All language subtitles for Chino - 1973

- Remonter!
- Je suis Jamie Wagner.

- Je cherche un emploi.
- Vous regardez dans des endroits amusants.

- Tu t'es enfui de chez toi?
- Non monsieur.

Descendre. Cuisine de la nourriture.

Monsieur, peut-être
Je ferais mieux de continuer.

- Je dois être quelque part.
- Il n'y a nulle part où aller.

Je dois être au ranch Nash.

C'est trop loin.
Vous n'y arriverez pas ce soir.

- Vous attendent-ils?
- Non monsieur.

Personne ne mange sans avoir
Stock. Vous trouverez du foin dans la grange.

Mettez le feu à l'endroit
et je vais te rôtir sur les cendres.

Rôtis-moi?
C'est une pure chose indienne.

Il ne me fait pas trop peur.

Ne t'inquiète pas, je ne mange pas d'enfants.
Pas quand j'ai un bon côté de boeuf.

Si tu as toujours peur de moi, dors
le hangar. Plus chaud ici, cependant.

Je suis désolé monsieur.

- Je réponds à Chino.
- Oui monsieur.

J'ai failli me faire piétiner
par un bronco une fois.

Je n'ai jamais rien appris de cela.
Je travaille toujours dans le même métier de fou.

- Tu as déjà travaillé avec des chevaux?
- Non monsieur.

«Attaboy. Facile. Retour retour.

Retour retour.

Arrière.

Facile.

Bonjour.

- Tu es en retard pour commencer, gamin.
- Je dois nettoyer.

Je ne peux rien te payer.

Je gagne juste mon chemin
pour le lit et la pension de la nuit dernière.

Garçon, laisse ton cheval se reposer. Je prêterai
vous une monture et vous pouvez monter avec moi.

- Je dois aller chercher une jument.
- Oui monsieur.

Voici Buck. Montez-le.

- Tu as peur du vieux Buck?
- Non monsieur.

Alors détends-toi. Montez-le un peu.

- Je vois que tu n'es pas sorti.
- C'est un vrai cheval doux.

Buck, doux?
Ce cheval est un mustang pur.

Il semble rouler doucement pour moi.

- Garçon, quel jour est-ce?
- Mercredi.

J'ai oublié cet acheteur.
Je dois conduire ces chevaux en ville.

- Puis-je aider?
- Je n'en ai pas besoin.

- J'aimerais monter encore Buck.
- Restez à l'écart.

200 dollars, Chino. Droite?

Buenos dias, Indio.

Buenos dias, señora.

Je peux lire ton sale esprit, Indio.

Arrête ça!

Ricardo.
S'il vous plaît, M. Jensen.

Ricardo.

Je vous remercie.

- Salut, Lemoine.
- Jésus, Chino

- Tu n'as pas entendu ce qu'il a dit.
- Non.

- Qui est-ce?
- Il est errant. Je m'appelle Jamie.

Lemoine,
garde ça pour moi jusqu'au matin.

- Tu restes en ville ce soir?
- Ouais, je suis fatigué et assoiffé.

Garçon, emmène les chevaux à l'écurie
et achetez-vous un repas décent.

- Je serai au Eagle Bar.
- Ne fais plus de soucis.

Je ferai de mon mieux.
Je ne viens pas souvent en ville.

La ville ne pouvait pas le supporter souvent
et vous non plus.

- Tu travailles pour lui?
- Sorte de.

Tu restes avec Chino,
Je ne fais pas de problème.

Il y a une loi pour un garçon
qui ne prennent pas soin de lui.

Je peux prendre soin de moi.

Oh, non, Chino, s'il te plaît, non.
Pas ici.

Je viens juste de le réparer.
Il y a d'autres bars en ville.

Merde, Pete, il n'y a personne ici.

Veuillez prendre la bouteille
un autre endroit.

Je vais juste m'asseoir là-bas et le boire.

Bonjour messieurs.

Je suppose que je vais le boire ailleurs.

Merde, Chino.

Tu pars maintenant.

C'est pour des dommages.

- Je suis venu pour une bouteille.
- Oh oui.

- Qu'est-il arrivé?
- Nous retournons au ranch.

Heureusement que j'étais là pour aider
avec les chevaux.

J'ai emmené ces chevaux en ville
par moi-même cent fois.

Mais tu n'as pas trop aidé.

Pour se rendre au ranch Nash,
descendre ce canyon à une fourche.

Prenez celui de gauche. Après un moment
vous verrez des pistes de wagons.

Ils vous emmèneront juste là.

Tu sais, je pourrais nourrir les chevaux,
nettoyer les écuries aussi.

Vous donner plus de temps
pour le travail important.

L'hiver arrive.

Tu vas avoir besoin de beaucoup de bois.
Je pourrais couper du bois d'allumage.

Mec je pense que ton cheval
pourrait faire avec un autre jour de repos.

- Qu'est-ce que tu penses?
- Oui monsieur.

Whoa Tenez ce cheval.

Tu veux travailler,
mettre cette selle sur Buck.

- Quelle est cette jument que vous recherchez?
- Jument poulinière portant un poulain tardif.

- Je veux qu'elle revienne.
- Tu fais ça avec toutes tes juments?

- Non, celui-ci est spécial.
- Une mustang?

Pur à travers. Tous les tripes de fer
et en forme de bouteille.

Mec, tu devrais attraper celui-là!

C'est noir. Je l'ai élevé.

- Quel beau cheval.
- Ses papiers retournent en Angleterre.

Ses juments ont probablement été regroupées
Là. Jetez un œil depuis la crête.

Mais détends-toi. Ils sont
un peu sauvage et timide d'inconnus.

La jument n'est pas là!
Je vais la retrouver.

- Est-ce que c'est bien?
- Ouais. C'est un lui.

- Tu as un bon étalon.
- Il agit comme si tu étais sa mère.

Je suppose que je vais devoir l'être.
Elle a eu un grave accident.

Obtenez votre oreiller et posez-le
devant le poêle.

Voilà, c'est ton lit.

Mettez le feu
et chauffez de l'eau.

Que pensez-vous de Banner?

Je vais l'appeler Banner. Le drapeau était
son père et Banner sont un bon nom.

C'est un bon nom.

- Voilà, mon garçon.
- Je l'ai.

Il n'a pas besoin de plus de maman que ça.

Vous ne ressemblez pas au genre Mama.

Je suppose que non. Il m'a fallu
trois ans pour payer Flag.

Le sang dans ce poulain
est tout ce pour quoi je travaillais.

Cela compense beaucoup de moments difficiles
et les villes où je n'étais pas le bienvenu.

Je serai sa maman. Mais tu dis à personne
ça et je vais vous couper les oreilles.

Gracias.

- Je cherche Morrel.
- Catherine Morrel. Puis-je vous aider?

- Ou voulez-vous attendre?
- Tu es sa femme?

- Non, je suis sa sœur.
- Vous ne lui ressemblez certainement pas.

- Eh bien, monsieur
- Valdez.

M. Valdez, je suis sa demi-sœur.
Ma mère était anglaise.

Vous pouvez choisir vos amis
mais vous ne pouvez pas choisir vos proches.

- Qu'est-ce que tu as contre mon frère?
- Qui est là?

- Tu as installé cette clôture?
- Oui. Pourquoi?

Une de mes juments s'est coupée en morceaux
sur ce putain de fil.

J'ai dû lui tirer dessus.

Je déplace plus de 1000 têtes de bétail
brouter. Je veux qu'il soit clos.

Le fil me coupe
de la gamme de chevaux.

- C'est ma clôture sur ma terre.
- Ce terrain est ouvert.

Pas selon la dernière enquête.

Le Morrel s'étend
50 miles au nord d'ici!

Si vous ne l'aimez pas ici, je vais vous donner
vous un juste prix pour vos chevaux!

- Est-ce vrai pour l'enquête?
- Oui, je le crains.

M. Valdez?

Puis-je sortir
et regardez vos chevaux?

- Pourquoi?
- J'aimerais rouler pendant que je suis ici.

J'ai entendu dire que les vôtres étaient les meilleurs.
Je voudrais en acheter un.

Sortez, j'en aurai un pour vous.

Bonjour, monsieur Valdez.
Je suis prêt.

Je peux voir ça. Et je peux voir
vous avez amené une infirmière avec vous.

- C'est un beau cheval.
- Son nom est Paloma.

- Quand puis-je la monter?
- Eh bien, je dois ...

- Qu'est-ce que c'est que ça?
- C'est une selle latérale.

Une selle latérale? Y allez-vous
mettre ça du côté du cheval?

Non, ma jambe droite contourne ce crochet
et ma gauche se heurte à cela.

- Je peux rouler magnifiquement comme ça.
- Pas sur un de mes chevaux, tu ne peux pas.

Mais je porte une jupe.
Sinon, comment puis-je rouler?

Je peux te prêter une selle,
mais les vêtements sont votre problème.

Merci, Monsieur Valdez. je penserai
d'un moyen de le faire correctement.

- Au revoir, Jamie.
- Au revoir, madame.

Harris.

- Elle ne devrait pas dire des mots comme ça.
- Quels mots?

Eh bien, elle a dit "jambes".

Jambes? Qu'est-ce qui ne va pas avec les jambes?
Elle les a, n'est-ce pas?

Je pense. Ce n'est pas un mot qu'un
dame de grande classe comme elle devrait utiliser.

- Pourquoi pas?
- Ce n'est pas considéré comme approprié.

Un homme doit être affreusement prudent
ce qu'il dit aussi aux femmes.

Comment pouvez-vous apprendre à une dame à monter
si vous ne pouvez pas dire "jambes" ou "mains"?

Vous pouvez dire "mains". Ce sont les parties
ils couvrent dont vous ne pouvez pas parler.

Je ne fais pas attention aux femmes. j'ai
des choses plus importantes à penser.

- Tu fais?
- Pas toi?

Oui, mais je pense aux femmes
de temps en temps.

Pas moi, je ne vais jamais
se mélanger avec les femmes.

Ce qu'un homme dit et quel homme
ne fait pas toujours la même chose.

Allons-y. Nous avons du travail à faire.

Quand je me suis mis sur ce point,
ouvre brusquement la porte.

Chino!

Moi et ce fichu noir
ne s'entendait jamais.

- Allez-vous le casser?
- Savez-vous ce que cela veut dire?

- Montrez-lui que vous ne pouvez pas être jeté.
- Non, ce n'est pas tout.

Briser un cheval signifie exactement cela.
Vous le cassez.

Cela enlève tout le foutre
d'un cheval. Ça le brise.

Et je ne veux pas
pour casser un cheval Valdez.

Je suppose que moi et ce noir
nous ne nous aimons tout simplement pas.

Vous avez des cicatrices partout sur vous.
Où as-tu eu celui sur ton dos?

Si je t'ai dis,
Je suppose que tu me croirais.

- Oui je voudrais.
- C'est une sacrée chose à dire.

Comment tu sais ce que je vais te dire?

Si vous le disiez, je saurais qu'il en est ainsi.

Seul un imbécile se décide
une chose avant qu'il ne sache ce que c'est.

Des Indiens ont volé mes chevaux
une fois et je les ai volés.

Pendant qu'ils me poursuivaient, je suis venu
de mon cheval et s'est fait écraser.

- Pourquoi ne vous ont-ils pas tués?
- Bon sang, c'était mes amis.

- Bonjour.
- J'ai résolu ses problèmes.

Eh bien, montez.

Vous n'en aurez pas besoin.

Eh bien, je serai damné.
Tu t'es fait un pantalon.

Monsieur Valdez,
Pourriez-vous m'aider s'il vous plaît?

Pourquoi voulez-vous monter à cheval
quand vous ne pouvez même pas en prendre un?

Calme toi.

Mlle Morrel, vous n'êtes pas un Indien des bois
et tu n'es pas un sac de pommes de terre.

Et ce n'est pas un hack stupide
vous êtes sur, c'est un cheval Valdez!

Vous ne voulez pas la combattre ou avoir
elle te porte comme un rouleau de lit non plus!

- Je me sens un peu étrange de cette façon.
- Tu as l'air un peu étrange. Remonter.

La première chose dont tu dois te souvenir
est de serrer le cheval avec votre

- Comment tu appelles cela?
- Mon genou.

- Et cela?
- Ma jambe.

- Et cela?
- Quoi? C'est mon dos.

- Ces pièces sont toutes couvertes.
- Bien sûr, ils sont couverts.

Que dirais-tu
si je devais dire "jambe"?

- Ça va, monsieur Valdez?
- Oui. Mais je ne sais pas pour le garçon.

Vous serrez le cheval avec vos genoux
et vous mettez votre poids dans vos jambes.

Essaye encore.

- Il se sent plus à l'aise.
- Tu n'as pas l'air plus à l'aise.

Vos genoux, vos genoux.
Mettez une partie de ce poids dans vos jambes.

C'est terrible.
Tu rebondis toujours.

- Je dois en rebondir.
- Vous avez beaucoup de pièces gonflables!

Je suppose qu'une femme n'a pas été faite
pour monter à cheval.

M. Valdez, vous êtes grossier,
insensible et vulgaire.

Tu n'es pas du tout un homme,
tu es un cheval!

J'enverrai Cruz ramasser Paloma.
Cruz!

Jamie, tu penses toujours à
trouver un emploi dans l'un des ranchs.

Mais la saison d'embauche est terminée.

J'aimerais te garder.

- Je te paierai 10 dollars par mois.
- 10 dollars?

- Ça ne suffit pas?
- Tu verras, Chino. Je vais en valoir la peine.

Merci.

Tu sais, Chino,
Noël n'est que de deux semaines.

Nous devons avoir un arbre.
Un vrai sapin de Noël.

Un arbre de Noël?

Ouais. N'en aviez-vous pas
d'où tu viens?

D'où je viens, il n'y en avait pas
assez d'arbres pour en couper.

En dehors de cette moustache,
tu ressembles même à un cheval.

Sonne comme un aussi
et frottez votre dos comme un seul.

Ouais?
Il suffit de se retourner et de sortir.

Je ne pense pas. Maintenant que je suis là,
Je pense que je vais prendre une tasse de thé.

- Ne gardez pas de thé ici.
- Le café fera l'affaire.

Ne me dérange pas, M. Valdez, j'ai vu
les chevaux se vautrent dans l'eau avant.

Continuez votre bain.
Ça a l'air tellement amusant.

Est-ce un fait? Eh bien, j'ai fini,
donc si vous me donnez cette serviette ...

Bien sûr, vous n'avez pas fini.
Tu n'as pas fini de te laver le dos.

Je pense que je vais t'aider.

Garçon! Jamie!

Tu n'as pas peur de moi,
êtes-vous, M. Valdez?

Si vous m'appelez encore M. Valdez,
Je vais te tirer dans cette baignoire avec moi.

Tant pis

Qu'est-ce que je vous appelle? Cheval?

- Que fais-tu ici?
- Je voulais te montrer ma nouvelle selle.

- Est-ce tout?
- Non. Je voulais te demander quelque chose.

J'aimerais continuer à rouler.

Mais si je suis aussi désespéré
comme vous dites que je suis, c'est inutile.

Non, je n'ai pas dit sans espoir.

Ce que j'ai dit était terrible.

Eh bien, ça va alors, n'est-ce pas?

Vous pouvez sortir du bain.
Je vais faire du café et nous en parlerons.

C'est incroyable.
Il vient quand tu siffles.

J'ai élevé ce cheval d'un bébé.

- L'avez-vous déjà monté?
- Certains chevaux n'étaient pas destinés à selle.

Laisse-la partir, Chino!
S'il vous plaît!

Ensuite, je devrai la rattraper.

S'il vous plaît!

Je vais devoir travailler
sans vous emmener.

Je suis désolé, Chino.

Pourquoi t'es-tu énervé?

Je ne pouvais pas supporter de la voir effrayée.
Je me sentais comme si c'était moi.

Tu n'en as pas
de ton frère en toi.

Si tu l'avais fait, je ne le ferais pas
avoir tout ce sentiment pour vous.

Joli poulain.

Très beau.

- Premier, hein?
- Premier né sur cette gamme.

Vos racines commencent à prendre racine.
Oui, ça arrive.

L'homme cheval sauvage faisant
lui-même une maison.

Bientôt tu auras des rideaux
dans vos fenêtres.

- Vous l'aimez ici?
- Il y a de la bonne herbe, de la bonne eau.

- Allez-y, Morrel.
- D'accord. Écoute attentivement.

- Tu ne vas pas revoir ma sœur.
- Qu'est-ce qu'elle a à dire à ce sujet?

Rien. Je le dis!

Tu essaies de la revoir, je vais brûler
votre place vers le bas et vous épuiser.

J'ai du travail à faire.

Chino, tant que tu es
sur ma terre, tu fais ce que je dis!

Vamonos!

Viens ici, ma fille.

Voilà une fille. Venez ici.

Viens ici, ma fille.

Viens ici, ma fille.

Viens ici, ma fille.

Viens ici, ma fille.

Viens ici, ma fille.

Bon cheval.

Garçon?

Nous avons du matériel à faire.
On va faire un voyage.

Noir, tu prends bien soin
de vos dames!

Voilà comment les Indiens
enterrer leurs morts.

Ils veulent être proches du soleil.

Emmenez ces chevaux sur le côté.
Dépêchez-vous, maintenant.

- Jamie.
- Jamie.

Jamie.

C'est Little Bear. Je le scalpe chaque
mais il ne renonce jamais à essayer.

Jamie.

Ne vous laissez pas déranger.
Ils ne voient pas beaucoup les cheveux jaunes.

Quand ils retirent la meute du cheval,
vous les piquetez.

J'ai du travail à faire.

Moi Jamie.

- Jamie.
- Ouais.

Quel est ton nom?

Oh ouais, c'est un bon nom.

Très agréable.

Très agréable. Bien.

Vouloir échanger? Bon couteau.

Deux lames.

Commerce.

Comprendre?

Commerce.

Ouais?

Entrez, mon garçon.

Je n'ai pas pu dormir là-bas.
Je pensais que les Indiens étaient silencieux.

- Prenez cette couchette.
- Merci.

S'agit-il des Indiens
qui vous a submergé?

Oui, les mêmes.
Je vivais avec eux.

Je venais au nord du Texas.

Recherche d'un endroit, comme vous.

Je suis venu à travers ce pays rude
et est tombé avec une bande de Cheyenne.

La façon dont ils m'ont invité à rester
Je ne pouvais pas faire autrement.

- Ils t'ont capturé?
- Personne ne savait avec certitude.

J'ai aimé la façon libre dont ils vivaient,
alors je suis resté et nous sommes devenus amis.

- Pourquoi es-tu parti?
- Bientôt, il n'y en aura plus beaucoup.

Ni les hommes comme moi.

Quoi qu'il en soit, je voulais un endroit à moi
et j'en ai un maintenant.

J'ai aussi eu un problème.

Je suis ici pour réfléchir.

Chino
Combien de temps allons-nous rester?

Nous partons dès le matin.

Merci.

Merci.

Merci.

- Mocassins.
- Ressemble à des mocassins.

J'ai troqué mon couteau.
Le bon que j'avais.

C'était cette fille indienne
qui les a fait.

Tu es venu ici pour grandir,
n'est-ce pas?

- Et tu grandis.
- Oui monsieur.

- Eh bien, voici ton arbre.
- Mon Dieu!

Obtenez nettoyé,
nous allons en ville.

Que font-ils?

Jouer quelque chose
cela s'est passé il y a longtemps.

Les statues sont Joseph et
la Vierge Marie à la recherche d'un abri.

L'enfant Christ est sur le point de naître.

Allez-y et faites-vous
quelques amis.

Nous n'avons pas beaucoup de temps.

- Votre frère est venu me voir.
- Je sais, Chino.

- Il m'a averti de rester loin de toi.
- Je m'en fiche.

J'étais en train de penser.

Et j'ai pris ma décision.

Nous devons nous marier.

Oh, Chino.

Je prends l'autre porte.

Je parlerai au prêtre
et prendre soin de tout.

Rendez-vous à l'église le matin
après Noël.

Très bien, tout le monde en prison.

Mec, tu retournes au ranch.
Vous ne verrez pas Chino pendant un moment.

Chino!

Le shérif m'a laissé sortir pour Noël.

Que je sois damné. C'est la plus jolie
Sapin de Noël que j'ai jamais vu.

J'ai quelque chose pour toi.

Je l'ai fait moi-même.

C'est un beau travail, Jamie.
J'ai aussi quelque chose pour toi.

C'est dix fois mieux
que mon dernier couteau.

Cela s'est avéré être
un bon Noël.

Je parie que c'est encore mieux que celui de Morrel.

Même s'il a de l'argent
et une grande maison et tout.

Cette maison n'est pas grande, mais elle est solide.

Moi aussi, je l'ai construit. Et maintenant
que je vais me marier

Marié?

Oui. Je vais
d'épouser Catherine, Jamie.

Il était temps que j'élève une famille
ainsi que des chevaux.

- Cela signifie que vous vivrez chez Morrel.
- Pourquoi devrais-je le faire?

- Tu ne vas pas l'amener ici?
- Une femme va où est son homme.

Je sais que l'endroit doit être réparé.

Tout ce que je dois faire c'est ajouter une chambre ou deux
hors de la chambre.

Et j'en aurai un
gros poêles Franklin, -

- pour qu'elle puisse faire de la pâtisserie
ainsi que la cuisine.

Quelques tapis de peau sur le sol.
J'aurai besoin d'un nouveau lit.

Elle n'aura donc pas à faire bouillir ses vêtements,
elle peut utiliser ce bac ici.

Je vais lui faire une nouvelle planche à laver
et l'un d'eux essoreuses.

Je ferais mieux de mettre Macho dans l'écurie.

- Où est Chino?
- Je l'attends.

Rentrer chez soi. Vous ne devez pas l'épouser.

Tu ne peux pas me dire quoi faire.

Si vous insistez, je le tuerai.

C'est ton choix.

Mais vous vous souvenez, à l'avenir,
ma vie est la mienne.

Padre?

Tu dois me pardonner, père.

Assez.

Si je te vois sur ma terre après aujourd'hui,
Je n'arrêterai pas le fouet -

- jusqu'à ce que tu sois mort.

Allons-y!

Je vais chercher le shérif!
Je vais chercher le docteur!

Aidez-moi à monter dans le wagon.

Petit ours!

Petit ours!

Chino est blessé!

Chino!

- Chino.
- Qu'est-ce qui ne va pas?

- Je pensais que vous étiez mort.
- Je ne meurs pas aussi facilement.

Jamie, tu as fait la bonne chose,
m'amener ici.

Vous retournez au ranch et prenez
soin des choses. Je serais là.

Chino!

J'ai ramassé ton chapeau en ville aujourd'hui.
Chino, qu'est-ce que tu vas faire?

Je vais prendre une tasse de café,
et demain nous avons du travail à faire.

Ils disent, en ville, si vous restez ici,
ils vous chasseront ou même vous tueront.

Non, ils ne me tueront pas.

J'ai laissé beaucoup d'endroits
mais seulement quand je le voulais.

- Elle n'aurait pas dû faire ça.
- N'en dis pas plus.

Tout est fini.

- Qu'Est-ce que c'est?
- Quelque-chose ne va pas.

C'est le premier, indien!
Votre haras est le suivant!

Pourquoi, Chino, pourquoi?

Revenez en arrière et faites vos affaires.

Il y a le goujon.

Allons le chercher.

Venga!

Prend le.

Il tire sur ses chevaux.

Non, il les effraie.

S'il ne les garde pas,
personne ne le fait.

Morrel, je pars!

Dites simplement le mot,
et c'est un homme mort.

Baissez vos armes.

C'est fini.

Jamie, tu peux avoir Buck,
mais gardez à l'esprit qu'il est un cheval Valdez.

Je veux aller avec toi.

Non, nous allons de différentes manières.
Vous avez votre propre vie.