All language subtitles for The Blacklist - 08x05 - Fribourg Confidence.ION10.French.updated.Addic7ed.com

Oh. Pas encore.

Oui ?

Ici Zimmer Sécurité.

Nous avons une alerte.

Oui, tout va bien.

Euh, les ratons laveurs donnent
un pourboire à la boite de conserve.

Ils ont déclenché l'alarme.
Il n'est pas nécessaire de...

J'ai des officiers en route.

Ils devraient arriver dans un instant.

Eh bien, écoutez, c'est comme si
la troisième fois ce mois-ci.

Dites juste aux officiers qu'ils...

Monsieur, nous avons des
officiers sur place maintenant.

Y a-t-il quelqu'un à la maison ?

Police. Répondez à la porte.

J'ai essayé de vous dire...

Interrompre un homme
pendant son sommeil,

découvrir comment un homme dort.

Je vais rendre ça facile, Carl.

Déclenchez l'alarme, votre femme meurt.

Regardez nos visages, votre femme meurt.

La clé de la boite C112. Remettez-la.

- Vous savez à qui cela appartient ?
- Restez couché.

Elizabeth Keen dit bonjour.

Une fois que votre femme aura appelé,
vous serez libre de partir.

Carl ? Ils sont partis. Est-ce que tu...

Chérie ?

Hé. C'est moi.

Appelez Reddington.

Dites-lui que nous avons un problème.

Traduction BY LittleP.

Carl, je t'ai confié mes affaires

parce que je croyais
que vous pouviez les garder en sécurité.

Il est clair que j'ai
surestimé vos capacités.

Oui. Mais avec tout le
respect que je vous dois...

"Avec tout le respect
que je vous dois" ?

Quel petit qualificatif absurde.

Pourquoi les gens insistent
sur l'affirmation de leur déférence

juste avant de le sous-coter

avec une provocation
légèrement irrespectueuse ?

Celui qui vous a volé
savait où chercher,

et ils ne l'ont pas appris de moi.

Alors...

avec tout le respect que je vous dois,
s'il y a eu une défaillance de la sécurité,

ce n'était pas de mon côté.

Merci, Carl.

Maintenant,
avec tout le respect que je vous dois,

votre eau de Cologne commence
à me faire pleurer mes yeux.

C'était Marvin.

Il ferme l'autre
de dépôt au moment où nous parlons.

Ton intuition était juste.

Elizabeth était derrière le cambriolage.

Ce qui veut dire que ça devait être
Hadley qui l'a renseignée sur la boite.

Carlos se cache à Turin.

Yanka soigne une blessure par balle
à Bariloche.

Vous pensez qu'elle a
engagé La Confiance ?

Oui, en fait. Je crois que oui.

Harold.

Il semble que l'on puisse
ajouter le vol de banque

Au CV criminel d'Elizabeth.

Que s'est-il passé ?
Avez-vous parlé avec elle ?

Savez-vous où elle se trouve ?

Je ne sais pas, mais je sais
quelques uns des criminels

avec qui elle a été mêlée.

Ils s'appellent
La Confiance de Fribourg.

Au cours des trois dernières années, ils
ont volé plus de 25 millions de dollars

d'au moins six banques américaines.

Six vols ?
Pourquoi n'en ai-je pas entendu parler ?

Les vols n'ont jamais été signalés.

La confiance vise les comptes
détenus par des criminels

qui ont des arrangements

avec un peu de manque de scrupules
des directeurs de banque.

Je ne me suis jamais inquiété

avec les Fribourgeois
ou Fribourgers ou...

Je ne sais pas. Ils ne
m'ont jamais embêtés

donc je ne les embête pas.

Jusqu'à présent.

La nuit dernière, ils ont volé quelque
chose de très important pour moi.

Je veux le récupérer.

Vous voulez dire
qu'Elizabeth vous a volé,

et tu ne vas pas me dire quoi.

Ce qu'elle a volé me concerne,

mais retrouver Elizabeth
nous concerne tous les deux.

Cette affaire peut
nous aider à le faire.

4 millions de dollars volés
d'une banque de Los Angeles.

Un Monet tiré d'un coffre-fort à Oslo.

Des millions de faux timbres
fiscaux sur les cigarettes

disparaissent d'une
chambre forte à Kobe.

Selon Reddington, la la même
équipe de braqueurs qui l'a dévalisé

ont ciblé les banques
de Seattle à Ankara,

et aucun des vols ont été signalés

parce que les cibles
étaient des criminels.

Et Reddington est sûr que c'était
L'agent Keen qui les a engagés ?

Il ne voulait pas dire ce que
l'agent Keen était après ou pourquoi,

mais peu importe ce que c'était, il
croit que la découverte de cette équipe

est notre meilleure
chance de la retrouver.

Et que se passera-t-il
lorsque nous la retrouverons ?

On l'amène et c'est tout, vous savez,

prétendre que rien de tout
cela n'est jamais arrivé ?

Quelque chose me dit que ce n'est pas
ce que l'agent Keen a à l'esprit.

Que proposez-vous exactement ?

Je ne sais pas. Cela semble un peu fou
pour moi que, euh,

on l'appelle toujours l'agent Keen.

Agent Ressler, agent Park,
voyez si vous pouvez trouver des pistes

sur cette équipe de voleurs
du directeur de la banque.

Nous sauverons les
délibérations éthiques

jusqu'à ce qu'on ait trouvé Elizabeth.

C'est de la folie. S'il y avait
une brèche, nous appellerions la police.

Mais il n'y a pas eu d'infraction.

Et le problème de sécurité ?

Un bref problème de système.

Ce qui m'a été notifié, ce qui c'est
pourquoi je suis venu personnellement

pour vérifier les choses
et réinitialiser le système.

Je dois voir ce qu'il y
a dans la boite C112.

- Excusez-moi ?
- Boite C112.

J'ai besoin que vous l'ouvriez.

Bien sûr. Euh, Liam,
pendant que je leur montre la boite,

Pourriez-vous vous rendre
dans la salle des serveurs

et voir si vous pouvez
mettre les flux de la nuit dernière

sur une route pour les agents ?

Nous savons que la boite appartient
à Raymond Reddington.

En fait, il est enregistré
à un certain M. Lloyd Wilke...

C'est ainsi que nous
savons qu'il a été touché.

Nous avions des gens assis dessus,
en attendant qu'il se montre.

M. Wilke.

Jouez-la bien,
nous vous accusons de conspiration

et vous obtenez une décennie,
peut-être plus.

Laissez tomber la merde de M. Wilke,

et vous pourriez être chez vous
à temps pour le dîner.

L'un d'eux, le chef,
je pense qu'elle a tiré la serrure.

L'autre a effacé le système de sécurité.

Tout était fini dans 5, 10 minutes.

Je n'ai pas vu leurs visages.

- Le chef était donc une femme ?
- Oui.

Elle est allée droit vers la boite.

Il y a des centaines de boites ici.

- Si elle savait où aller...
- Elle était déjà venue ici.

Cynthia, à quoi dois-je ce plaisir ?

Arrêtez les plaisanteries, Harold.

Je suis plus sexy
qu'un parking de Laredo.

Alban Veseli a déposé une requête pour
retirer son plaidoyer de culpabilité.

Je ne connais pas ce nom.
Bien sûr que vous le connaissez.

C'est un tueur à gage et
le premier criminel

que vous et ce groupe de
travail avez mis en prison.

Vous parlez de The Freelancer.

A caché ses meurtres
dans les gros titres

d'accidents et de
catastrophes ordinaires.

Si vous êtes ici, il doit être en train
de faire un argument qui vous concerne.

Son argument n'a pas changé.

Notre affaire était fondée sur les
informations qui nous ont été données

par un informateur confidentiel.

Veseli dit que le juge de première
instance a commis une erreur

en ne nous obligeant pas à divulguer
l'identité de l'informateur.

Nous avons donc violé son 6e amendement

droit de confronter son accusateur.

Cela semble assez standard.

Pas cette fois-ci.

Il a engagé Scooter Rovenpor
pour traiter l'appel.

Rovenpor pourrait obtenir
le diable en appel.

Old Scoot a certainement
l'attention du juge.

Nous l'avons combattu, mais il a ordonné
les deux parties à comparaître

pour les plaidoiries
sur la motion de retrait.

Qui êtes-vous ?

L'agent Keen a fait prêter serment
aux déclarations sous serment

sur la base des
connaissances de l'informateur,

Il veut donc entendre Keen directement.

Je crains que cela ne soit difficile.

L'agent Keen est sur le terrain.

Alors, ramenez-la.

Elle est attendue dans le bureau du juge
Velchek à la première heure demain au tribunal.

Nous devons neutraliser cela, Harold.

Si les preuves que nous avons
obtenues de Reddington est exclu,

notre affaire va être plus bancale
que la cafétéria Jell-O.

Mille dollars de l'heure ?

Une redevance à laquelle
j'ai accepté de renoncer.

Pourquoi ?

Je ne dis pas que j'apprécie pas,
mais pourquoi moi ?

Je ne pense pas que vous
ayez eu un procès équitable.

Vous croyez que je suis innocent.

Non.

Mais je crois que même les meurtriers
de masse méritent une justice égale.

Vous pensez que si je l'ai,
je serais libre ?

Peut-être.

Mais tout va dépendre
sur l'agent Elizabeth Keen.

Y a-t-il quelque chose de plus ennuyeux
que l'observation des oiseaux ?

Six heures pour peut-être entrevoir
la facture d'un toucan

que vous pouvez voir sur
une boite de Froot Loops.

L'observation des oiseaux, c'est plus
que des oiseaux, Cvetko.

C'est se voir en connexion

avec le monde dans lequel nous vivons.

Je vis dans un laboratoire.

Les seuls oiseaux avec lesquels
je suis en contact sont morts.

Votre monde est unique et inanimé.

C'est pourquoi je
vous ai fait venir ici.

J'ai besoin de savoir qui a écrit cela.

Ce n'est pas Elizabeth Keen ?

Quelqu'un à son service.

Qui peut avoir laissé
une empreinte digitale,

un indice qui pourrait vous mener
à son identité.

Dans le monde dans lequel je vis,
rien n'est plus important.

Je vais voir ce que je peux faire.

Sous l'arbre vert,
qui aime se coucher avec moi,

et tourner sa joyeuse note
à la gorge de l'oiseau doux.

Belle rime.

C'est ce que pensait Shakespeare.

D'accord.

Vous avez dit que le voleur
avait surveillé la banque,

J'ai donc dressé une liste de personnes
avec des coffres-forts.

J'ai pensé que je
pourrais rattraper Park

sur l'œuvre de The Freelancer.

Des bâtiments effondrés,
des ferries renversés,

tout cela pour tuer une seule personne ?

Oui, c'était un vrai petit poisson,

qui pourra s'en sortir sauf si
Liz se montre au tribunal.

Nous devons la trouver.

La seule façon d'y parvenir est
de retrouver le voleur de cette liste.

Eh bien,
nous ferions mieux d'espérer que Cooper

peut faire patienter le juge
jusqu'à ce que nous le fassions.

Pour être clair, M. Rovenpor,

votre client a plaidé coupable
à un chef d'accusation de meurtre,

à savoir le meurtre d'une femme
nommée Floriana Campo.

Un trafiquant d'êtres humains notoire,
Votre Honneur.

à l'époque, l'avocat de M. Veseli

a proposé que le gouvernement
être ordonné de divulguer

l'identité de l'informateur confidentiel

qui a fourni la plupart des informations

qui a conduit à son arrestation.

- Une motion que j'ai rejetée.
- Oui, Votre Honneur,

et à la lumière de votre décision,
et seulement à cause de cela,

mon client a estimé qu'il était en son
meilleur intérêt à introduire un plaidoyer.

De nombreuses affaires sont
fondées sur des informations fournies

par des sources confidentielles,
Votre Honneur.

Vous avez pesé les variables à l'époque

et a rendu une décision
parfaitement raisonnable.

- Je suis d'accord.
- Vous êtes d'accord ?

Il était raisonnable
sur la base des informations...

que vous avez mis à
disposition à l'époque,

mais depuis lors, de nouvelles
l'information a été mise en lumière.

Pour commencer, nous savons maintenant
que l'agent Elizabeth Keen

a fait un certain nombre
d'affaires très médiatisées

basé sur des informations
de sources confidentielles.

Un chiffre choquant.

Plus, en fait, que tout autre autre
agent chargé des affaires majeures.

Il faudrait revoir ces chiffres.

La grande majorité,
si ce n'est la totalité, de ces cas

étaient basées sur des informations
fourni par la même personne.

Vous pensez que cela repose sur quoi ?

J'ai lu les papiers de l'accusé.

Tous ces cas... Mme Navarro,
pouvez-vous m'assurer

il y avait des sources multiples ?

Nous ne sommes pas en mesure
de répondre à cette question.

Parce que si elle l'a fait,

on se demanderait s'il y avait
tout informateur,

puisqu'une personne ne peut pas avoir

une si grande variété
de la connaissance criminelle.

Peut-être que l'agent Keen a fabriqué
sa citation/non-citation "source

comme moyen d'obtenir des défendeurs
pour plaider coupable.

Il n'y a eu aucune fabrication,
Votre Honneur,

et il n'y a aucune preuve
pour montrer qu'il y en a eu.

Pas encore,
mais c'est pour cela que vous êtes ici,

parce que je ne suis pas préparé
de vous croire sur parole.

Je veux entendre l'agent Keen.

Votre Honneur, je suis

Directeur adjoint Harold Cooper du FBI.

Je suis le superviseur
immédiat de l'agent Keen.

Malheureusement, elle est en mission

et ne peut être ici aujourd'hui.

Sa mission consistait à se présenter
dans mon tribunal.

Je crains que cela ne soit pas possible.

Comme c'est pratique.
Votre Honneur, c'est intentionnel.

Jusqu'à quand ? Combien de temps avant
elle peut répondre à mes questions,

en personne et sous serment ?

Honnêtement, je ne sais pas,
Votre Honneur.

Eh bien, ça ne va pas suffire,
M. Cooper.

Faites venir Keen ici
avant 16 heures aujourd'hui.

Je ne peux pas le garantir,
Votre Honneur.

Je peux le garantir...
Si elle n'est pas là ,

Je vais accueillir la
requête du défendeur

et M. Veseli
pourrait très bien être libérée.

Il est ici.

Red, tu devrais le savoir,
Keen m'a contacté la semaine dernière.

Elle a dit que vous étiez mourant.

Qu'elle est l'héritière présumée
et je devrais me joindre à elle.

Avez-vous trouvé quelque chose ?

Pas d'empreintes ni d'ADN.

Mais vous avez dit que la note
a été laissée par un braqueur de banque,

j'ai donc vérifié dans
une base de donnée

d'informations sur les vols...
Notes, documents...

Et j'ai trouvé une correspondance
d'écriture avec un vol précédent.

Merci, Cvetko, pour votre travail
et votre loyauté.

Le cambriolage du clocher en 1994 ?

Vous connaissez ?

Oui et l'homme qui l'a fait.

Trois pilules, un demi-verre d'eau.

Rien d'autre jusqu'à ce que je revienne.

Elle est plutôt sans charme.

Nous savons tous les deux
que vous n'êtes pas venu ici

pour un saut dans le passé.

Il y a deux nuits, j'ai été cambriolé.

Le voleur a laissé une note.

L'écriture correspond à une note
vous avez donné à une caissière

pendant le chantier du Bell Tower.

Vous pensez que je vous ai volé ?

Je fais deux pas,
Je dois me reposer pendant une heure.

Je ne peux même pas voler mon
portefeuille de ma propre poche.

Désolé.

- Quelque chose ?
- Nous avons passé en revue les noms

de tous ceux qui
disposent d'un coffre-fort.

Il y a deux semaines,

Terese Krissoff en a ouvert un.

Seulement la vraie Mme Krissoff
est morte il y a trois mois.

L'imposteur a ouvert un compte

avec un faux numéro de sécurité sociale

pour qu'elle puisse faire des
recherches sur la chambre.

Les voleurs ont évité la surveillance

quand ils ont pénétré dans votre boite.

Mais nous avons tiré
une photo de Krissoff

d'il y a une semaine
quand elle préparait le travail.

Nous venons de vous
envoyer une copie de l'image.

On ne peut pas faire
une identification positive.

Le pouvez-vous ?

Non, mais je connais peut-être
quelqu'un qui peut le faire.

J'ai déjà été retenu en captivité
par le Sentier Lumineux.

Trois mois de travail acharné
la chaleur et l'humidité

dans la jungle péruvienne,

mélangé à l'occasion
ronde d'électrochocs.

Dans l'ensemble, il s'agissait d'une
expérience désagréable

mais pour mon compagnon de cellule,

un délicieux moine,
bookish travailleur humanitaire polonais

qui était aussi,
de manière inexplicable,

une sorte d'expert en écriture.

Tout en repoussant le quotidien
l'attaque des coléoptères rhinocéros,

il s'exprimerait sur les
raisons de l'écriture d'un enfant

est souvent presque identique
à celle d'au moins un,

si ce n'est un peu des deux, de son
ou l'écriture de ses parents.

Apparemment, la similitude
n'est pas du tout génétique,

juste une imitation subconsciente.

Je ne savais pas que
vous aviez une fille.

Je l'ai fait une fois.
Mais plus maintenant.

Je vous dois des excuses.

Ce n'est pas votre écriture sur la note.

C'est la sienne.

Vous ne m'avez pas volé. Elle l'a fait.

Non, c'est impossible.

J'ai besoin que vous me disiez
où elle se trouve.

Où est-elle ?

Jennifer et moi sommes des étrangers.

Maintenant, j'ai ces photos de sa mère.

Elle et moi avons convenu que Jen
devrait vivre avec elle

pour qu'elle puisse avoir une vie,
une bonne vie.

Une vie honnête.

Où est elle Abe ?

Je ne vais pas vous le redemander.

Je ne peux pas vous le
dire parce que je ne sais pas.

Mais si vous avez raison,
que mon bébé est une voleuse, allez-y.

Vous pouvez aussi
bien me tuer maintenant,

parce que je n'ai
pas de raison de vivre.

La photo qu'Aram vous a envoyée...

Avez-vous pu identifier
la femme qui s'y trouvait ?

Oui, le plomb a porté ses fruits.

Vous savez donc qui vous a volé,
qui Elizabeth a engagé pour vous voler.

Je le fais. Nous la
recherchons en ce moment.

Nous devons regarder ensemble.

Après toutes ces années, Harold,

Je pensais que vous sauriez
Je ne fais pas de demi-mesure.

Si nous ne trouvons pas Elizabeth
à 16 heures aujourd'hui,

l'affaire que nous avons introduite
contre Alban Veseli va s'effondrer.

- Alban. The Freelancer.
- Oui.

Et il a un nouvel avocat

qui prétend que nous
avons violé ses droits civils

en ne divulguant pas
que vous étiez notre source.

Si Elizabeth n'apparaît pas
au tribunal pour défendre l'affaire,

le juge peut le laisser partir.

Alors, on fait la moitié ou quoi ?

La femme que nous recherchons...

Elle s'appelle Jennifer Anne Moores.

Selon Reddington, elle est
la fille d'Abraham Moores.

Reddington prétend que Moores
est un voleur de banque à la retraite.

Tel père, telle fille.

Moores a été arrêté en 1998,
a fait neuf ans et a pris sa retraite.

Ou peut-être transmis le
business familiale à sa fille.

Reddington ne le pense pas.

Il dit la dernière chose
que le père voulait

était que sa fille suive ses traces.

Il lui a dit cela. Ils se sont
éloignés l'un de l'autre.

Reddington ne pense pas qu'il
sait où se trouve sa fille.

La base de données des véhicules indique
637 Jennifer Anne Moores.

Mais une fois que j'aurai vérifié que

que la photo
que nous avons obtenu de la banque...

Nous avons son adresse.

Et son métier...
Eh bien, la prétendue occupation

puisque je doute qu'elle énumère
"voleur de banque"

sur sa demande de prêt hypothécaire.

Je veux des équipes
chez elle et au travail.

Devrions-nous la faire venir ?

Non, je veux qu'elle soit suivie.

Avec un peu de chance, à Elizabeth Keen.

- Aram, qu'est-ce qui se passe avec votre audio ?
- Je ne sais pas.

J'ai de méchantes
interférences de fréquence.

Attendez.

C'est le deuxième appel
qu'elle a eu en cinq minutes.

Que fait-elle ?

Tout cela est en quelque sorte une
épée à double tranchant, n'est-ce pas ?

Tout quoi ?

Cette affaire avec Keen.

Et le Freelancer.
Lui en train de sortir.

Le type a fait dérailler un train,
a tué 60 innocents

dans une tentative de
dissimuler un meurtre.

- Il ne s'en sortira pas.
- Il le fera si Keen ne se montre pas.

Il pourrait s'en sortir.

D'autre part, si elle se montre,

le tueur reste en prison,
mais nous sommes obligés d'arrêter Keen.

Épée à double tranchant.

Eh bien, à ce stade, tout ce que nous
avons, ce sont de mauvaises options,

donc l'arrêter peut être le meilleur
mauvais moyen que nous ayons.

Vous n'avez pas encore pu le faire.

Oui, mais avec la façon
dont les choses se passent,

qui pourrait être le seul moyen
pour assurer sa sécurité.

Qui est là ?

Vous pensez qu'il fait
partie de son équipe ?

Aram, où est le son ?

De vilaines interférences
de fréquence. Attendez.

Oups. Attendez.

Nous avons quelqu'un d'autre maintenant.
Une femme au sud.

Aram, nous avons besoin de cet audio.

D'accord. Juste, hum... D'accord.

Donnez-moi 20 secondes,
et je vais vous faire entendre.

Que diable fait-il ?

Nous ne sommes pas
censés nous rencontrer

jusqu'à ce que je
livre le disque au client.

Nous avons un problème.

Reddington s'est présenté
à l'appartement de votre père.

Raymond Reddington ?
Vous êtes sûr que c'était lui ?

Je savais que c'était une
erreur. Laissez-moi réfléchir.

Qu'est-ce qui se passe, Jen ?

Oh, excusez-moi. Euh, désolé.

Euh, est-ce que vous avez vu par hasard,
euh, une femme passer par là ,

environ, euh, 1m70, euh, sombre...
Euh, cheveux noirs bouclés,

euh, super intelligent et drôle, donc
vraiment... elle est vraiment drôle.

Nous n'avons vu personne. Désolé.

Merci quand même. C'est juste que,
euh...

Je ne me souviens pas si j'étais
censée la rencontrer à 13h

et je suis super en avance

ou à midi et je lui ai
totalement posé un lapin.

Vous pourriez lui envoyer un SMS ?

Je peux lui envoyer un SMS. Je peux lui
envoyer un texto. Je vais lui envoyer un texto.

Oh ! Je suis désolé !

Quel idiot. Désolé.

Oh, mon Dieu.

- En renversant tout le sucre.
- C'est bien.

D'accord. Merci.

Qu'a dit exactement Reddington ?

Il a posé des questions sur vous
à votre père. A propos du travail.

S'il nous trouve, vous savez
il va nous tuer, n'est-ce pas ?

Que voulez-vous faire ?

Appelez Reddington et
dites que vous êtes désolé,

que vous le rendrez ?

Ce qui est fait est fait.

Nous devons nous
séparer. Faire profil bas.

Oui, mais pas avant
nous livrons le disque à Givins

et d'avoir été payé.

- Givins.
- Vous connaissez ce nom ?

Carolyn Givins.
C'est l'un des pseudonymes de Keen.

Carolyn. C'est moi.

Je dois avancer la rencontre.

Moulin Peirce dans
le parc de Rock Creek,

15h.

Tout s'est arrangé.

Cooper.

Jennifer Moores va faire
la chute de Keen aujourd'hui.

- Avez-vous le lieu ?
- Le parc de Rock Creek.

Nous mettons en place
des unités maintenant.

Au moment où elle est en garde à vue,
Amenez la ici.

Et, agent Ressler, continuons
de garder ça en interne.

Nous pouvons informer Reddington dès que
Keen est en sécurité et sous notre garde.

Il y a du mouvement.

Unité 1, attendez un peu.

Avez-vous vu cela ?

Toutes les équipes, au rapport.

Unité 1, terminé.

Unité 2, au sud de la position.

Votre goutte est soufflée.

Quoi ? Non.

Si les gens de Reddington savaient,
Je serais déjà mort.

Ce n'est pas Reddington.

C'est le FBI.

Avec qui parle-t-elle ?

Ça doit être elle.

Vérifiez votre compte.

D'accord. J'ai les fonds.

Où êtes-vous ? J'ai votre disque dur.

Ralentissez. Écoutez-moi.

Si vous voulez une chance
de rester hors de prison,

j'ai besoin que vous fassiez
exactement ce que je dis.

Parc. 7h00.

La femme à la veste rouge.

Compris. Unité 1, vous la voyez ?

A toutes les unités,
on y va, maintenant.

Jennifer Moores. FBI.

Vous êtes en état d'arrestation.

FBI ! Les mains en l'air ! Les mains !

Que se passe-t-il ?
Qu'est-ce que j'ai fait ?

- Ne bougez pas.
- Ne bougez pas.

Ne bougez pas.

Mettez vos mains derrière le dos.

Avez-vous quelque
chose dans vos poches ?

Park, qu'est-ce que tu as ?

Rien. Le paquet est vide.

Vide ? Vous êtes sûr ?

La tasse de café.

Où est la tasse ?

Je vous connais.
Comment vous fonctionnez.

Elle sera là .

La façon dont vous gérez Reddington

tout en le laissant
penser qu'il vous manipule.

Le couteau de velours que vous utilisez
pour obtenir de vos agents

pour faire ce dont vous avez besoin
d'une manière qui les fait se sentir

comme s'ils pouvaient
faire ce qu'ils veulent.

Harold, vous êtes un miracle.

Personne n'aurait pu
faire ce que vous avez fait

ces sept dernières années.

Et pourtant, vous êtes là , qui
s'enflamme comme une bouilloire à thé,

et je veux savoir pourquoi.

Que se passe-t-il avec l'agent Keen ?

Je ne peux pas vous le dire.

Et je ne peux pas vous
protéger si vous ne le faites pas.

Et croyez-moi quand je vous le dis,

si les criminels que vous avez arrêtés
commencent à être libérés,

vous aurez besoin de plus de protection

qu'une paire d'adolescents
à l'arrière de la voiture de papa.

Permettez-moi de
mettre les choses au clair.

J'ai ordonné à l'agent Keen de
se présenter. Elle ne l'a pas fait.

Je lui ai donné une seconde chance
pour se conformer. Elle ne l'a pas fait.

Votre Honneur, pouvons-nous approcher ?

- Qui êtes vous ?
- Cynthia Panabaker, Votre Honneur.

Conseiller de la Maison Blanche.

Si nous pouvions parler
à Votre Honneur ex parte,

faire une offre pour
vos oreilles seulement,

Peut-être que nous pouvons
faire avancer les choses.

Absolument pas. Votre Honneur...

C'est la seule façon que
cela arrive, Votre Honneur.

Vous êtes dans le noir.

Vous voulez libérer
un meurtrier de masse

parce que vous n'avez
pas d'informations ?

Faites-le. Voyez comment
cela fonctionne pour vous.

Ou accéder à notre demande
et entrer dans la lumière.

Je vais faire évacuer la salle
d'audience et écouter l'offre.

Détendez-vous, M. Rovenpor.

Une fois que j'aurai entendu la vérité,
Je vais prendre une décision

sur quoi, le cas échéant,
reste privilégié.

Huissier de justice,
veuillez évacuer le tribunal.

Tous se lèvent.
L'audience est suspendue.

Il vaudrait mieux que ce soit bon.

Raymond Reddington

est l'informateur
confidentiel de l'agent Keen.

C'est exact. Le
Président est au courant.

Il en va de même pour une toute
petite poignée d'agents fédéraux.

Et maintenant la liste vous inclut.

Vous me dites
le gouvernement des États-Unis

est volontiers en affaires
avec Raymond Reddington ?

Vous n'êtes pas la première personne
pour exprimer... une certaine inquiétude.

Oh,
je ne suis pas inquiet. Je suis offensé.

On ne trouve pas beaucoup de cygnes
nager dans les égouts.

Reddington est la source
derrière toutes ces affaires,

celui qui nourrit l'agent Keen avec un régime
alimentaire régulier de grands criminels

depuis plus de sept ans ?

Vous pouvez comprendre
qu'on doit le garder secret.

Nous ne voulions pas que vous pensiez
nous refusions simplement

de nous conformer à la cour...

Vous ne pensez pas que
vous aviez une obligation

d'informer ces défendeurs

que la source de l'information
utilisés contre eux

était peut-être le plus prolifique
cerveau criminel

dans l'histoire du monde moderne ?

Exprimez votre dégoût
autant que vous le souhaitez,

mais trois présidents sont venus
à une conclusion différente.

Nous ne sommes pas revenus ici
pour votre jugement moral.

Alors voici mon jugement juridique.

Je trouve tout ce que le FBI a appris
de Reddington

à l'égard de ce défendeur

de ne pas être fiable
sur le plan juridique.

Toutes les preuves
qui proviennent de lui

ou était le fruit
de la relation avec lui

aurait dû être déclarée irrecevable.

- Votre Honneur, s'il vous plaît.
- En l'absence de cette preuve,

le gouvernement
avoir des preuves suffisantes

pour faire valoir ses
arguments contre M. Veseli ?

Il nous faudrait du temps avant
répondre à cela, votre Honneur.

C'est dommage,
parce que le temps est écoulé.

Je fais droit à la requête du défendeur

de retirer son plaidoyer de culpabilité,

et je suis obligé de d'abandonner
les accusations portées contre lui.

- Ne faites pas cela.
- Je ne le fais pas.

C'est vous.

Il va avoir une bonne surprise.

Il faudra quelques heures pour
la prison pour le faire sortir.

Je ferai ce que je peux
pour ralentir le rythme.

- A quoi cela va-t-il servir ?
- Je vais y jeter un autre coup d'œil.

C'est un coup dur,
mais peut-être qu'il y en a assez

pour le retenir sur
une autre accusation.

En attendant, trouvez Keen.

Nous avons Jennifer
Moores en garde à vue.

Maintenant,
je ne sais pas qui est Mlle Moores

ou comment elle peut vous mener à Keen,

mais si vous ne l'amenez pas
bientôt, vous serez seul.

Si ça doit exploser,

Je ne serai pas celui
en sautant sur n'importe quelle grenade.

Eh bien, je ne dirais pas
c'était une perte totale.

Vous avez eu Elizabeth ?

Eh bien, non. Euh, pas exactement.

Votre objectif était-il
d'obtenir Elizabeth ?

D'accord, c'était une perte totale.

Mais il y a un côté positif,
nous avons ses associés.

Je vous ai envoyé leurs photos
pour voir si vous pouvez les identifier.

Alors maintenant, vous voulez mon aide.

Harold a une définition unique de

moitié.

Des demi ? J'adore les demi-portions.

Surtout pour la nourriture.

Dites-lui que je ne reconnais pas
les personnes figurant sur les photos

et que la prochaine fois
il dispose d'informations exploitables,

J'attends de lui qu'il
la partage avec moi

avant qu'il ne soit gaspillé, pas après.

Tu m'as menti, Abe.

Raymond, je t'ai dit ce que je savais.

Vraiment ?

Alors pourquoi ne m'avez-vous pas dit
sur votre infirmière ?

Essayons encore une fois.

Parlez-moi de votre fille.

Pas de pression, mais obtenir de Moores
une piste sur Keen

est tout ce qui se trouve entre
Veseli et sa libération.

Je croyais que le juge
avait ordonné sa libération.

Elle l'a fait, mais Panabaker
pense qu'elle peut le garder

avant sa libération
d'ici la fin de la journée.

Si nous pouvons trouver Keen d'ici là ,

on peut peut-être obtenir
la suspension de l'ordre.

Pourquoi ne pas commencer par parler

de vos options, Mlle Moores ?

- Qu'en est-il de l'avocat ?
- Oui, on peut le faire.

Et ils peuvent vous dire
vous risquez 20 ans.

Ou ils peuvent me dire que sans
toute preuve ou tout témoin,

Je devrais me taire.

Oui. Tu as raison.
Nous n'avons pas de témoins.

Mais ce que nous avons, c'est
vos amis que nous avons ramassés.

Vos, euh, co-conspirateurs.

Co-conspirateur ?

Je ne sais pas de quoi vous parlez.

Comment puis-je être un co-conspirateur
si je ne connais pas la femme ?

Elle vous connaît bien.

Du moins, c'est ce qu'elle semblait faire
lorsque nous vous avons enregistré tous les trois

réunion au True Cafe.

J'ai fini de parler.

Raf ne l'est pas.

Raf a beaucoup à dire.

A propos de vous.

Jennifer.

Comment vous vous êtes rencontrés
par l'intermédiaire de son père.

C'est un mensonge.

Non, c'est la vérité.

Silvina passait tous les jours avec lui.

Elle est son infirmière résidente.

Comment ont-ils pu ne pas se connaître ?

- C'est Silvina qui a dit ça ?
- Laissez mon père en dehors de ça.

Votre père est un voleur légendaire
et un perceur de coffre-fort,

et vous n'attendez pas de nous de
ne pas en tenir compte, n'est-ce pas ?

Il est allé en prison
quand j'avais 7 ans.

D'accord. C'est déjà assez.

C'est votre fille.

Je n'ai jamais voulu
cette vie pour elle.

Elle est la première chose
à laquelle vous pensez tous les matins.

C'est pourquoi j'ai pensé qu'il
valait mieux que je reste loin d'elle,

même après ma sortie de prison.

Je coupe les liens.

Vous ne pouvez pas imaginer
à quel point c'est difficile.

Pour les besoins de cette conversation,

Supposons que je le puisse.

Je détestais cet homme.
Il est sorti de ma vie.

Il m'a abandonné.

Jusqu'à ce qu'un jour, j'y retourne.

De ne pas être avec elle,
vous savez, de ne pas parler.

Juste...

Juste pour la voir.

Et qu'avez-vous vu ?

J'ai vu mon enfant
cracker le Vaultsafe 200

d'un dealer de méthamphétamine à
deux balles en moins de quatre minutes.

Elle n'était pas raffinée,
un peu précipité, mais...

Mon Dieu, elle avait le don.

Même si je savais où il était,
Je ne parlerais pas.

C'est un vieil homme.

J'aurais dû appeler la police
à ce moment-là .

Mais elle était votre enfant.

Je me suis dit que j'avais
quelque chose à lui apprendre.

Pour partager avec elle.

Une raison d'être dans sa vie.

C'est ce qu'il vous a dit ?
Eh bien, il ment.

Je pense qu'il est toujours
très impliqué dans votre vie.

En fait, Raf dit que c'est lui
qui sélectionne les cibles.

Bien sûr que je l'ai fait.

Elle avait besoin de cible qui
ne signalerait pas le crime,

et je savais où les trouver.

Vous m'avez certainement trouvé.

Maintenant, attendez... Je lui ai dit
que vous étiez hors limites.

Je l'ai fait, Raymond.

Mais elle ne voulait pas écouter
à cause de l'argent.

C'était beaucoup d'argent.

Le travail était un contrat.

Oui. Une femme.

Euh, une Américaine.

- Parlez-moi d'elle.
- A une seule condition.

Laissez mon père en dehors de tout ça.

Parlez-moi de la femme.

Ils se sont rencontrés par
le biais d'une connaissance.

Jennifer a dit qu'elle devait
faire profil bas après un emploi.

Le Cap. Je n'avais nulle part où aller.

Mais Jen a trouvé
cette maison sécurisée.

Faire partie d'un réseau.

Sanctuaires pour criminels
sur tous les continents.

Bref, la femme qui le dirige,
elle s'appelle Vee.

C'est elle qui m'a approché.

Elle a dit qu'elle avait un client
dans un autre lieu sûr

qui avaient besoin d'un travail fait.

Elle a dit qu'elle faisait une
descente dans un coffre-fort

et il fallait le faire rapidement,

Elle et Jennifer se sont donc
rencontrées à Washington.

J'ai parlé du travail.

Elle a dit que c'était personnel.

Qu'elle visait Raymond Reddington.

Elle a dit que vous
étiez plus vulnérable

que l'on pourrait croire

et qu'elle était en train
de construire une alliance.

Et que lorsque tout cela sera terminé,
quand Reddington était mort,

qu'elle me serait redevable.

Je lui ai dit de ne pas le faire.

Mais cette femme, qui qu'elle soit,
qu'elle avait sur les œillères.

Elle avait de l'argent
et elle était persuasive.

Quand ils se sont rencontrés.

Où la femme était ?

Savez-vous où c'était ?

Bien sûr que je le fais.
Et je peux vous le dire.

Mais là encore, je veux des garanties.

Vous laissez mon père
en dehors de tout ça.

Raymond, mets ça à mes pieds,
pas chez Jennifer.

Ce n'est qu'une enfant.

Ma fille.

Votre fille.

Ma petite fille.

Nous l'avons. La planque de Keen.

C'est une adresse à Deanwood.

Nous envoyons des unités maintenant.

Non, attendez.

Reddington. Qu'est-ce que c'est ?

Salutations,
Harold. Envoyez-moi l'adresse par SMS.

J'appelle pour savoir
comment votre équipe de crack

fait avec les prisonniers.

Moores et ses associés ont
ont invoqué leur droit à un avocat.

Ils refusent de parler.

C'est bien sûr regrettable.

Avez-vous entendu autre chose ?
Des nouvelles de votre côté ?

J'aimerais avoir quelque chose
pour vous dire, Harold.

Faites-moi savoir si vos prisonniers
décider de parler.

Je vais le faire.

Que se passe-t-il ? Tu y vas seul ?

C'est probablement de l'orgueil,

mais je pense toujours
être le seul à la toucher.

Agent Keen. C'est Harold Cooper.

Je suis seul.

Je veux juste parler.

Ouvrez la porte, Elizabeth.

Je crains qu'il ne soit trop tard,
Harold.

Il semble qu'elle soit déjà partie.

La photo que nous avons envoyé

vous avez dit n'avoir reconnu personne
ce n'était pas vrai, n'est-ce pas ?

Non, Savine travaille vraiment
pour Abraham Moores.

Une fois que j'ai vu la photo

je savais qu'Abe avait menti et
que je serais persuasif

pour qu'il me dise ce
que je voulais savoir.

Vous auriez peut-être dû partager
cette information avec nous plus tôt.

Elizabeth ne nous aurait pas échappé.

Péchés,
pierres et maisons de verre, Harold.

Aucun de nous n'a joué franc jeu
avec l'autre.

Maintenant, vous voyez que votre poste

est de jouer franc jeu
et le mien ne l'est pas,

alors un argument pourrait être avancé

que vous êtes un peu plus à la
faute que moi, mais pourquoi ergoter ?

Elizabeth est partie et elle a pris
quelque chose à moi avec elle.

Je ne pourrais pas être moins intéressé
dans ce qu'elle vous a volé.

Ma seule préoccupation est son bien-être

et la faire revenir pour l'aider
guérir de la blessure

que vous avez causé
quand vous avez tué sa mère.

Nous sommes tous responsables
pour les choix que nous faisons.

Elizabeth a fait le sien.

C'est elle qui en est responsable,
pas moi.

Je suppose que vous pensez aussi
qu'elle est responsable

pour la libération de The Freelancer,

ce qui, maintenant que nous sommes ici
et qu'elle ne l'est pas,

est garanti.

Je pense qu'elle n'est pas seulement
responsable,

je pense que c'est ce qu'elle veut.

C'est absurde.

Un jour, Elizabeth me vole
des millions de dollars,

et ensuite, The Freelancer a
un tout nouvel avocat coûteux

demandant sa libération

à moins qu'Elizabeth Keen
apparaît comme par magie au tribunal.

Cela ne me semble pas être le cas.
Comme absurde, Harold.

Cela me semble troublant.

J'ai bloqué aussi longtemps que j'ai pu,

mais Veseli est en liberté sous caution.

Vous n'avez donc plus le temps,
et je suis à bout de patience.

Qu'est-ce que tu ne me
dis pas à propos de Keen ?

Elle veut tuer Reddington.

C'est pourquoi il l'a mise
sur la liste noire.

Elizabeth Keen est sur la liste noire.

Je devrais peut-être
commencer par le début.

M. Hadley.

Je suis désolé de
vous avoir fait attendre.

Non marqué ? Tel que discuté ?

Où est-il ?

Vous êtes l'avocat ? Celui
qui représente Keen ?

Il y a un numéro préprogrammé.
Vous demandez Charlotte.

Vous leur dites que vous avez été pris
sous la pluie et j'ai besoin de me sécher.

Keen m'a mis en prison.
Pourquoi m'aide-t-elle maintenant ?

Mlle Keen a organisé votre libération

parce qu'elle a besoin de vos services.

Que veut elle que je fasse ?

Pour l'instant ? Rien.

"Vous avez été pris par la pluie... "

"Et il faut que je me sèche."

Edward l'a confirmé.

Elle a pris un jet privé
au départ de Dulles.

Alors elle est partie.

La clé USB avec elle.

Que va-t-elle en faire ?

Rien de bon.

Nous devons informer notre ami de l'Est.

Je vais organiser la rencontre.

Dembe, laisse-moi descendre ici,
veux-tu ?

Où allez-vous ?

Me vider la tête, prendre l'air.

Puis-je me joindre à vous ?

Pas du tout.

Vous arrivez juste à temps.

Il y a une paruline du Cap May

qui arrive généralement
à l'instant même.

Nous connaissons-nous ?

Je ne le crois pas.

- Dois-je vous connaître ?
- Non, non, non.

J'étais juste curieux de savoir
si nous nous étions déjà rencontrés.

Je m'appelle Anne.

Raymond.

Eh bien,
maintenant nous nous sommes rencontrés.

Oui.

Monsieur.

Elle est vraiment partie, n'est-ce pas ?

Agent Keen ?

Je, euh...

J'y ai pensé toute la nuit.

Je veux dire...

Je veux dire,
je sais qu'elle est partie,

mais ensuite je me retrouve en espérant
qu'elle ne le soit pas, vous savez ?

Vous pensez qu'on aura
un jour de ses nouvelles ?

Je suis convaincu que ce n'est pas
la fin de l'agent Keen.

Synchro et correction BY LittleP.