All language subtitles for Doctor Who 1963 - 12x18 - Episode 18.DVDRip.NoTV.fr

Traduction Malia

Sarah.

Ne le laisse pas te mordre !

On dirait Sarah.
Qu’est-ce qui se passe ?

Il se passe ce Cybermat's, Harry. Vite !

Vite dans le téléporteur !

C’est le seul moyen d’évacuer le poison.

- Elle a la peste.
- Non.

Voilà votre soi-disant peste, commandant.

- C’est toujours dangereux, Docteur ?
- Plus maintenant.

Mais il y en a sûrement d’autres.

Accroche-toi à elle, Harry.
Tu y vas avec elle.

- Où allons-nous ?
- Voga.

Vous savez utiliser linverseur ?

- Je vous ai vu faire.
- Allez-y.

Pas de temps à perdre.

Quelque chose déraille, Docteur ?

- Sabotage.
- Sabotage ?

- Quelqu’un a enlevé le driver pentalion.
- Qui ?

Qui a retiré la bande de votre radio ?

Qui envoie des Cybermats tuer vos hommes ?

Et qui se désespère de la perte de communication

avec Voga ?

- Kellman ?
- Oui. Kellman.

Votre ami exographe doit travailler pour le chef des cybermen.

Qu’attendons-nous ?
Retrouvons-le !

Bien. Ça devrait marcher.

Si je peux adapter le monophode à la prise tri-phase.

Docteur, elle n’en a plus pour longtemps.

Je sais, Harry. Je sais !

Elle réagit comme Warner.
Ça recommence !

Kellman. Kellman !

Vous me cherchez ?

- Les cybermen ont commencé.
- Quoi ? C’est trop tôt.

Notre agent humain dit qu’ils vont s’emparer du relais.

Nous avons au mieux quatre heures pour finir le Skystriker.

- Impossible.
- Quatre heures, Magrik.

- Ou nos rêves sont morts.
- Le Skystriker est prêt.

Mais on n’a pas testé les bombes.

- Il faudra encore 4 heures pour tout installer.
- Alors parions, Magrik.

On testera les bombes sur le relais.

Très bien. Je nous envoie tous les techniciens sur le champ.

- Il a filé.
- Assez vite apparemment.

Venez.

Lester, prenez cette section.
Je vais voir le téléporteur.

Plus le temps de brancher ça.
Je vais le tenir. Prêt ?

Ow !

- Sarah?
- Hmm ? Hmm ?

- Ça a marché, Docteur.
- Ooh !

Arrête de hurler dans mes oreilles.
On dirait une corne de brume.

- Hé.
- Quoi ?

Qu’est-ce qui se passe ici ?

C’est merveilleux, non ?

- J’essaie de te sauver la vie...
- Essaie de...

Je me souviens.
Cette chose a sauté sur mon cou...

- Où sommes-nous ?
- ça s’appelle Voga, Je crois.

Le Docteur nous a téléportés pour chasser le poison.

Je dois dire que tu étais sur le point d’éclater.

- Regarde ça !
- Qu’est-ce que c’est ?

On dirait de l’or. Je n’y crois pas.

- Il y en a d’autre par là.
- Oh, Harry.

- Regarde, de l’or !
- Ne soyez pas idiot. Ce n’est pas de l’or.

- Sarah, du bon or.
- Harry, stop ! Ce n’est pas à nous.

Ce n’est à personne, si ?
Il traîne juste là.

Une fois riche, je pourrais quitter l’armée,

m’acheter un coin à la campagne, et un bon stéthoscope en or.

Uh-oh.

Ça déchire.

- Oh !
- OK, viens vieille branche !

- Pose cette arme, Kellman.
- Bien, commandant.

Tirez.
On ne peut pas se rater.

- J’ai dit pose cette arme.
- Oh, non.

- Tu ne peux pas t’enfuir.
- En effet, commandant.

Je vais dans ma cabine.
Enfermez-moi si vous voulez.

N’essayez pas de suivre...

- Bien joué, Lester.
- Il a marché.

- C’est une erreur.
- Tu n’arriveras à rien.

- Harry, dit-leur.
- j’essaie !

Mais ils n’ont pas l’air de...

Arrêtez. Où nous emmenez-vous ?

On n’essayait pas de voler votre or.

Enfin, pas vraiment.

Nous, nous...

Voga, mieux connue comme la planète d’or.

Les cybermen la détestent car ils craignent l’or.

- Comment ?
- Un métal sans corrosion.

Il bouche leur système respiratoire et les étouffe.

N’est-ce pas, professeur ?

Sarah et Harry sont là-bas.

Sans le driver pentalion, je ne peux pas les ramener.

- Il y avait ceci dans sa cabine.
- Oui.

En contact avec ses maîtres.

Qu’avez-vous fait au driver pentalion, professeur ?

Je ne sais pas de quoi vous parlez.

- Il ment.
- Je crois qu’il ment.

- Qu’est-ce que vous allez faire de ça ?
- Ça ?

- Rien. Pourquoi ? C’est important ?
- Non.

Je crois que notre ami ment pour gagner du temps.

- Je ne sais pas de quoi vous parlez.
- Mais du temps pour quoi, hmm ?

Les ordinateurs signalent un gros transfert d’énergie entre le relais et Voga.

Les humains ont utilisé leur rayon téléporteur.

- Oui, chef.
- Il y a combien de temps ?

- Seize minutes.
- Bien.

Envoyez le groupe d’accostage à l’avant.

- Le Docteur doit s’inquiéter pour nous.
- Je m’inquiète aussi.

- Quel est cet endroit ?
- Je peux vous dire ce que ce n’est pas.

Ce n’est pas inhabité.

Vous venez du relais.

Que faites-vous sur Voga ?
Vous fuyez la peste ?

- Oui, c’est ça. La peste.
- Vous mentez !

- Maintenant dites la vérité.
- Je ne mens pas. J’ai la peste.

Quand la peste aurait fini son œuvre, il ne devrait rester que quatre humains.

C’était le plan.

- Le plan ? Vous avez volontairement...
- Vous n’étiez pas de ces quatre.

Nous sommes arrivés après, mais j’ai été mordue,

et le Docteur m’a mise dans le téléporteur pour me soigner. N’est-ce pas, Harry ?

Oui. C’est la vérité. Je l’ai accompagnée parce qu’elle était mourante.

Et on essayait pas vraiment de voler votre or.

Il y a combien d’humains sur le relais ?

Si vous ne répondez pas, vous souffrirez.

Puis je redemanderai et vous répondrez. Compris ?

Oui.

Les humains sont supposés avoir une intelligence.

Quand Vorus, le chef des gardiens, pose une question,

Il n’est pas sage de refuser de répondre.

Emprisonnez-les. Je les interrogerai plus tard.

- Bonjour, conseiller Tyrum.
- Ah, Vorus.

Je dois vous parler de certains problèmes.

- Oui ?
- Pas par visio-projecteur.

Ici dans la ville.

On ne m’a pas parlé de choses si importantes.

Moi si.

Et, Vorus, j’attends le plaisir de votre visite avec tant d’impatience.

que j’ai envoyé notre plus rapide coursier vous chercher.

En tant que commandant, je peux ordonner l’exécution immédiate

pour certains crimes.

Vous avez tué 47 hommes et dévié de votre mission.

- Vous dites des bêtises, commandant.
- Il ne mérite même pas la fusillade.

- Alors,qu’est-ce que ce sera, Kellman?
- Sera ?

Vous allez mourir maintenant ? Ou nous dire ou est le driver pentalion ?

Vous ne me faites pas peur.
Vous ne tirerez pas.

- J’ai tous les droits.
- Vous n’avez aucune preuve.

Non ? Et cette boîte ?

Le Docteur dit qu’elle contrôle les Cybermats.

Et je dis que c’est un instrument de mesure minérale.

Tous les exographes en ont.

- Regardez.
- Laissez-le. Ne tirez pas.

Arrêtez-le !
Par pitié, faites quelque chose.

Une fois mordu, Kellman,

il vous restera dix secondes pour vous souvenir où est le driver pentalion.

Si vous voulez vivre...

C’est bon, c’est bon.
Il est sur mon cou.

- Prenez-la.
- Splendide.

Bien. Nous pouvons ramener Harry et Sarah.

Sarah, ces chaînes sont en or.

Harry, vous allez la fermer avec votre or pourri ?

24 carats à vue d’œil.

Nous sommes dans cette situation à cause de l’or.

- Je pensais juste.
- Et bien arrêtez !

L’or est un métal mou, non ?

Avec un morceau de roc adapté, on devrait pouvoir l’entailler.

Bon, on ne peut pas se contenter d’attendre.

Vous avez dit un problème d’importance.

Oui, on m’a signalé que deux aliens,

deux humains, ont été vus près d’une mine d’or.

- Quoi ?
- Selon la tradition,

vos gardes contrôlent les mines et la surface.

Si des humains sont arrivés sur Voga,

vous êtes forcément complices, Vorus.

Vous n’avez aucune preuve de ces allégations absurdes.

Je crois bien.

Vorus, quoi qu’il se passe dans les mines,

j’ai entendu d’étranges histoires.

Jusqu’ici vos gardes n’avaient jamais tué.

- Un problème interne de discipline.
- Je connais votre ambition, Vorus.

Vous voyez Voga comme un jeu de pouvoir,

qui marchande son or avec les autres planètes.

Pourquoi pas ? Nous devrions rester sous terre pour toujours?

Effrayés par ce qui s’est passé il y a des siècles.

Nous survivons ainsi.

Personne ne se doute que Voga est habitée.

Que ceci est la fameuse planète d’or.

- Nous sommes à l’abri.
- A l’abri ?

Vous pensez comme une souris, Tyrum.

Et vous êtes un inconscient assoiffé de pouvoir.

Je ne vous fait plus confiance, et aux gardiens non plus.

Ma milice prend le contrôle des mines.

Vous défiez l’autorité traditionnelle des gardiens ?

Vous assurez la sécurité, Vorus.

La milice arrive aux mines en ce moment-même.

- Nous verrons.
- Vos hommes sont moins nombreux, Vorus.

Et les troupes doivent écraser toute résistance.

Si le sang coule, rappelez-vous que ce sera de votre faute.

Je vous chasserai pour ça.

- Hé ! Attention !
- Pardon.

- On dirait que ça cède.
- Comme ma cheville.

Tu devrais pouvoir dégager ton pied.

Allons-y, maintenant.

- Encore un effort ! Ça vient.
- Ça fait mal.

Tes tibias, ou plutôt boulets, ressemblent à un cheval de trait.

- Ah ! Je n’ai pas les chevilles fines.
- Allez, pousse !

- Là !
- Bien joué.

Tu peux t’occuper des miennes.

Une minute. Si je brise une stalagmite,

elle pourrait servir de levier. Hmm ?

Tirez au-dessus de leur tête.

Reculez ! Personne ne pénètre le territoire des Gardiens.

Tenez vos positions pendant que je contacte Tyrum.

Il faut tenir cette section à tout prix.

Si Tyrum trouve le Skystriker, ces années de travail n’auront servi à rien.

D’accord.

Quant aux deux humains, exécutez-les.

Sans l’interrogatoire ?

Dans les mains de Tyrum, ils seraient trop dangereux.

- Il faut les faire taire.
- Bien.

J’envoie un détachement.

Bien. Voyons si ça marche.

- Étrange.
- Ça ne marche pas ?

Si. Pleine puissance.

Ils ont dû quitter le circuit récepteur.

Commandant ?

J’ai un signal sur le radar.

Un vaisseau en approche sans doute.

On n’attend rien pour les 12 prochains jours.

Essayez un contact.

Ici Nerva au vaisseau en approche.

Me recevez-vous ? Terminé.

- Rien.
- Ce doit pourtant être un vaisseau.

Il vient droit sur nous.
Essayez encore, Lester.

Nerva au vaisseau en approche. Me recevez-vous ?

Ici Nerva. Envoyez-moi votre signal d’identité, s’il vous plaît.

Merci mon dieu.

De quoi tu te plains ? Je t’ai libéré.

- Qu’est-ce que c’est ?
- Quoi ?

On dirait un autre de leurs véhicules.

- Ça vient par ici.
- Vite !

Par ici.

Harry.

Désolé, ma vieille. Un cul-de-sac. Demi-tour !

Impossible, Harry. Regarde.

On est piégés.

Par là.

- Harry!
- Viens.

Vite !

Cours.

Il doit être en visuel maintenant.
Essayez un contact scanner.

- Le voilà.
- Je ne connais pas ce type.

Jamais rien vu de tel.

Il y a des rampes de missiles à l’avant.

Ce doit être un alien.

Ici Nerva.
Vous approchez du relais Nerva.

Nous sommes en quarantaine par ordre du central terrien.

Je répète, en quarantaine.
N’approchez pas.

Ils nous ignorent, commandant. Regardez.

- Ils vont sur l’orbite d’accostage.
- Les fous.

Harry.

Attention.

Vite !

On dirait que c’est la fin, Sarah.

Tu ne rate jamais l’évidence, Harry.

Pourquoi ils ne nous achèvent pas ?

Voguiens de Vorus !

Déposez vos armes.
Vous êtes encerclés !

Et maintenant ?

- Une réclamation ?
- Ils ont l’air perturbés.

D'abord ils ont parlé de ce fléau comme une peste

Mais maintenant, l’un d’eux dit que les humains ont été tué par un poison.

Je vais les voir moi-même, Sheprah.

Les Gardiens résistent à notre milice?

Pas dans les galeries.

Ils ont adopté une position défensive devant la chambre de la guilde.

Je me doutais que Vorus utiliserait la chambre de la Guilde comme point fort.

Laissons-le lui pour l’instant.

Un assaut puissant suffira à les écraser.

Voyons ces deux humains.

Si Vorus nous a trahis,

je lui donnerai une chance de mourir au combat.

Vous pensez je c’est un traître, conseiller ?

Après les cataclysmes du passé, Sheprah,

nous n’avons pu survivre quand considérant tous les autres comme des ennemis.

- Ils accostent.
- Il faut les empêcher d’entrer.

Mais qui...

Cybermen !

Inutile.

Toute résistance est écrasée.

Le relais est à nous.