All language subtitles for La Boîte à fantasmes de Tinto Brass.en

P.O. COFFRET TINTO LAITON

Cher Tinto, je m'appelle Milena.

J'ai 9 ans et mon
petit ami s'appelle Dario.

Il y a quelques semaines,
quelque chose d'étrange m'est arrivé.

j'aimerais t'en parler
et découvrez ce que vous en pensez.

Non pas parce que je me sens coupable
ça, mais parce que je t'aime bien

et je suis sûr que vous
comprendre certaines choses.

Nous étions à la plage,

chercher un endroit calme
endroit où l'on pourrait s'embrasser.

Ce n'est qu'alors que j'ai réalisé
que nous n'étions pas seuls.

Si je disais à Dario,
il voudrait aller ailleurs

et peut-être n'approuverait-il pas ceux-là
regards qui m'excitaient.

L'idée d'être observé
par eux m'a rendu plus audacieux,

presque sans pudeur.

- J'aurais mis de l'argent dessus.
- Quoi?

Cela, Dario le savait depuis le début.

Vous êtes très méchant.

Regardez qui parle!

Ferais tu
quelque chose comme ca?

- Certainement pas!
- Tu ne trouves pas que c'est amusant ?

Oui, mais mon copain ne le ferait pas.

Qu'est-ce qu'il a à voir avec ça ?
Tu n'as pas à le faire avec lui.

Vraiment? Qui alors?

Je ne sais pas, tu choisis.

Si ce n'est pas avec le
petit ami, où est le plaisir?

Et c'est moi le méchant ?

Dis-moi la vérité.

- Tu l'as déjà trompé ?
- Mon entreprise!

- D'autres filles me le disent.
- Je ne sais pas.

Même pas dans ta tête ?

Qu'est-ce que ça a à voir avec ça?

tu ne triches pas
quelqu'un dans ta tête.

Vous imaginez, rêvez, fantasmez...

Comme dans vos films, non ?

Bien sûr, comme dans mes films.

Cher Monsieur Brass,
tu es la personne idéale à qui se confier

et donner des conseils sur
ce qui m'arrive.

C'est une affaire délicate,
mais je compte sur votre discrétion.

Je m'appelle Elena,
Je viens de Bassano et j'ai 28 ans.

Je suis mariée à Guido depuis six ans.
C'est un programmeur informatique

avec la mairie.

Il ne gagne pas beaucoup mais
il ne veut pas que je travaille.

Il préfère que je sois femme au foyer.

C'est toi Guido ?

Salut chérie. Comment ça va?

Bien, comme d'habitude.

- Combien de temps sera-ce?
- Vous avez le temps pour une cigarette.

Quel parfum !

Arrête ça,
tu vas me faire me couper !

Te voir occupé dans le
la cuisine fait grandir ma faim.

Sentez-vous comme il grandit !

Lavez-vous les mains. J'obtiendrai ça.

Bonjour?

Bonsoir, Comtesse.

Quand?

Oui, je pense que oui.

Je vais en discuter avec mon mari.

je ne pense pas qu'il y aura
être des problèmes.

D'accord.

D'accord.

Si je ne te rappelle pas,
ça veut dire que tout va bien.

À demain.

Trois heures. Bien.

Oui, d'accord.

Au revoir, comtesse.

Qu'est-ce que c'est?

- Que sont-ils?
- Je ne sais pas, je n'ai jamais

les a utilisés avec ma femme!

Que veux-tu dire?

Pourquoi étaient-ils dans votre sac à main ?

Et qui voulais-tu
les utiliser avec ?

Personne, à quoi penses-tu ?
Je les avais oubliés.

Certains enfants me les ont donnés
à l'extérieur du supermarché.

Dit moi si j'ai bien compris.

Certains enfants vous arrêtent dans le
rue, et juste comme ça

ils vous donnent des préservatifs ?

Bien sûr que non, stupide.

C'était une campagne anti-SIDA.

Si vous avez fait un don,
ils vous ont donné ça.

Je ne les voulais même pas
car nous ne les utilisons pas

mais ils ont insisté et je
leur a donné 10 000 lires.

Ai-je mal agi ?

- En faisant quoi ?
- Aider à lutter contre le SIDA.

Pourquoi tu ne me l'as pas dit ?

Je l'ai oublié!
Allez, ne sois pas comme ça.

Nous ne devrions pas avoir
secret, tu le sais !

D'ailleurs,
qui était au téléphone ?

-Comtesse Franca -Encore?
Qu'est-ce qu'elle voulait ?

- Pour m'inviter à Trévise demain.
- Quoi?

L'habituel,
elle aime la compagnie.

Elle veut mon avis sur
des antiquités qu'elle achète.

- Va-t-elle vous payer ?
- Elle me donne toujours quelque chose.

Elena... tu me rends fou.

Vous aurez compris le
l'histoire anti-SIDA n'était pas vraie.

Ces préservatifs étaient en fait
les outils de mon métier,

parce que j'allais à Trévise
régulièrement pendant quelques mois.

Là, loin des regards indiscrets
les yeux et les commérages de Bassano,

dans l'intimité de
La maison de la comtesse Franca,

J'ai travaillé comme "dame du jour".

Bonheur!
Après une semaine d'élevage porcin

seulement deux truies excitées comme toi

peut se débarrasser de la puanteur!

Oui, dis-moi que je suis un
"semer", j'adore ça !

Viens, truie suisse !
Oubliez votre mauvais mari !

La puissance de l'Italie !

Qui dois-je payer ?

Vous ou la comtesse ?

C'est pareil pour moi.
Demandez à Michelle.

Au revoir ma chérie, reviens bientôt.

Michelle est mon nom de travail.

je l'ai choisi parce que
de la chanson des Beatles

et parce que le français va
bien en province.

Tout ce que je sais de Wanda c'est
dont elle descend

Lausanne pour un
« cure réparatrice ».

Quelle belle odeur de baise.

Je me sens comme une nouvelle femme.

Certaines personnes vont à Capri ou
Rimini pour un "viens me chercher",

mais je viens ici pour
me gaver de sexe.

Loin des enfants,
Suisse et mon mari.

C'est un homme merveilleux, mais...
oh !

Nous sommes cinq
travaillant pour la comtesse.

Tous pour des raisons différentes.
Je veux satisfaire les caprices

ce salaire de Guido
ne permet pas.

Wanda aime se gaver de sexe
alors jouez la femme parfaite.

Irma, la maîtresse d'école de SandM

est une mère divorcée.

Sofia, la Bulgare,
s'est échappée de son pays.

Lucy, la Lolita,
va bientôt se marier.

On y est presque.

Et qu'en est-il après ?

J'arrêterai une fois que je serai marié !

- Tu te moques de moi.
- Pourquoi aurais-je?

Arrêt, point final, fin de l'histoire !

Bénis-la !
Dans quelques mois, faites-moi savoir

si vous ressentez toujours la même chose.

En Bulgarie,
pour gagner ce que je gagne ici en une semaine,

je devrais travailler
pendant une année entière.

C'est amusant ici aussi!
N'est-ce pas, Michelle ?

Eh bien, pour satisfaire l'étrange caprice.

Oh mon Dieu, si j'ai besoin de quelque chose
de temps en temps...

un micro-onde,
une petite voiture pour faire les courses...

des vacances aux Maldives !

Pourquoi pas? Occasionnellement!

Après tout mon
mon mari m'a fait passer,

je pense que c'est vrai que
les hommes doivent être punis.

Et plus tu punis
eux, plus ils sont heureux.

Filles,
il y a un monsieur pour vous voir.

C'est un nouveau venu,
qu'il se sente chez lui.

Est-ce clair?

S'il vous plaît, entrez.

Irma.

Lucie.

Wanda.

Sophie.

Et Michelle.

Michèle...

Michèle !

On y va?

Michèle !

Quoi de neuf, gelé sur place?

-Guido...
-Guido ? Je m'appelle Carlo

- Carlo ?
- Carlo, oui, Carlo.

Qu'est-ce que tu attends?
Dépouiller!

Vous n'êtes pas une prostituée timide, n'est-ce pas ?

Non non. C'est juste...

Je comprends!
Vous voulez de l'argent à l'avance.

- Combien ça coûte?
- Habituellement, c'est 300 000 lires.

- Bonté divine!
- Qu'est-ce qui ne va pas?

J'espère que vous en valez la peine.

Avec ou sans préservatif ?

Avec.
Sans frais 200 000 supplémentaires.

- Putain de merde !
- Oh?

Mais avant tout,
comme une bonne pute,

vous le lécherez sans.

D'accord.

Puisque vous insistez.

Allons à la salle de bain.

Pourquoi?

Si je dois le sucer,
vous devez d'abord le laver.

J'ai joué avec lui.

Si Guido était Carlo et
ne m'a pas reconnu,

J'étais Michelle et je traiterais
lui comme un client normal.

Assez! 300 000 lires
car c'est trop.

- Que fais-tu?
- Quelque chose que je n'ai jamais fait avec ma femme :

un enculage !

Non, Guido, non !

Je ne suis pas Guido, je suis Carlo !

Je suis Carlo.
Comprenez-vous, oui ou non? Carlo !

- Carlo !
- OK, j'ai compris, tu es Carlo.

Mais tu ne peux pas le faire, tu ne peux pas !

Qui m'arrêtera ?

Je vais.
Vous n'avez payé que le tarif du préservatif.

Ne t'inquiète pas,
Je paierai le solde la prochaine fois.

je reviendrai te voir
encore, mon cher.

Oh oui je le ferai !

En fait, Carlo a renvoyé plusieurs
fois chez la comtesse Franca,

se faire passer pour un client

désireux de jouer avec Michelle,

les actes sales qu'il ne ferait pas
rêve avec sa femme.

Écoutez : "SandM bordel
découverte à Turin.

Outre le propriétaire, six femmes
ont été arrêtés, tous les premiers délinquants.

Étudiants, vendeurs,

même les femmes au foyer et les mères.

Les prix variaient de
500 000 à un million de lires."

Compris, Elena ? Alors que les maris
et les pères travaillent comme des esclaves

ramener à la maison un maigre salaire,

ces sales vaches putain
environ une demi-journée

et gagner des millions.

C'est vraiment vrai.
Certaines femmes naissent putains.

Peut-être qu'ils le font pour
étirer le budget familial,

s'acheter le luxe étrange.
Un caprice innocent ?

Disons-le innocent !

Parler de famille
budgets, avec votre travail,

ne pourrions-nous pas nous étirer
à une nouvelle voiture?

Celui que nous avons est une épave.

Peut être,
vous pourriez travailler quelques jours supplémentaires.

Nous avons acheté une nouvelle voiture, bien sûr.

Une belle Alpha GTV rouge.

Mais, cher M. Brass,
Je suis intrigué par une seule chose.

Guido est-il vraiment si naïf,

ou agit-il simplement comme ça?

Vous voulez en entendre un bon ?

Vous voulez goûter quelque chose de spécial ?

Ne me salissez pas.

Suce-le, utilise tes lèvres et
vos dents un peu aussi.

Bien joué! Tu es même un
expert à sucer les asperges.

Bonne fille!

Savoureux, un peu sur le côté doux.

Mais savoureux.

Lisez la lettre.

"Cher Tinto Brass,

Je pense que tu es un "voyeur".

En fait, un esthète "voyeur".

Ce n'est pas une dénonciation,
juste une remarque d'une fille

qui saisit les choses rapidement.

En gros, on aime tous
à surveiller et à désirer

et sentir l'excitation
des yeux sur nous.

Une sensation enivrante

ça me donne aussi un
délicieuse sensation de puissance."

Continuez, cela semble intéressant.

"J'ai 19 ans et mon
nom est Elisabetta,

mais tout le monde m'appelle Betta
et me dit que je suis jolie.

L'autre jour, j'étais assis dans
L'amphithéâtre étrusque de Sutri,

lire le guide et
en attendant mon petit ami

qui était allé me chercher un rouleau.

Personne d'autre n'était là,
sauf pour un touriste japonais

avec de drôles de lunettes de soleil
qui avait des lentilles miroir.

Même si je ne pouvais pas
voir réellement ses yeux,

Je savais qu'il me regardait.

Je pouvais sentir ses yeux sur mon corps

et ça m'excitait.

J'avais l'impression d'être au cinéma,
aspiré dans un de vos films.

Je suis peut-être un voyeur,
mais ce Betta est un vrai coquin !

Dois-je le déposer ?

Poursuivre.

Oui, un joli petit
coquin exhibitionniste.

Comme toutes les femmes,
elle-même l'admet.

Tu crois ça?

Je crois toujours en ce que je vois.

Qui diable est-ce?

Entrez!

-Livraison express pour Tinto Brass -Merci.
Je le prends.

Celui-ci a
beaucoup de choses à dire.

Cher M. Brass, je joins,
avec l'accord de mon mari,

ces photos et cette vidéocassette.

Nous aimerions avoir votre avis d'un
point de vue artistique et professionnel

et aussi érotique, sexuelle.

Je caresse l'espoir de
pouvoir un jour

travailler avec vous - Dois-je traiter?

- Prêt pour le deuxième ?
- Aller!

- Ouah!
- Laissez-moi voir!

- C'est un cri.
- Pas mal!

Elle a compris de quoi il s'agit !

- De quelle manière ?
- Les poils sous les bras.

Tiens, regarde.
Elle sait qu'elle ne devrait pas être rasée.

- Heureux?
- C'est incomparable !

- Si tu le dis.
- Pourquoi? Vous n'êtes pas d'accord ?

Vous rasez-vous?

Bien sûr, comme tout le monde.

Malheureusement! Tout le monde qui ?

Les insipides Barbies à la télé ?

L'addiction à la télé, quel désastre !

Je m'appelle Renata, j'ai 28 ans.

Je suis mariée à Piero, 35 ans depuis 3 ans.
C'est un cuisinier.

Nous n'avons pas d'enfants et
je n'en veux pas pour le moment.

Nous sommes très occupés avec
un restaurant en Romagne

que mon mari a pris
plus de son ancien propriétaire.

Notre relation s'est bien passée au début.
Nous étions proches

et compris chacun
autre sexuellement.

Mais petit à petit,
le travail nous brutalisait

et notre vie sexuelle est devenue
de plus en plus misérable.

Alors Piero a pensé à la photographie
serait en mesure de lui donner un coup de pouce.

Comme tu peux le voir,
nos visages ne sont pas montrés,

mais pas par gêne
ou la peur d'être reconnu.

Peut-être que c'est pour que nous puissions faire semblant
n'était pas nous quand nous les avons regardés.

C'était un jeu amusant,
mais ça n'a pas duré longtemps.

Il n'a fait qu'un petit bout de chemin vers
raviver l'étincelle sexuelle.

Un jour j'ai vu un client
filmer sa femme,

alors j'ai dit à Piero de
acheter du matériel vidéo.

Mon mari est devenu maniaque...
pour la caméra.

Vous le verrez depuis le
cassette que nous avons jointe.

Il comprend notre
vidéo et une surprise.

Je veux le voir depuis le début !

Calmer,
ce n'est pas ma faute s'il n'a pas été rembobiné.

Les images, ma chère, doivent être
dominé, non subi.

C'était mon rêve

dresser les tables et
attends-les nues.

Nous sommes fermés le lundi,
donc mon mari et moi nous sommes amusés

jouer "La sale serveuse
et son sale client".

Merde, j'ai laissé tomber la fourchette.

Tu es géniale, Renata.

Qu'est ce que vous faites monsieur?
Qu'est-ce que tu touches ?

Mademoiselle, venez attendre sur ma table !

J'ai faim... quel beau coup !

Bien sûr, tout le monde est un
directeur de nos jours.

Mais uniquement télévisuel.

Tu paries. A part quelques dinosaures,
il n'y a plus de films cinématographiques.

Des seins frais, un plat délicieux.

Comment se mange-t-il ?
Renata, tu es si appétissante !

Je ne peux plus le supporter.

Vous êtes trop appétissant.

Où vas-tu? Revenir!

Essayez, monsieur.
Essayez cette petite huître.

Tu avais raison,
la dame l'a saisi !

Renata ! Vous êtes un coup de grâce !

- C'est là que nous sommes entrés.
- Simple, mais bon.

- Quoi?
- L'idée du déjeuner.

Télévisuellement parlant, tu veux dire.

Bien sûr,
télévisuellement parlant.

Avouez que vous aimez regarder
moi, espèce de maniaque du sexe !

Oui j'aime ça!

Mais plus que ça, j'aime lécher
vous, vous engloutir!

Talentueux.

Plutôt bien.
Ils l'ont même édité.

Bien sûr, donnez-leur un Oscar.

Jessica Lange et Jack Nicholson dans
"Le facteur sonne toujours deux fois."

Mais quelle est la surprise ?

Parfait, ce jet étincelant
ressemble à un rayon de soleil, Maria !

Sale diables,
ne puis-je même pas faire pipi en paix?

Bon Dieu, les gars.

D'accord. D'accord!

Allez, tu vaux mieux que
Sandrelli dans "la Clé".

Tu as été un grand
influence, maestro.

Vous ne pouvez faire qu'une scène
comme ça en une seule prise !

Ne dis pas de bêtises,
mettez-y votre cœur.

Entrez dans la partie.

Allez, Renata.
Vous entrez dans le cadre aussi !

Gelez-le sur son visage.

Je vois enfin son visage.

- Qu'en penses-tu?
- Attractif.

Elle m'a l'air un peu salope.

Quoi? Elle a un visage naturel.

Exactement ce à quoi je m'attendais. Continue.

Wow, saviez-vous que vous êtes génial ?
Vraiment talentueux.

Agir, Renata.
Aidez ma femme à enlever sa culotte.

Comme c'est gentil!

C'est bien,
mais maintenant tu te déshabilles aussi.

- Qu'est-ce que tu attends?
- Enlevez-les.

T'es tellement poilu ! En bas aussi ?

Quel Parker curieux...

Voyons,
enlever son pantalon.

Il fait frais!

Mais il fait chaud ici !

Génial, deux nymphes.

Allez, embrassez-vous. Super!

Maintenant, caressez-vous les uns les autres...
C'est très bien.

Très bien. Juste comme ça.

Merveilleux! Baiser.
Venez un, comme vous l'entendez.

- Attends, un satyre t'espionne.
- Vite, courez-y.

Après un certain temps,
même nos divertissements vidéo et nos jeux sont devenus ennuyeux.

Nous avons commencé, par contact
annonces et magazines spécialisés,

échanger des vidéos
avec d'autres couples

qui aimait regarder
et être surveillé.

Nous avons pris contact avec Mario et Maria,
qui se qualifient de "vidéophiles".

Ils nous ont proposé de filmer
réciproquement.

C'était une perspective alléchante,
mais nous avons établi quelques règles de base :

jeux oraux et manuels
autorisé, mais pas de pénétration.

Cette vidéo est la
résultat de notre rencontre,

et c'est la surprise que
J'ai mentionné dans la lettre.

- Mario ! Que fais-tu?
- Être un satyre, non ?

Mais n'avons-nous pas dit
"pas de pénétration" ?

C'était juste pour la vidéo.
Allez, Piero, fais-le avec moi.

Passons de
fiction en réalité !

À partir de maintenant,
nous avons continué à échanger des vidéos

et ma relation avec Piero a
tout de suite sur la bonne voie. je suis sûr que tu

réaliser que les règles initiales ne sont plus
en vigueur. J'espère que ça vous a plu, alors quand

tu fais ton prochain film
tu te souviendras de moi.

L'idée de 100 000 ou d'un
millions de spectateurs me voyant,

envoie littéralement
moi dans les ravissements.

Alors qu'est-ce que tu en penses?

Me donnerez-vous votre avis ?

Intéressant.

Cela a fait monter mon inspiration.

- Vraiment?
- L'inspiration entre mes jambes !

D'accord, j'ai compris...

Je vais. Regardez comme il est tard.

Mon copain attend
dehors, il est venu me chercher.

"Au revoir", maestro.

"Bye Bye".

Veillez excuser mon retard!

Ce qui s'est passé?

Je me suis arrêté au P.O. Boîte

Je m'appelle Rosella et j'ai
vu certains de vos films.

Jamais au cinéma,
uniquement en vidéo car Gianni,

mon mari,
les ramène à la maison pour que nous les regardions.

J'ai 33 ans et je pense que j'ai
une femme tout à fait ordinaire,

loin des dames faciles
vertu qui peuplent vos films.

Mais il y a quelques soirs,
quelque chose de si étrange s'est produit

que je ne pouvais pas croire
ça m'est arrivé.

C'est pourquoi j'écris.
J'étais furieuse contre mon mari,

parce qu'il a appelé pour dire qu'il
dû travailler tard à la clinique

et que nous ne pouvions pas y aller
aller dîner comme prévu.

Tu sais que j'étais
s'attendre à sortir!

Les enfants sont chez maman et
nous n'avons rien à dîner !

Tu aurais pu
m'a appelé plus tôt.

Désolé, ce n'est pas ma faute.
Nous sortirons un autre soir.

- Je suis trop fatigué.
- C'est toujours la meme chose!

Tu mets tout le monde
devant ta femme !

Tu sais que ce n'est pas
vrai et je me suis excusé.

Vous êtes un expert en
ça et toujours me duper.

Tu ne penses qu'à toi.

Tout tourne
autour de vous et vos projets.

Les autres ne comptent pas,
ils doivent faire avec.

Quoi qu'il en soit, je ne suis qu'une femme au foyer
pour vous et une femme de ménage !

Découper!
J'ai examiné des patients toute la journée.

Je suis fatigué et tu fais
une montagne sortie d'une taupinière !

Arrête d'être hystérique.
En plus, tu sais que je ne peux pas parler ici.

Parlez-moi à la maison.
Quand tu es calmé.

Hystérique? OMS?

Bonjour? Bonjour!

J'étais fou de rage.

Quand mon mari se comporte comme
ça, je vois rouge.

Je perds le contrôle,
il n'y a aucun raisonnement avec moi.

J'étais sûr que c'était Gianni,
mais je ne voulais pas

parler ou l'écouter.

Chérie, je dois te dire quelque chose.
Ma bite est dure.

Pouvez-vous m'entendre, mon cher?

Je pensais à
toi et c'est devenu dur.

- Quel chanceux êtes-vous.
- Mais tu n'es pas Teresa !

-Non, je suis Rosella -Merde !

Mais c'est toujours difficile.

Que puis-je faire à ce sujet ?

- Donne-moi un coup de main.
- Ne soyez pas si pressé.

Tu as raison,
Je pensais encore à Teresa.

Je te l'ai dit, je suis Rosella !

Ça me va,
mais donnez-moi un coup de main s'il vous plait.

Comment? Je ne comprends pas.

Une main, ta main !

Pour venir, je dois faire semblant
ma main est ta main.

- Vous êtes fou !
- Ne raccrochez pas, s'il vous plait !

je ne pouvais pas casser
loin de cette voix.

Son timbre sensuel m'a arrêté.

Il exsudait la passion, le désir, la luxure...
Des sensations que je n'avais jamais ressenties.

- Vous êtes toujours là?
- Oui.

- Vous êtes seul?
- Eh bien, pour le moment.

Petit ami ou mari ?

- Un idiot. Mais il vient juste de sortir.
- Alors on peut en profiter.

Touchez-vous et faites semblant
que c'est moi qui te caresse.

Satisfaire cet étranger
est venu tout naturellement.

Il n'était pas là, il ne pouvait pas voir
moi, il ne savait pas.

Tu le fais, Rosella ?

- Oui.
- Bien!

Dis-moi où tu es
toucher toi-même !

Ma poitrine, sous mon chemisier.

- Sur mon soutien-gorge.
- Enlever!

Mouillez votre doigt avec de la salive et

passez-le sur vos mamelons.

C'est ma main qui te touche.

- Dites-moi, si vous l'aimez.
- Oui j'aime ça.

C'est bien, continue.

Pensez à votre main
toucher mon gros pénis dur!

Idiot!

Rosella, ma chérie,
laisse-moi sentir à quel point tu es mouillé.

Touche toi,
c'est mon doigt dans ta culotte.

Poussant dans ton chaud,
petit nid touffu.

je caresse les lèvres,
ils sont gonflés de désir

et mouille avec ton
jus sucrés amers.

Peux-tu me sentir
grandit dans ta main?

Plus grand, encore plus
gonflé, plus dur!

Peux-tu sentir comment ça palpite avec
désir, chéri?

Réponds-moi, dis-moi que tu le sens !

Oui, je peux le sentir.
Je peux le sentir!

Minutieux! Lentement...

Je ne peux pas le retenir !

Non! Toi aussi tu es tranquille...

Votre doigt est si puissant.

Tu me rends folle.

Oui, continue,
mets-le en moi.

Je te veux en moi.
Prends-moi, je t'en supplie !

Ne vous arrêtez pas. Plus rapide, plus profond.

Plus fort!

Prends-moi, frappe-moi,
jusqu'au cou !

Comme ça, allez...

Oui comme ça!

Touche mes testicules,
caresser mes couilles.

Fantastique! Oui, plus bas !

Petite salope,
tu aimes me taquiner !

Maintenant je vais mouiller mon doigt
et colle-le dans ton cul.

Oui, fais-le chérie !

Oui... donnez-moi un coup de main, s'il vous plaît !

C'est tellement serré.

- Votre mari l'a-t-il fendu ?
- Jamais!

Vous avez raison de vous mettre en colère.

C'est un vrai idiot.
Oui, un sale crétin.

Mets-le en moi,
prends-moi par derrière.

Frappez-moi, martelez-moi le cul!

Mettez-le à fond, allez !

je vais me masturber
toi de devant

et te pénètre par derrière !

Personne n'a jamais fait ça, dis-moi.
Continue!

- Dis-moi!
- Personne à part toi

m'a jamais donné
tant de plaisir !

Tu es à moi!

Peux-tu me sentir, chérie?

Que se passe-t-il?
Qu'est-ce que j'entends ? Ah !

Respectable Rosella, qui ne fait que regarder
mes films parce que son mari la fait.

Bien joué,
tu as un avenir comme

un opérateur de ligne de chat.

Plus ils agissent comme
saints, plus ils sont sales.

Quand regardez-vous mes films ?

Quand mon copain fait
moi, évidemment.

C'est de Foggia,
ça vient d'un homme.

Pas d'hommes, bin it!

Honte.

C'en est un alors.
C'est d'une femme de Turin.

Cher Brass,
Je suis fan de toi et je veux dire

vous quelque chose que vous pourriez trouver intéressant.
Je m'appelle Francesca, j'ai 28 ans.

Je suis mariée à Paolo depuis 3
ans, il a 7 ans de plus.

Tout a commencé comme un jeu...

Un soir, alors que nous faisions
amour, il murmura :

« Chérie, voudrais-tu
le faire avec quelqu'un d'autre ?"

j'étais indigné,
mais je sentais mon sang remuer au fond de moi.

L'idée de tricher avait
a déclenché une étrange excitation.

Je ne t'ai jamais vu comme ça.

Laisse-moi tranquille.

- À quoi pensais-tu?
- Arrête, Paolo !

Personne. C'était ton fantasme,

pas un de mes souhaits.

Mais après ça,
fantasmer ne suffisait pas.

Alors pour ressentir cette excitation
qui avait doublé mon plaisir,

J'ai accepté, un peu boudeur,
pour l'accompagner à un endroit

où, selon ses mots,
on passerait une soirée "différente".

Quelle culotte portes-tu ?

Ceux que j'ai achetés à Paris.

Ils ont un beau look.

je les mets comme
une faveur à vous.

Tu as insisté pour que j'aie l'air sexy

mais je ne vais pas
faire n'importe quoi!

Personne ne va vous forcer.

Où nous allons,
chacun peut faire ce qu'il veut.

Vous êtes trempé !

C'était vrai,
mon corps m'a trahi.

J'ai prétendu être repoussé par le
expérience que mon mari voulait

me faire subir, mais en fait,
Je me sentais attiré par elle comme les mouches par le miel.

Paolo m'a emmené dans une Villa

où l'échange de femme
des fêtes ont eu lieu.

- Qu'est-ce?
-Roberto.

Oscar m'a envoyé.

Nous voilà.

- À venir?
- Attends une seconde.

- Bonne soirée. Accueillir.
- Bonne soirée.

Si tu veux partir
quelque chose dans le vestiaire...

Peut-être que vous n'aurez pas besoin de votre sac à main.

Connaissez-vous cet endroit?

Non, mais d'autres de ce type.

Alors, tu sais que tu
ne payez que les boissons.

Viens par là.

Qu'est-ce que je peux t'offrir ?

- Que vas-tu prendre?
- Rien.

Vous devez avoir quelque chose.

- Un whisky droit.
- Whisky-coca pour moi.

- Vous voilà.
- Merci.

Prends-le.

Allons nous asseoir.

Inutile de se cacher.

Ou boire trop.

Faisons comme si nous étions chez nous.

Arrête, qu'est-ce que tu fais ?

Le même que tout le monde.

Allez, détends-toi.

- Et ouvre mes braguettes.
- Es tu fou? Je suis embarrassé.

Ne mentez pas.

Je sais que tu aimes ça.

Sentez à quel point vous êtes mouillé.

Laisse-toi aller, Francesca.

C'est une bonne opportunité
pour s'amuser et jouer.

N'aie pas peur, chérie.
Je suis là.

Allons-nous passer par là ?

Lève-toi, Francesca.
On va dans l'autre pièce.

C'était comme si je voyais
moi-même dans un miroir.

Extérieurement timide et prude,
mais en fait la plus grosse salope de toutes.

Voir Paolo prendre une autre femme
m'a rendu fou de jalousie,

mais cela n'a fait qu'augmenter
le plaisir intense.

Oui, Paolo, j'arrive !

Moi aussi ma chérie, moi aussi !

Je viens.

Et elle était contre.

- As tu déjà été?
- Où?

Dans un club échangiste ?

Bien sûr.

En France et en Italie.

Je n'irais jamais.

Je n'en doute pas.
tu es trop naïf

et trop jaloux.

Comme quiconque est
vraiment amoureux.

- Est-ce que ton copain est comme ça aussi ?
- Comme n'importe quoi !

- Même s'il le met en bouteille.
- Il a raison.

- Pour le mettre en bouteille ?
- Être jaloux!

Écoute juste ça...

"Cher Tinto, je suis Veronica.
j'ai 45 ans et

mon mari est architecte.
Nous avons deux adorables enfants.

Notre vie conjugale est
positif sur tous les fronts

y compris ceux qui
vous intéresserait.

Mais comme d'habitude, il y a un "mais".

Quand je sors pour faire
mes courses quotidiennes,

Je monte dans un tram qui est
très encombré et si vous voulez

excusez mon franc-parler,
Je laisse les hommes me peloter le cul.

Ça m'excite,
mais quand je sens que celui qui tâtonne

je m'excite,
J'ai écourté les choses."

- La salope ! Donne-t-elle le numéro du tram ?
- Non.

Honte.

Arrête ça!

Lisez celui-ci.

Dépêche-toi.
Je ne peux pas rester tard ce soir.

Mon copain vient me chercher.

Cher Monsieur Brass,
cette lettre n'est ni un éclat pathétique

ou une justification.
C'est juste un compte rendu de la façon dont

une amère déception peut conduire
à une satisfaction inattendue.

Je m'appelle Ivana,
J'ai 33 ans et j'ai été fidèle à

Filippo toute notre vie conjugale.
Même si son jeu est une constante

cause de dispute parce qu'il
rentre tard et très tendu.

Jusqu'à il y a un mois, je n'avais jamais
l'ont trompé, mais...

incapable de dormir,
J'ai attendu qu'il rentre à la maison.

Le temps passait. Un, deux, trois...

La colère a été remplacée par l'inquiétude

que quelque chose pourrait
lui sont arrivés.

Telecom Italia, message gratuit. Le
la personne que vous avez appelée n'est pas disponible.

Philippe ?

Est-ce vous?

Vous avez bu aussi.

Vous ne pouvez même pas vomir.

Tu veux que je colle un
doigt dans la gorge ?

J'ai tout perdu.

Qui t'a escroqué cette fois ?

L'homme sourd...

et la blonde.

Vous avez dit que vous aviez arrêté de jouer.

Mais j'ai joué, d'accord ?

D'accord.

Ce n'est pas la fin du monde.

combien as-tu perdu?

Tout.

Tout!

Tout!

Tout!

Je n'ai plus rien.

Juste ta femme.

C'est une belle femme.

Abandonnez-la pour une nuit.

Et nous annulerons le
dix millions que vous nous devez.

- Votre femme est une femme précieuse.
- Et chanceux.

Oui.

Je t'ai perdu.

Tu es vraiment ivre.

Allez.

Allez. Allons au lit.

Regardez, c'est vrai !

Je t'ai parié et j'ai perdu.

Qu'est-ce que tu veux dire ?
Es tu fou?

Ils m'ont donné 10 jours.

Ils attendent
toi, j'ai promis.

Ils m'attendent ?

Tu as dit qu'ils m'attendaient ?

Tu as dit qu'ils m'attendaient ?

Putain qui fait
Vous pensez que vous êtes?

Tu es merdique, dégoûtant,
bâtard lâche et infidèle !

Ils peuvent attendre éternellement.
Toi et tes potes feriez mieux

mettez ça dans la tête !
En fait, dans le cul.

Ils sont fous,
capable de tout.

Putain de merde, règle ça toi-même.
C'est ton problème pas le mien.

Toi et ton putain de jeu !

C'est peut-être parce que
J'aime vraiment Filippo,

ou que j'ai pris un plaisir pervers
en le voyant dépendre de moi

mais trois jours plus tard
j'ai décidé d'y aller

et honorer mon mari
énorme dette de jeu.

Et je dois admettre que ces deux-là,

le Blond et le Sourd...
pourquoi étais-je si précieux pour eux ?

Aide-moi.

Passe-moi ma robe.

Suis-je belle?

Vous pensez qu'ils vont m'aimer ?

- Réponds-moi. Vont-ils m'aimer?
- Oui.

Telecom Italia, message gratuit.
La personne que vous avez appelée...

Ivana ?

C'est toi Ivana ?

Aide-moi!

Soulevez vos jambes.

Et ta culotte ?

Votre soutien-gorge?

Parié...

et perdu !

Aidez-moi, s'il vous plaît.

Tes copains...

La blonde...

et le Sourd...

Est-ce suffisant?

Non, c'était une grosse dette.

- Tu es belle. Devant...
- Et derrière.

Voici le savon.

Oui, exactement!
Je voulais te dire ça aussi :

Le Sourd, le Blond...

ils l'ont fait avec du savon !

Allez.

- Philippe...
- Chéri!

Quand allez-vous aller
retour au jeu?

Pauvre Filippo, il a perdu au jeu
et il a perdu sa femme aussi.

Tu penses vraiment cela?
Je pense qu'il l'a récupérée.

Vous ne pouvez pas,
le maestro ne voit personne !

Mais il m'a dit de
passe ce soir !

Allez voir ce qui se passe.

Lâchez-moi!

Maestro, j'ai quelque chose de spécial
pour toi et il ne me laissera pas entrer.

- Rien à faire. Je pars.
- Dehors!

Juste une seconde,
c'est quelque chose d'exceptionnel !

Entrez, Gabriel.
Laissez le maestro vous voir.

- Qu'est-ce que c'est?
- Vous ne voyez pas ?

Je vois juste une douleur dans le cou.
En fait, deux.

Regarde bien.
N'est-elle pas adorable ?

Laissez le maestro vous voir, Gabri.

- Toutes nos félicitations!
- Ne mérite-t-elle pas une audition ?

Oui... je ne sais pas. Peut être.

Elle mérite assurément
le "test des pièces".

Montre-moi comment tu bouges.
Ramasser.

Comme ça?

Ou comme ça ?

Bravo, tu iras loin.
Prenez-le de celui qui sait.

- Merci.
- Voulez-vous l'embaucher?

Peut-être, on verra.

Vous sentez-vous plus
incliné vers

comédie ou drame ?

L'érotique, maestro.

S'habiller. Vous avez certainement
avez un avenir brillant derrière vous.

- En tant qu'actrice?
- Beaucoup plus. Comme tout !

Laisse une photo avec ma secrétaire.

- Merci, maestro.
- Merci.

Nous garderons un
image de vous-même.

- Merci, maestro !
- Merci.

J'ai dit que Gabri était exceptionnel.
Merci à vous aussi.

Je vais te donner ça.
Mettez-le là où il sera vu, s'il vous plaît.

- Déposer un?
- Comment as-tu deviné?

Qu'est-ce que tu fais ce soir?

Comme j'ai dit.

Voir un film avec mon copain.

Est-ce qu'il t'attend dehors ?

Bien sûr. Pourquoi?

Parce que je ne te laisse pas partir si tu
ne me dis rien sur toi.

Quoi?

Quoi que ce soit. Comme les autres.
Une jolie petite lettre, par exemple.

- Je n'ai rien à dire.
- Impossible!

Eh bien, rien de réel.
Tout au plus, juste dans mes rêves.

Vous pensez que ce n'est rien ?
Les rêves font partie de la réalité.

Ils sont la seule vraie réalité.

-Mais je vais tout de suite après...

Après, vous pouvez aller n'importe où.

J'ai rêvé de mon copain
m'emmener dans un magasin de chaussures,

mais si je vous en parle,
me laisserez-vous jouer dedans ?

Bien sûr, si vous le méritez...

C'était le plus merveilleux
magasin de chaussures que je n'avais jamais vu...

Il n'y avait pas de clients,

juste quelques femmes
mannequins, un assistant noir

et le propriétaire,
qui me tournait le dos.

Je voudrais des bottes mandarine.

J'ai été étonné de voir
que vous étiez le propriétaire.

Bienvenue, enfin.

Je t'attendais.

- Aller.
- Oui Maître.

Lucie ! Que fais-tu?

Vous ne voyez pas ?
Je suis avec Tinto Brass !

Le directeur!