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ILS SAVONT JUSTE
TUER

SOUS-TITRES AMATEUR
*pistolet*

Arrêt!

Penchez-vous à gauche !

Démonter!

Sergent, suivez-moi.

- Dix dollars?
- Oui.

Que puis-je faire pour vous, lieutenant ?

j'ai ordre d'escorter
la cargaison d'or.

Voici.

Je ne peux pas attendre, longtemps.
Les documents sont-ils corrects ou non ?

Oui c'est le cas. Mais l'or
ce n'est plus ici. Voir.

Nous n'avons que quelques dollars.

Rapidement! Suis-moi!

Faites vite ! Enlevez les combinaisons bromo.
Où sont mes vêtements

Qu'est-ce qu'on est, les bonnes ?

- Oů est l'or ?
- L'or; Ici!

- Est-ce tout?
- Le cochon, il nous a trompés.

- Saguaro va nous punir.
- Le traître paiera ! Allons-y!

Allez!

Arrêt! Nous serons séparés.
Six d'entre vous viendront avec moi.

Pourquoi se précipiter ?

Achevez-le, mais lentement.

Non je t'en prie. Qu'est-ce que j'ai fait;
Que voulez-vous de moi?

M. "Xerola", cette fois je vais
tu nous dis tout sur l'or.

- La banque, l'heure et le jour.
- Je ne sais rien!

- Tu préfères mourir ?
- Non, Pedro.

- Se lever! Nous vous apprendrons à parler.
- Rapidement!

Vous allez tout sécher, très bientôt.

- Jeff, tu as entendu ça ?
- Il a été entendu de là-bas.

Nous allons jeter un coup d'oeil.

Oh mon Dieu! Qui lui a fait ça ?

Résolvons-le.

Vite, va chercher de l'eau.

- Ça lui fera du bien.
- Pas si vite.

Merci, où
tu as perdu ton temps.

Qui vous a fait cela?

- Les Mexicains. Ils veulent l'or.
- Les Mexicains ?

- Qui d'autre? Ils savent tout.
- Qui leur a dit ?

Je ne m'attendais pas à des visiteurs ici.
Quelque chose de désagréable pourrait vous arriver.

Il me semble que ça pourrait
meurs, quelqu'un, vite ici.

Cet homme ne peut
maintenant, pour nous dire n'importe quoi.

Corriger. Ces hommes veulent
vivre. Juste comme toi.

- Qu'attendez-vous de nous?
- Oubliez ce que vous avez vu.

Je meurs, Jeff. Vite, viens avec moi
dans ma ville. Ne me laisse pas ici.

Prenez-moi de l'autre côté
des montagnes. Promets-moi.

Je promets. Je vais prendre.

Tu seras bien.
Tu vas y arriver! Se lever.

Monter sur le cheval.

Essayez-le.

Tu peux le faire. Agréable!

- Où est la maison de Lopez Hernandez ?
- Là.

Y a-t-il quelqu'un à la maison ?
Êtes-vous le père d'Hernandez ?

- Aidez-moi, il est blessé.
- Hernandez ! Oh mon Dieu!

Il est mort. Mon fils!
Mon fils unique !

Manolita, viens ici !
Mettons-le au lit.

Mon pauvre frère !

Je ne comprends pas. Il a disparu pendant des années
et nous avons attendu qu'il revienne.

Maintenant il est de retour, mort.

- Qui l'a fait;
- Des bandits mexicains.

Puissent-ils brûler en enfer.
Je le savais, il n'y a pas de sécurité ici.

- Et il n'y a pas de justice.
- Hernandez m'a sauvé la vie, une fois.

Je n'aurai pas de repos tant que je n'aurai pas pris ma revanche !

Celui qui est enterré aujourd'hui
vous vous réjouirez, près de notre Seigneur.

Je suis la résurrection et la vie.

Celui qui croit en Moi,
quoique mort, il vivra.

Et quiconque vit et croit en Moi
ne mourra jamais.

Où iras-tu;

Ils ont tiré sur mon fils unique.
Ma maison est ta maison, maintenant.

Ces gens étaient ma famille.
Mon père et ma mère.

Ils ont été assassinés.

- Veuillez rester avec nous.
- Non, j'ai un travail à faire.

D'abord, je dois les attraper
qui a tué ton fils

Seule la vengeance apporte la justice, dans
cette terre. Ils paieront de leur sang.

En triplé.

Va avec dieu.

Avez-vous vu le bromo-americano?

Je vais te faire parler. Attache-la.

Je ne sais rien!
S'il vous plait, laissez-moi partir!

Fouetter peut
ça rafraîchit la mémoire.

Je vais te déchirer, jusqu'à ce que
dites-nous où est l'Américain.

- Attendre. Allez à l'est.
- Vous avez de la chance. Je pourrais te tuer.

A vos chevaux !

L'Américain! Donnez-moi le fusil.

Il est blessé.
Le diable le prendra et le relèvera !

Arrêt!

Il est tombé à l'eau.

Il s'est noyé. Un Américain stupide de moins.

Père, Bronco, regarde !

- Il est mort!
- Non, il est toujours en vie.

On ne peut plus l'aider,
il est mourant. Laissez-le.

- Mettons-le dans la voiture.
- Comme d'habitude, tu sais mieux.

Vous ne savez pas grand-chose de la vie ici.
La vie citadine vous a bien appris.

D'accord.

Si ça m 'allait,
Je le donnerais ici.

Faites-le entrer.

Je l'ai attrapé.

Attention, Bronco.

Mettez-le là.

A en juger par ses vêtements,
il est membre de l'Armée du Sud.

- Ce sera de pire en pire.
- Nous ne devons pas le laisser faire.

Les femmes s'occuperont de lui.
Allez, nous avons beaucoup de travail à faire.

Apportez-moi de l'eau.

Et le whisky.

C'est beaucoup plus efficace
que tous ces médicaments coûteux.

Quelle horrible blessure.
Il a perdu beaucoup de sang.

J'ai vu pire.

Pourquoi vous souciez-vous tant ?
Vous ne le connaissez même pas.

Le sommeil lui fera du bien.

Voulez-vous un café chaud?

Comment puis-je te remercier
tout le monde, pour votre aide!

Laissez-le pour plus tard. Première,
tu vas monter et t'habiller.

Vous trouverez des vêtements dans la chambre
de mon mari béni.

Prenez ce que vous voulez.

La plupart des vêtements
Ils n'ont jamais été portés.

Mon mari n'a pas eu l'occasion.
Il est mort trop tôt.

Je suis reconnaissant.

Tu peux me suivre...
Quel est votre nom;

- Jeff. Jeff Smart.
- Ravi de vous rencontrer.

- Pourquoi un tel style ?
- Je ne fais pas confiance à l'étranger.

Bronco, on se fiche de ce que tu penses.
Allez, j'ai besoin de votre aide.

Vous avez l'air complètement différent.
Ou êtes-vous quelqu'un d'autre?

Tu as raison, je me sens bien à nouveau.
Merci à votre aide.

Je serais sûrement mort sans toi.
Puis-je vous remercier d'une manière ou d'une autre ?

- Peut-être avec un peu d'argent pour les dépenses ?
- Ne dis pas de bêtises.

Vous aviez besoin d'aide.
Nous avons fait ce qu'il fallait.

Vous l'avez entendu ? Il a de l'argent.

Je te l'ai dit. Ne fais jamais confiance à personne
étranger. Qui sait où il a trouvé l'argent.

- Bronco, c'est notre invité !
- Quitter la maison!

- Vous n'avez pas entendu ? À l'heure actuelle!
- Toi, tu vas le regretter.

Je vous présente mes excuses en son nom.
Nous avons besoin de lui.

Voulez-vous vraiment partir ? Pitié.
Je viens de m'habituer à toi.

J'ai mon propre chemin à suivre.
Une telle vie ne me convient pas.

- Ni l'un ni l'autre, je pense.
- Vérité.

Père m'a envoyé à la ville
étudier.

S'être marié. Mon mari était bourgeois.

Notre bonheur a duré un moment.
Il est mort et je me suis retourné.

J'aime être ici. J'ai grandi dans un ranch.

J'ai travaillé comme un mulet.

J'ai vu mon père et ma mère
travailler jusqu'à la mort.

Puis la guerre a éclaté, apportant
la faim, la misère et la destruction.

Ma maison a été détruite
et tout ce que j'aimais.

Tu ne serais plus heureux
avec une nouvelle famille ?

Écoutez Julia. Quelqu'un doit
pour payer la misère dont j'ai parlé.

Je ne me reposerai pas jusqu'à
pour venger la mort de mon ami.

- C'était Bronco. Il nous regarde.
- Je ne pense pas. Rentrons à la maison.

- Jef ! Laisse moi voir ça. Es-tu blessé?
- Ce n'est rien.

Juste quelques égratignures.
Mieux vaut vérifier comment c'est.

Donnez-moi le seau.

Maintenant va-t-en. Je ne veux jamais
te revoir chez moi !

Je pars. Mais je te préviens,
J'ai de la patience. Je vais te détruire.

Je vais te détruire!

D'accord. Fait.

- Vous avez un talent pour ça.
- J'étais juste content d'aider.

J'aime ce travail.
Autre que ça,

Je vous suis reconnaissant
et à ta fille.

Beaucoup de choses ont changé depuis que vous êtes ici.

Vérité. Un jour je vais
parlons-en sérieusement.

Pourquoi pas.

- Qu'est-ce que c'est? Le cavalier a disparu.
- Ça doit être un truc.

- Nous allons lui montrer.
- Préparez la dynamite.

Il est prêt.

Hé les gars, vous m'attendez ?

Les mains en l'air! Cela s'applique également à vous.

Sors d'ici. Rapidement! Bouger.

Lève-toi, là.

Tu voulais me faire exploser avec de la dynamite,
bâtards?

Alors, est-ce que Saguaro travaille avec vous ?

Allongez-vous sur le sol.

À bas !

Dites bonjour au diable de ma part.

- C'est dur de dire au revoir.
- Ne soyez pas triste. Je reviendrai.

J'y vais avant de commencer à pleurer.
Bonne chance!

- Merci.
- Je t'attendrai, Jeff.

- Ne t'en fais pas.
- Au revoir Jeff.

Prenez soin de vous.

- Reviens bientôt.
- Au revoir!

Bonjour.

Attendez-moi, je reviens sous peu.

- As-tu une chambre?
- Pour combien de temps;

- Ce n'est pas ton affaire.
- Nous sommes un hôtel distingué.

Avez-vous une chambre ou pas ?

Oui. Si tu peux
se le permettre.

- Mes compliments!
- C'est la propriétaire.

- Je peux payer à l'avance.
- Ce n'est pas nécessaire. Donnez-lui la chambre #5.

Je ne pense pas que la suite soit
convenable pour lui.

Tant qu'il est fiancé
avec du whisky, du poker et des femmes.

Clayton !

Celui qui était derrière tout ça,
dis-lui ce que je vais te dire.

Je tuerai tous les meurtriers
qui m'enverra chercher.

C'est ce que vous leur dites.

Et je veux ma part de
la mine d'or. Avez-vous compris;

Si vous pensez que vous pouvez
me tromper...

vous ne vivrez pas longtemps !

Il n'y a pas de retour en arrière, maintenant.
Vous êtes allé trop loin !

- Pourquoi es-tu en retard ?
- J'ai eu une visite inattendue.

Nous quitterons cet endroit ce soir.

Je suis contente. Plus tôt nous partons,
le meilleur.

Votre tour.

Une carte.

- J'en veux deux.
- Trois pour moi.

L'ambiance est très bonne,
mais attention à eux.

- Non, des cartes pour moi.
- Et toi ?

Non, plus d'argent ?
Il est temps d'arrêter alors.

- Des objections?
- Pas du tout.

- Je suis dehors.
- Et moi.

- Combien pour vos cartes ?
- Trente.

- S'ouvrir. Qui est à l'intérieur ;
- Je suis.

Je sors.

- Et moi.
- Pas de carte.

Montrez un peu d'enthousiasme.

Il y a beaucoup de filles et
des jeux pour s'amuser.

- Je parie 250.
- Je les vois.

Pas plus pour aujourd'hui.
Tu as eu énormément de chance, mec.

- Combien de cartes ?
- Deux.

Bonne chance, messieurs.

- Combien?
- Quatre.

- Clayton gagne toujours.
- Sa chance est inimaginable.

C'est ce que je pense aussi.

Jeune homme, voulez-vous prendre le poste ?

Pourquoi pas;

Que diriez-vous de tant? N'ayez pas peur.

S'ouvrir.

- Nous voilà. Combien?
- Une.

Un de plus.

- Quoi de neuf;
- Vous agissez comme si vous lui apparteniez.

Et dix chevaux ne me prendront pas
de la table de poker.

Mon tour. Encore 50.

- Tout compris.
- D'accord.

Voyons-les.

Tout ou rien.

- Tisonnier.
- J'ai des as.

Il y a un autre as de ce genre !

- Allez, dégainez votre arme !
- Non.

Pas ici, mec. Mieux pour tout le monde, dehors.

Ce ne serait pas bien, ici.
Le salon est tellement agréable.

- Le gagnant prend tout.
- Accepter.

Surveillez la table et attendez-moi.

Ne sois pas bête. Tu ne sais pas
avec qui avez-vous affaire ?

Sauf si vous êtes l'un des meilleurs
pistolet, vous n'aurez aucune chance.

Vérité;

Je suis prêt.

Faites 30 pas en arrière.

Quand cet homme laisse tomber la bouteille
au sol, on commence à tirer.

Pas avant. il s'agit d'un
un duel loyal. Convenu?

Pas de coups, avant que la bouteille ne se casse.

Maintenant, reculez de 30 pas.

Il les a secoués.

Sortez-le d'ici.

Sa vie ne valait plus rien,
qu'une misérable sphère.

Tu as raison. C'est toujours là
quelqu'un de plus rapide.

Pourrait
vous arrive aussi.

Whisky pour tous. Au salon.

Voyons combien tu vaux
sans le pistolet.

Daniel, montre-lui comment nous nous comportons
Les tueurs.

Arrêtez, tout de suite !
Bon sang d'excès.

Êtes-vous sourd? Arrêt.

Quelqu'un appelle le shérif !

Arrêtez, tout de suite !

Salauds !

Coupez-le ! Faire de la place.

Déplacer!

Je pensais que tu ne te montrerais jamais.
Où étiez-vous;

Je suis arrivé à l'heure. Je manquais
un jour et regardez ce qui s'est passé.

Arrêtez de prêcher.
Aidez le jeune homme.

D'après ce que j'ai entendu,
tu méritais ça.

Shérif, j'ai été attaqué.

C'était de la légitime défense.

- Il y en avait trop.
- Toujours les mêmes.

- L'autre a commencé le premier.
- Amenez le médecin.

Je vais le prendre, moi. il est ivre
emmenez-le dans l'arrière-salle.

J'ai besoin d'un double whisky.

Et maintenant, jeune homme ?
Où as-tu le plus mal ?

Ce n'est rien. Je suis sûr que
ça va passer, bientôt.

Je ne pense pas que notre ville
est le bon endroit pour vous.

Mon conseil est de
partir au plus vite...

possible, quand
tu te sens mieux.

Ça ne va pas...

aller n'importe où

Ne comptez pas sur votre chance.
Tôt ou tard, il vous quittera.

Vous pourriez même
et perdre la vie.

Peut-être un chasseur de primes pour toi
attend. Ce serait dommage.

- Nous voulons tous la paix ici, n'est-ce pas, docteur ?
- Exactement.

Bien sûr. Tout va bien
avec le monde, ici.

Tout le monde est juste.

Je pars. je viendrai voir
comment vas-tu plus tard

Non. Tu devrais rester
allongé, un moment.

Si tu as besoin de quoi que ce soit,
appelle moi juste

- Bonsoir, docteur.
- Bonsoir, shérif. Comment allez-vous;

Quel bordel. Nous avons eu quelques morts ici.

- Je suis sûr que ça ne se reproduira plus.
- Êtes-vous sûr;

Oui. Que pourrait-il arriver d'autre ?
Passez une bonne soirée.

Merci.

Passé.

Tu devrais t'allonger.
Pourquoi n'écoutes-tu pas ?

Que voulez-vous ?

Pour la première fois,
Je m'inquiète pour quelqu'un.

Peut-être parce que tu ne lui ressembles pas
avec les, ici, les hommes.

Si tu veux quelque chose,
cet endroit est le mien.

- Je cherche juste un travail spécifique.
- Quel genre de travail;

Peut-être que j'aimerais travailler
comme exécuteur testamentaire rémunéré.

Pourquoi n'allez-vous pas le dire au shérif ?
Cela pourrait être utile quelque part.

- Il est temps que la loi prévale ici.
- Bonne idée.

Je ne voulais pas dire ça.
Ils vous tueront instantanément.

J'ai peur pour toi.
Tu ferais mieux de partir.

Quitter; Impossible.
J'aime cette ville. Toi aussi.

Attendre.

C'est tout ce qu'il me reste
de ma famille. Elle est cassée.

Connaissez-vous quelqu'un qui peut
préparer? Écoute, ce n'est rien de grave.

Je vais arranger ça moi-même.

Alors quel est le point?

Écoutez shérif. Ils ne le feront jamais
tu peux le faire seul Tu as besoin de moi.

- Je ne comprends pas.
- Contre les Mexicains.

Je vous propose mon aide.
Faites de moi votre assistant.

Oublie. Je vais très bien,
sans votre aide.

- D'accord, je vais le faire seul.
- Tu n'as pas encore appris ta leçon ?

Ils ne jouent pas avec des bandits.

Si quelqu'un leur donne du fil à retordre,
ils l'attrapent...

et ils le poussèrent six pieds sous le
terrain. Comme mon assistant, Fred.

- Et l'étoile, ça ne veut rien dire ?
- Je suis très faible ces jours-ci.

j'ai fait un compromis,
sinon je serais mort.

- Avec qui;
- Avec celui qui se fait appeler Saguaro.

C'est un mystère, personne
l'a vu. Mais c'est partout.

Personne ne le connaît. Il a pouvoir sur
pour tous, c'est la même peur.

Moi, je n'ai pas peur.

Vous êtes autorisé à embaucher
aides. Je suis disponible.

Tu peux continuer comme ça.
Je m'occuperai de tout.

- Savez-vous avec qui vous jouez?
- Suffisant.

- Acceptez-vous ou non? - Oui, mais non
vous dites que je ne vous ai pas prévenu.

Je suis prêt à vous faire, assistant.
Lève ta main droite.

Vous avez pris l'engagement. Prendre
ton étoile et moi partions d'ici.

Agréable.

Fait. je vais d'abord interdire
le port d'armes en ville.

Êtes-vous fou! Impossible.

Le sourire! N'ayez pas peur. Poste
à partir de là, le reste sera facile.

D'accord. Fait.

- Il devrait sortir en copie papier, tout de suite.
- C'est ta perte.

Peut-être. Mais d'abord,
d'autres "brûleront leur fourrure".

- Je pense que vous êtes fou.
- Nous verrons cela.

La plus belle cow-girl
Que j'ai jamais vu.

Bonjour Jeff.

Je ne peux pas voir, cette étoile.
Veuillez l'enlever devant moi.

Pourquoi; J'ai pensé que ça te plairait.
C'était ton idée.

Comment saviez-vous que je venais ?

- On peut presque tout savoir.
- Ne dis pas ça.

Je ne suis pas si sûr
mais je sais qui tu cherches

Et pour quelle raison ? Autorise moi
Laisse-moi te donner un conseil.

arrête de jouer au shérif
sinon ils vous tueront comme un lièvre.

- Personne en ville ne t'aidera.
- Êtes-vous en train de dire qu'ils sont tous des lâches?

Je dis juste, prends soin de toi.
Bonne chance, petit héros.

Incroyable.

Descendez de vos chevaux !

Un faux pas et vous le regretterez.
Les mains en l'air!

Maintenant, directement.

Je suis désarmé, selon la nouvelle loi.
Mon patron a une proposition.

- Je t'entends.
- Laissez partir les prisonniers.

Dites à votre patron,
qu'ils resteront.

Le tribunal décidera
quand va-t-il les revoir

Maintenant, écoutez-moi.

Si les prisonniers ne sont pas libérés
bientôt, nous serons de retour pour eux.

Et ce ne sera pas agréable,
notre visite.

Vous savez à quoi vous attendre. Ou eux
prisonniers, ou nous brûlerons la ville.

Écoute-moi, ce n'est pas à toi
travailler. Est à moi.

Laissez-les en liberté.

- Oh vous.
-Jeff, s'il te plait. Ne vous mêlez pas de ça.

Je ne les ai pas encore perdus.

Non, Jeff, arrête, si tu veux vivre.
Pensez logiquement.

Écoute, Jeff. Fuyez avec moi.

- Pourquoi êtes-vous si intéressé?
- Je vous aime. Pourquoi faire ceci;

- Je veux savoir si tous sont des lâches.
- Tout le monde a peur des Mexicains.

Vous ne pouvez pas m'arrêter.
Rentrez chez vous, laissez-moi.

Entrer.

Courez ! Les Mexicains sont en ville.

C'est la faute du shérif.

Dépêchez-vous ! Dégagez la voie.

Courez ! Les Mexicains.

Tu ferais mieux d'aller à l'intérieur.
C'est dangereux ici.

Ah, j'ai eu peur ! Pourquoi font-ils cela?

- Donnez-moi une arme.
- Où est le misérable américain ?

Allons le chercher, il est parti.

Dommage pour rien.
Le garçon n'était pas très intelligent.

Mettez de belles fleurs
dans sa tombe.

C'est fini, les gens.
Je vais vous présenter mes excuses.

Tout n'était qu'un malentendu.
Boissons à tous, de ma part.

- Pas mal.
- Un verre, maintenant, c'est tout ce dont tu as besoin.

Dieu merci, ils ne t'ont pas fait de mal.

- Pour une petite femme, vous avez
coup de poing fort. - Eh bien, vous ne m'avez pas entendu.

Partez maintenant, avant qu'ils ne vous tuent.

- Me cherchent-ils ?
- Oui. Ils ne devraient pas vous trouver.

Je n'ai jamais fui le danger.
Je l'ai toujours affronté.

Fais le pour moi. Je ne veux pas te perdre.
Je ne veux pas que tu sois abattu.

Allons-y.

Le médaillon !
C'est mon seul.

- Il doit être à l'hôtel.
- Viens.

Tu ne sais pas à quel point ça compte pour moi.

- C'est suicidaire ! - Ne t'en fais pas.
Je peux prendre soin de moi.

Soyez prudent et
reviens vivant

- C'était la copine de Clayton.
- A qui est-ce maintenant ?

Toute ma vie j'ai imaginé
comment j'ai vécu dans une grande ville.

Pour que je puisse les oublier,
les cow-boys impolis.

Je suis sûr que ton rêve
ça va se réaliser, maintenant.

Une dernière surprise.
Cette fois, ça ira.

Tout a été préparé.
Je suis, un renard rusé, moi !!

Je ne peux plus rester ici.
Pourquoi arrêter maintenant?

Personne ne peut dire non à ça
butin. Demain soir nous serons partis.

Personne n'a rien à apprendre.
Vous partirez demain matin.

Vous connaissez le chemin. Je vais te voir
au col, près de la frontière.

Alors, Saguaro va-t-il nous quitter ?
C'est dur à croire.

- Vous connaissez le chemin du passage.
- Je connais toutes les rues d'ici.

- On se retrouve là-bas. Maintenant, laissez-nous tranquilles.
- D'accord.

Oubliez ce nom.

Maintenant, écoutez attentivement.

C'est la ville de Kendall.
Vous arriverez dans deux heures, pas plus tôt.

A la banque, quelqu'un
vous ouvrira la porte.

Laisse le partir. Vous trouverez l'argent-
boîte sur les premières étapes.

Nous nous retrouverons au croisement "Eagle".

- D'accord.
- N'emmenez pas beaucoup d'hommes avec vous.

- Seulement six, sans moi.
- Autre chose.

- Couvrez-vous le visage avant de le faire.
- Ne t'en fais pas.

Attendre. Cette fois, pas d'erreurs.
L'insouciance vous coûtera cher.

Vas y.

- De l'escalier serait plus facile.
- Je suis stupide.

Tu avais raison, je vais partir.
Je veux mon médaillon.

Je t'ai dit combien ça valait, pour moi.

C'est toujours ici. Je suis désolé,
J'ai oublié de l'emmener en réparation.

- Je suis désolé de ne pas t'avoir beaucoup aidé.
- Je m'en fiche.

- Votre intention me suffit.
- Prenez soin de vous. Les Mexicains vous veulent.

Je sais.

Je n'oublierai jamais ce baiser.

Tu es. Je t'attendais!

Puis-je te parler;
Je n'ai pas beaucoup de temps.

Attends j'arrive.

- Jeff, pourquoi fais-tu ce travail ?
- Ne t'inquiète pas, elle n'est pas si dangereuse.

- Ne mens pas. Restez avec moi!
- Julia, c'est quelque chose de très important.

- Dès que j'ai fini, je reviens.
- J'attendrai.

Suis-moi!

La dynamite !

Retourner.

À l'extérieur. Rapidement!

Ouvre la porte!

- Ce qui se produit;
- L'Américain, encore une fois, nous a trompés.

Où est;

Allons-y!

Sur les chevaux.

- Suis-le!
- Rapidement!

Arrêt.

- Il n'y a aucune trace.
- Nous avons peut-être suivi le mauvais chemin.

- Rien que du désert.
- Tu as raison.

Personne n'oserait,
cela signifierait la mort. Il nous a trompés.

Je dois avertir le patron.

Juste à temps, Pedro.

Où est l'argent?

L'Américain était au courant du plan.
Il a pris l'argent.

J'espère que vous l'avez traqué.

Nous l'avons poursuivi, mais nous avons perdu sa trace.
Ils roulaient dans le désert.

Je t'avais prévenu.

Kendal City n'a que
deux issues de secours.

Nous prendrons le chemin
le long de la frontière.

Mon cheval est épuisé.
Prenez-en bien soin.

- Bienvenue, senior.
- Merci.

S'asseoir.

- Avez-vous du whisky?
- Uniquement du vin rouge et de la viande grillée.

- Quand viendra la prochaine voiture?
- N'importe quand.

donne nous quelque chose à boire
nous avons soif

Vérifiez les roues.

Bienvenue à
La ferme de Juanito.

- Avez-vous aussi des chambres ?
- Nous avons tout, senior.

Comme votre maison. Il y a
une table pour toi, là.

Nous resterons ici pour la nuit. La femme
Je suis fatigué du voyage.

Veuillez décharger
mes bagages

Demain, nous continuerons le voyage.

- Apportez les bagages.
- Quel voyage!

Je suis content que nous restions la nuit.
Je suis tellement fatigué.

Une bouchée et un dîner
le sommeil fera des merveilles.

- Pouvons-nous manger quelque chose ?
- Comme tu veux.

Comment allez-vous;

- Exactement, d'après
calendrier. - Comment vas-tu, Jean ?

J'espère que ton retour n'est pas
te faire du mal comme le mien

Ma gorge est sèche.
Quelque chose à boire, s'il vous plaît.

- Quoi d'autre;
- J'ai juste soif.

Cela vous dérangerait?

- Quand repars-tu ?
- Nous ne sommes pas pressés.

Allez-vous à Newell City ?

Oui ma femme
notre enfant attend.

Elle accouchera, avec ou sans vous.
Ne vous inquiétez pas.

Ecoute le. L'année dernière, lorsque sa femme
attend son premier enfant...

il a couru vers elle, plus vite
et d'un mustang sauvage.

J'ai vraiment hâte aussi.
C'est pourquoi je veux partir, bientôt.

Bien sûr...

- ... Je vais vous payer pour votre aide.
- Je suis convaincu de ça.

Un bébé arrive, d'où
cela seul est si émouvant.

Nous voulions aussi acheter un terrain ici, mais
ils nous ont dit que c'était trop dangereux.

Oui, ils sont très éloignés.
Et si près de la frontière

À cause des voleurs.

A bientôt Juanito.

- Occupe-toi de mon cheval jusqu'à mon retour.
- Avec certitude..

- Les Mexicains !
- Garder son calme.

Rechercher le bâtiment
et amenez-les, tous, ici.

Tout le monde, dehors !

Il n'y a personne d'autre, patron.

Nous recherchons un criminel qui
venait d'ici. Où est-il;

Il est parti de là. Il était pressé
et pris la voiture.

Rapidement! Cela prendra du temps,
jusqu'à ce qu'ils entrent dans le passage.

Les Mexicains sont après nous !

Le bâtard! Pourquoi ne l'ai-je pas tué tout de suite.

Je sais où le trouver.
Vous garderez les frontières !

Passons au passage "Trois Croix". Rapidement!

- Que voulez-vous ici;
- J'attends quelqu'un.

Dommage que ce ne soit pas moi.

- Un rendez-vous d'une telle beauté...
- Charmant, comme toujours.

Cette fois, vous vous êtes trompé.
Vous paierez pour tout.

Kate, dégage !

Aidez-moi, s'il vous plaît.

Bon sang.

Vous n'avez plus de balles !

Les vautours peuvent vous manger, maintenant.
Sortez, lâche !

Tu as toujours voulu l'argent.
Maintenant, vous les avez.

SOUS-TITRES AMATEUR
*pistolet*