ?
<- Non-sens>

Arrête ça, bon sang !
Donne moi quelque chose.

Renseignements locaux, noms.
Quelqu'un qui sait quelque chose.

Oui. Les meilleures
cachettes sont celles avec

des noms de merde
complètement impossibles.

<- Avez-vous de quoi écrire ?>- Oui.

Celui de Satan.

Non. Reste ici.

- Robert McQue ?
- Tu ne frappes pas ?

Vieille habitude.

Votre collègue n'a pas dit
ce que ça comptait.

Il avait probablement peur de
que le téléphone est sur écoute.

Des imbéciles paranoïaques.

Je cherche un ami. Et
personne ne le sait les

ombres sont meilleures
que celles sous les pierres.

C'était bon.

Comment s'appelle cet ami ?

Curtis.
Curtis juin.

- C'était un drôle de nom. Juin ?
- Oui. Juin.

Est-ce une abréviation de quelque chose ?
Juin ?

Est-ce que juin est court
pour quelque chose ?

Nous sommes en juin.
Comme le mois de juin.

Je n'ai jamais rencontré
personne portant ce nom.

Aux cheveux roux, grand, maigre.

Aucune cloche ne sonne.
Ce sont des coquins -

- à Inishwest, je sais peut-être
quelque chose. Parlez-leur.

Je vais me sécher ici.

Pouvez-vous le découvrir par vous-même ?

Ça rentre.

- J'ai dit...
- Je l'ai bien entendu.

- Vous n'êtes qu'à un mètre.
- Est-il mort ?

Indubitablement.

- Je n'avais rien à voir avec cela !
- Alors qui ?

- Dis-le ou je te plume maintenant !
- Enlevez-le.

Je ne risque pas ma vie pour lui.

- Je lui ai dit de ne pas le faire.
- OMS ?

Bon bar.

Finbar Murphy.
Mais nous avons pris des chemins séparés.

- Il n'est plus employé ici.
- Qui a ordonné le meurtre ?

- Demande lui.
- Où vit-il ?

Je ne sais pas.
Et maintenant je veux apprécier -

- que vous...

Robbie ?

- Robbie n'est plus là.
- Où est-il ?

Je lui ai tiré dessus.

Il l'a demandé lui-même.
Il ne faut pas manquer de respect.

Quel est ton nom ?

Josie.

Tu as une voix douce.

Vous n'avez rien fait de mal.

Mais ça ne marche pas,
tu vois mon visage, n'est-ce pas ?

Non.

Allez dans votre chambre et verrouillez
la porte. Et reste là jusqu'à mon départ.

Robbie ne va nulle part.

Éloignez-le.

Regardez ici.

- Le prix du sang ?
- C'est un véritable massacre.

Merci, Rita.

Attends une minute.

Je vais probablement t'apprendre à planter,
mais je ne me souviens pas de tout.

Les livres sont une bonne aide.
Vous avez bien fait.

- C'est un début, alors. Bonne nuit.
- Bonne nuit.

C'est Robert.

- Finbar. Merci d'être venu.
- Finbar !

- Finbar.
- Non, madame. McQuay. Ne pas.

- Robbie était un homme bien.
- Bon sang, il ne l'était pas.

Il était assez bien en bas.
L'avez-vous vu ?

C'était une elle.
Et non, je ne l'ai pas fait.

- Elle a parlé à Robbie.
- Elle cherchait un Curtis.

Le gamin aux cheveux roux ?

- Alors elle a besoin d'une pelle.
- Nous ne pouvons pas rester ici.

- Bien. Je déteste vraiment me réveiller.
- Trouvez du gaz.

Sortez dans la cuisine.

- Bien.
- Je vais probablement y arriver.

Tout le monde se connaît
dans ces petites villes.

Mais pourquoi moi ?

Parce que tu as
toujours l'air perdu. Aller.

Bonne soirée.

Je suis ici pour rendre visite à mon oncle.

Nous sommes devenus
un peu fous. Vous ne

connaissez pas un Finbar
Murphy, n'est-ce pas ?

Finbar ? Oui, je le connais bien.

Il vit de cette façon.

Bon sang.

Bonsoir, officier.

- Dois-je le remplir ?
- Oui.

- L'avez-vous déjà vu là-bas ?
- Non.

Il dit qu'il doit visiter
son oncle Finbar.

Le vieux fou n'a jamais mentionné,
qu'il a un neveu.

- Je suis désolé.
- C'est incroyable.

Appelez la police
quand nous serons partis.

Je ferai ça.

Regardez ici. Beau.

Comment l’ont-ils trouvé ?

Peut-être qu'il a demandé à son réseau
à propos de lui Curtis.

Je l'ai vérifié
après que tu y sois allé.

Je t'attendrai dehors.
Combien de temps cela prendra-t-il ?

Accrochez-vous.

- Quelque chose t'a fait peur ?
- Il y a quelqu'un chez moi.

Eh bien, je suppose que je suis au chômage.

Robert a profité de moi,
mais il m'a bien traité.

Diriez-vous que vous étiez amis ?

Nous avions des choses en commun.
Des choses qui devraient rester cachées.

Vous êtes-vous enfui de chez vous ?

Si c'est une merde à la maison sans amour,
il est peu probable qu'il s'enfuie.

Il s’agit plutôt de s’échapper.

Un soir, j'ai fini -

- lors d'une énorme bagarre dans un pub.
J'ai gagné. Robert était là.

Il m'a rempli de bière et m'a offert
30 livres pour en pousser un dans l’eau.

Je ne savais pas
qu'il en avait lui-même

130, mais tel était
Robert, le bouffon rusé.

C'était de l'argent facile.

Je n'ai plus le contrôle sur...

combien j'en ai tué.

La guerre avait fait de moi un
Je ne pouvais pas le savoir.

Et quand je suis rentré
à la maison et que je

l'ai découvert, que ma
Margaret était morte...

- ce qui restait a disparu
de mon ancien moi, dans un trou noir.

Puis vint Robert.

Comme tu l'as dit toi-même,
était-ce trop facile.

Les personnes âgées et leurs lortérosines.

- S'il ne vient pas maintenant...
- Il nous surveille probablement.

Alors donnons-lui quelque chose à espérer.

Oh non.

Rentre, Rita. Allez.

Vous devez être le voisin curieux.

Prends soin de toi, sinon
les choses vont mal tourner.

Vous connaissez Finbar ?

Je ne l'ai jamais rencontré
mais j'y reviendrai.

M. Murphy a fait quelque
chose d'impardonnable.

- Que fais-tu ?
- Je vais la tuer.

- Nous n'avons pas pris le relais.
- C'est un discours de guerre ?

Descendez-le. Rita ne doit
pas être prise entre deux feux.

Mon Dieu, comme c'est désolé ici.

Surtout pour un vieil
homme fragile comme toi.

Si vous voyez votre ami, saluez-le.

Salutations de la part de la garce au rap.

Fais-le.

- Tais-toi, espèce de salope boiteuse.
- Conan !

Allez !

Oh mon Dieu.
Prends sa jambe.

Tu y vas en premier.

Deux maisons du carrefour.

- Le truc avec les fleurs.
<- Et qui es-tu ?>

Cela n’a peut-être pas
d’importance. Vous êtes médecin.

Maintenant, conduis jusqu'à
chez elle, n'est-ce pas ?

Donc nous en sommes là.

Home Sweet Home.

Tel. Bon chat.

Il y a une telle fortune.
Bien, j'ai payé vos chargeurs bancaires!

Peut-être que je voulais juste discuter.

- Tu y joues ?
- Juste quelques accords.

On ne m'a pas appris.
C'est un autodidacte.

Un jour, j'enregistrerai mon propre disque.

Peut-être en Californie -

- si j'arrive à rassembler suffisamment
pour le voyage.

Les gens là-bas semblent juste…
si gratuit ou quelque chose comme ça.

Ils profitent de la vie.
Est-ce que tu comprends ?

- Le match va bientôt commencer.
- Alors viens.

Je ne t'ai jamais vu acheter un journal.

Je ne t'ai jamais vu sobre.

TROISIÈME SUSPECT RECHERCHÉ
DANS LE BOMBARDEMENT

Bonjour Pat.
Laissez-moi récupérer 20 pièces d'or.

Bon bar.

Le pauvre malheureux devait être un reclus,
car je ne l'ai jamais vu en ville.

Il s'appelait Robert McQue.

Le connaissais-tu ?

La mère a dit qu'une femme l'avait tué.

Je ne sais pas ce qui se passe
de haut en bas dans ce cas.

Je me demande si le panneau routier avait
quelque chose à voir avec ça ?

Peut-être que le panneau routier indiquait,
que quelque chose allait arriver.

Les enquêteurs
viennent de Dublin. Ils

prendront en charge
l'affaire et je partirai.

Tu n'as jamais dit
que tu avais un neveu.

Gentil garçon.
Je ne le vois pas beaucoup.

- Vous souhaitez me déposer chez Sinéad ?
- Sautez dedans.

Atteindre...
Merci pour le trajet, Vinny.

Maintenant, ne démarrez pas du bon pied.

- Je ne dois pas avoir de favoris.
- Conduire.

"Faites profil bas. Restez caché." Et
puis tu vas à un putain de match de foot !

Il vient ici.

Des dards. Ils sont énergiques partout.

- Ils ne t'ont pas eu de ton côté gentil.
- Ils sont après nous. Nous devons partir.

- Pas encore.
- Tout le monde nous reconnaît, Doireann.

Curtis est mort.
Pensez-y, bon sang.

Longue balle !

Nous brûlons la maison
du cochon pour Curtis

et progressez vers
Amsterdam ou la France.

- Nous avons de l'argent pour recommencer.
- Es-tu devenu fou ?

Quitter l'Irlande ?
Quel est alors le but ?

Survivre.

- Leur mort a-t-elle été vaine ?
- Jusqu'à ce que la tempête se calme.

Suis-je le seul à avoir réalisé
pourquoi on se bat ?

Nous n'allons nulle part.

Quelqu'un a engagé Murphy pour tuer Curtis.
Nous devons découvrir qui.

La vieille femme, l'employée.

Quelqu'un sait où il est.
Nous devons le leur arracher.

Je vais à Lokum. Vous
pouvez vous allonger

tous les deux tes cerveaux
vides sont trempés -

- pendant mon absence.

Finbar !

- Hassan.
- Mon plus grand fan.

Vous êtes resté coincé.
Qu'en penses-tu ?

Tout le monde a l'air si assoiffé de sang.
Je ne sais pas à qui me ranger.

Comment vas-tu ?

- Bien. Et Moya ?
- Elle est ici quelque part.

Elle invente probablement des trucs.
Elle va bien.

- Nous nous sentons bien.
- Bien. À bientôt.

- À ce soir ?
- Oui.

- Finbar Murphy ?
- Doireann McCann ?

Il se prononce Doireann.

Je ne l'ai vu que par écrit.
Ils écrivent sur vous.

Dis qui a ordonné
le meurtre, ou moi te

tirer dessus ici, dans
cet endroit de merde.

Nous nous sommes tués les amis.
Tirons la ligne.

- Maintenant, vas-y, et ensuite...
- Rien. Sûrement pas.

J'ai tué un monstre.
Curtis était mon frère.

Alors tu devais savoir
à ses... inclinations.

- Donnez-moi le nom.
- Allez-y doucement.

Je peux le conduire à toi.
C'est plus facile.

Est-ce que vous venez
de le faire se rendre ?

J'ai ensuite fait monter
Curtis dans la voiture.

Retrouvez-moi ici à huit heures.
Personne ne verra rien.

Vous pouvez très bien croire que non.
Pensez-vous que je suis stupide ?

- Nous nous retrouverons au pub.
- Celui de Wright ?

Exactement.
Il est rempli d'invités heureux -

- et aucun d'eux ne sait que tu l'es
un foutu tueur, donc pas de chiffres.

Vous ne faites pas de mal aux autres.

Vous venez. Sinon, le pub sera
répandu dans tout le Donegal.

Si quelque chose nous arrive, d'autres
viendront, ce qui est bien pire que moi.

Ils se retrouvent dans cet endroit perdu.
Et l'étrange, curieux -

- La dame d'à côté, c'est vrai ?
Personne ne peut en être sûr.

Putain d'idiot !

Tu prends mon arme
et s'enfuir sans un bruit ?

- Vous avez un bon sens du drame.
- J'ai trouvé le chef.

Elle ne faisait pas partie d'une trêve.

Elle ne m'a pas laissé le choix.
Je vais la tuer.

- Tous.
- Comment comptez-vous procéder ?

Ce sera bon et public.

Alors si quelqu'un
veut se venger, ils me

poursuivent et laissent
la ville tranquille.

Conduis simplement.
J'irai bien.

Oublie ça, mon pote.

Le grand Finbar Murphy part en guerre.
Je ne veux pas rater ça !

Bon chat.

Toc Toc.

Moya. Un petit cadeau pour vous.

Tu le veux ? Il est à toi.

- Quel est son prénom ?
- Je ne lui ai jamais donné de nom.

- Qu'en penses-tu ?
- Il ressemble à un... Seán.

Maintenant, sois gentil
avec lui, n'est-ce pas ?

C'est bon d'être bon
même si ça fait mal.

Alors vous préservez votre humanité.

Au revoir, Sean.

Vous vouliez un public.

Je les rencontre là-bas et leur dis
pour eux que je l'ai à l'arrière.

Où je les attends.
Alors vous avez pris le relais.

Voir par vous-même. J'ai écouté.

Non.

J'ai mon propre avantage.

Du charbon alors. Prends-le ici.

Il y a une enveloppe dans la poche avant.
Donnez-le à la mère de Robert.

Le reste est à vous.

Qu'est-ce que tu fais ?
Nous sommes d'accord...

Nous n'étions d'accord sur rien. Écoutez.
Vous n'avez plus rien à faire ici.

C'est ma guerre. Prenez l'argent.

Que ce soit mon héritage pour vous. Vous
n'avez pas besoin de l'utiliser à nouveau.

Tu es jeune.
Trouvez autre chose.

Allez en Californie.
Vous n'êtes pas obligé d'être un saint.

Ne gâche pas ta vie sur ce.

Personne ne m'a jamais rien donné.

Mon conseil vaut bien plus
que l'argent. Fais-moi confiance.

Du charbon alors.

- Tu dois être nerveux ce soir.
- Pensez à mon vieux cœur.

Vous êtes jeune de cœur.
Est venu. Nous sommes assis ici.

L'ennemi se cache partout.

Il n'a rien tenté sur le terrain.
Pas avec tous ces gens.

J'entre et regarde.
Conan, tu viens avec le sac.

- Pourquoi lui ?
- Parce que tu tires mal.

Quand je cherchais Curtis, tu m'as aidé
non, et j'ai conclu l'affaire.

Et parce que je le dis, bon sang !

- Oui oui.
- Laisser tourner le moteur.

S'il y a des problèmes, vous réglez la
minuterie, et puis on marche, compris ?

- Nous tuons les cochons.
- La moitié de la ville est là.

Certains d'entre eux peuvent nous piéger
pour les enfants morts.

J'avais espéré une soirée tranquille.
Quelques histoires, vous savez.

- Comment se passe ton livre russe ?
- Je ne l'ai pas fini.

Je pense que tu l'aimerais.

- Un peu de mystère et de suspense ?
- Oui.

Un détective rusé enquête
un meurtre horrible.

Son nom est Porphyre.

Il est persistant
dans sa recherche de la vérité...

et fait sortir le suspect, à quel point
l'isolement est dévastateur pour lui.

Cela le ronge.

Il lui fait comprendre,
que le seul qui peut l'arrêter -

- c'est lui-même.

Donc il a de bons instincts,
ce détective ?

En fait, il me fait penser à toi.

- Va-t-il mettre la main sur son homme ?
- Je ne sais pas.

Est-ce que ton neveu vient ce soir,
ou est-il parti ?

Tu ne gagnes pas ta vie faire le
commerce des livres. Eh bien, Finbar ?

Que fais-tu concrètement ?

Vinny...

- Tu ne veux pas savoir ça.
- Dis quelque chose et laisse-moi t'aider.

Non, Vinny. Tu ne peux pas faire ça.

Moya ! Venez ici.
Vous devez rentrer chez

vous. Les enfants ne
sont pas autorisés ici.

- Je me sens bien pour maman.
- Pas ce soir.

Mère doit voir Seán.

Pas ce soir. Emmène
Seán et rentre chez toi.

Seán pourra rencontrer
ta mère un autre jour.

D'accord ? Alors rentre
chez toi. Maintenant !

Jouez pour nous !

- Ça va bien.
- Oui.

Et vos complices ?
Pas de chiffres, avez-vous dit.

Ils sont à proximité.

Alors laisse-moi voir le cochon, pour que
vous puissiez retourner à votre musique.

Nous nous reverrons.

Si vous déménagez,
Je te cueille sur place.

Bien.

N'aimes-tu pas juste la façon dont une
chanson peut-on remplir son cœur de joie ?

La musique.

Tu veux vraiment le trouver
hareng le plus proche et frappez-le.

C'est comme ça qu'on guérit les fesses ?
Ne suis-je pas un peu trop vieux pour toi ?

J'attrape n'importe quelle femme
il y a du frais... Doireann.

Merci pour le cadeau, Finbar. Mais un
saint doit d’abord pécher, n’est-ce pas ?

- C'est lui ?
- Fermez-la.

Bien sûr, c'est moi. Ne
devrions-nous pas sortir par l'arrière... ?

Vers le bas !

Pisse !

Dépêche-toi !

Celui de Satan.

C'est à moi, stupide cochon.

La salope m'a tiré dessus !

Est venu.

Alors je suis toujours là, Doireann !

Toi tout-puissant.
Pourquoi diable es-tu revenu ?

Descendre !

Tout ton argent est dans ma voiture.

Je suppose que tu arriveras
en Californie avant moi.

Finbar...

Est-ce qu'il va te sauver ?

Ce n'est pas moi qui dois être sauvé.

J'ai fait ce que j'ai fait.
Et il y avait une raison à cela.

Le Seigneur le sait bien.

Ne me juge pas.

Je ne suis pas là pour juger.

Nous avons tous nos raisons.

Maintenant, tire-moi dessus.

Vous êtes au bout du chemin.
Maintenant, faites la paix.

Mon frère...

Il est tout seul.

Je vais probablement m'en assurer
vous le rencontrez.

Les tyrans ne vous ont pas frappé.

Rita, je suis vraiment désolé.

Tout va bien, Finbar.

Vous n'avez jamais demandé
ce que je faisais dans la vie.

Devrais-je ?

C'est dommage, rien ne poussera.
J'aurais dû commencer il y a longtemps.

Garde le.

Peut-être que tu tenteras à
nouveau ta chance une autre fois.

Au revoir, Rita.

Prenez soin... de vous, n'est-ce pas ?

Crime et Châtiment

Textes : Kai-Asle Sønstabø
Texte vidéo danois