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C 'est bien mieux. N 'oubliez pas de
ramener les bras jusqu 'à l 'arrière.

On regarde loin devant, toujours.

Germain est aussi directif avec Audrey
qu 'avec Molly.

J 'adore.

Voilà.

Ça rentre bien, ça.

Faites attention au match, les
centimédiades.

Je savais que ça vous plairait.

Et vous avez vu l 'exposition ?
Impeccable.

Il y en a le soleil toute la journée.

C 'est ça.

Vous avez vu ce panorama ? C 'est beau,
hein ? C 'est

grandiose.

Seulement grandiose.

Et vraiment, Ingrid et moi, on tenait à
vous remercier, Sarah, d 'avoir pu

négocier avec la propriétaire l
'allocation d 'une partie de ta sublime

Avec grand plaisir. J 'espère que vous
serez bien ici. Je pense.

Et elle est sympa, la propriétaire ?
Elle est très conviviale.

Je dirais même familière. Voilà, on peut
dire qu 'elle est tactile. Oui, c 'est

ça, très tactile.

Vous voulez visiter l 'intérieur ? Oui,
allez -y.

Parfait.

Il a vraiment bon son.

Vous pensez, Sarah, que la propriétaire
a fait du raison de vous ? Bien sûr, je

prévenais Madame Flora que vous étiez
pianiste.

Un pianiste de talent.

C 'est vrai, Sarah.

Gilda, c 'est un pianiste talentueux.
Mais en vacances, je préférais qu 'il s

'adonne à d 'autres talents.

N 'est -ce pas, mon chèque ? Je n 'en
doute pas.

Je vous montre votre chambre ?

Oh oui, la chambre.

Juste comme on l 'aime.

Viens l 'essayer, mon pire.

Oui.

C 'est vrai que le sommet, c 'est bon.

C 'est bon ? Après, vous allez voir
comment on fait en action.

Flora est en bas, à la petite nuit, avec
son gigolo des germes et la jeune

veuve. Ça laisse du temps.

Et à part le piano, M.

Ingrid, seriez -vous partageuse pour me
faire découvrir les autres talents de

Gilles Duff ?

Oh !

Oh mon dieu

T 'as un crachat dans le cul, continue.

Oh, c 'est bon, c 'est bon, ça te gêne
pas ? Brôle -moi un peu le

cul.

T 'as une fente de doigté dessus ?

Oh, tu me donnes envie de me faire
enculer.

Oui,

ça t 'invite à m 'essayer.

Je me sens enfilée en premier.

Elle a l 'air délicieuse.

T 'es un allemand chabilé.

T 'as un très beau cul, mais un peu
lourd.

Tu l 'as pas trouvé trop lourd quand tu
l 'as peloté tout à l 'heure, Germain ?

Ah bon ? C 'est vrai ça, Germain ? Elle
confond tout.

Tu confonds ploter et maintenir.

C 'est une mauvaise foi.

Tiens -la maintenant.

Va te sécher. Il y a des serviettes au
chalet. D 'accord ? Germain, je veux te

parler. Tiens. Oui ?

Je me suis demandé de me rendre service
aujourd 'hui.

Tu vas baiser mon amie Audrey.

Tu sais que depuis la mort de son mari
Cédric, il n 'y a plus qu 'un an, elle n

'a pas connu le plaisir physique.

Elle vit sans amour et puis elle est
devenue complètement dépressive.

C 'est vrai qu 'elle ne mourit jamais.

Tu vois, même toi tu t 'en as aperçu.

Tu te rends compte, un an sans...

plaisir physique.

Moi, imaginer un jour son baiser, je ne
peux pas, moi.

Je suis sûr qu 'avec toi, c 'est matin,
midi et soir.

Bon, sérieux, mon chéri. Il faut lui
redonner la joie de vivre.

D 'accord ? Tu vas aller la rejoindre et
tu vas la baiser.

Il lui faut ça.

Il faut lui remonter le moral.

Ça peut compter sur toi ?

Bof. Écoute, si tu y tiens, j 'y vais.

N 'épouse pas trop, Germain. Je vois
bien qu 'elle te plaît.

Bon, tu vas la rejoindre dans le chalet.

Une fois qu 'elle sera vaincue par ton
charme, tu la mènes dans une chambre de

rez -de -chaussée.

Moi, par contre, il faut que j 'effile.
J 'ai rendez -vous avec Sarah.

Elle doit venir avec la troupe. Tu sais
qu 'elle est où pour la semaine.

Allez, à tout à l 'heure, mon chéri.

Eh bien, il est vraiment temps que je m
'occupe d 'elle.

C 'est quelle la moitié de ta vie ? T
'es encore jeune ? En pleine forme ? Je

sais tout ça, Jean -Marc, mais c 'est
dur. C 'est démoralisant de vivre ça.

C 'est bon de sentir ton corps chaud
contre moi.

Dis donc, t 'as trouvé l 'homme idéal,
toi.

Il joue aussi bien du piano qu 'il nous
baisse.

Attends, je rentre. Voilà.

J 'adore quand tu me suis fait chier.

Merci à vous.

J 'ai envie de me branler avec.

Vas -y.

Tout en foutre, oui.

Sur ma chatte. Vas -y.

Il ne me reste plus qu 'à vous souhaiter
un bon séjour.

Merci, ma chérie.

Écoute, passe, prends de la nouvelle à l
'occasion.

Oui, avec plaisir.

Je passe cette après -midi. C 'est
parfait.

Oui, j 'ai quelques coups par terre. Est
-ce que tu peux me guider jusqu 'au

supermarché ? Oui, bien sûr.

T 'as qu 'à me suivre avec ta voiture, c
'est pas loin.

Bon, c 'est super.

Bon, mon chéri, je t 'abandonne.

À tout à l 'heure. À tout à l 'heure.

Tiens, tiens, elle se tais -toi.

Elles sont devenues intimes très vite.

Quelle garce, alors ! Ah oui, il faudra
que tu me dises tout, Sarah.

Je veux tous les détails.

Gildas, vous jouez merveilleusement.

Vous savez que vous êtes le premier à
jouer sur ce piano depuis la divorce

mon mari ? Oh, il est pianiste de
domitique ? Non, pas du tout. Mon ex

'est un businessman frénétique.

C 'est d 'ailleurs pour ça que nous nous
sommes séparés.

Il ne pense que à faire de l 'argent.

Mais il a un certain talent.

Dans son atelier notes, Il joue des airs
connus ou il aime pas vite pour se

détendre.

Vous jouez du classique aussi ? Je
commence, Flora.

Et vous savez, c 'est difficile pour un
pianiste comme moi, qui joue

principalement du jazz et de la variété,
d 'être accepté dans le petit milieu du

classique, qui est relativement fermé.

Oh, ça a l 'air un peu comme vous êtes,
Vildad ! Vous y trouverez très vite

votre place.

Accepteriez -vous de jouer pour moi un
monstre d 'un grand compositeur, le bas

d 'or ? Bien sûr, Flora, avec grand
plaisir.

Encore faut -il que je le connaisse,
évidemment.

Vous devez le connaître.

C 'est le prélude en D majeur de Jean
-Sébastien Bach.

Ce n 'est pas vrai.

Mais vous avez de la chance.

Je le travaille justement en ce moment.

Ah, mais c 'est super !

Eh bien, jouez -le pour moi.

Oui, avec grand plaisir.

Juste que pour le moment, je ne le
connais pas par cœur. Donc, il me

partition. Et je l 'ai dans la chambre.
Je vais le chercher.

Eh bien, allez -y vite. Allez -y la
chercher.

Il joue si bien. Il est beau.

Il a fait manquer sa lecture.

La flora n 'a pas monté au plafond quand
elle va voir le total.

Elle est contente.

Je fais peut -être une petite remise,
même dans sa chambre comme la dernière

fois.

Merveilleux !

Merci pour le compliment, Flora. Mais
vous savez, je peux faire mieux.

Je peux faire beaucoup mieux.

Mon toucher doit s 'améliorer.

Oh, c 'est bien.

Je le trouve absolument parfait.

Oui, c 'est parfait.

C 'est bien, non ? Oui.

Touche -moi.

Touche -moi les soeurs.

Votre musique est tellement excitante.

Désolé, Flora, je repartrai plus tard.

Ah ben non, voyons, Alberto.

Au contraire, approche.

Encore approche.

Ah, Gilda, je te présente Alberto, mon
garagiste.

Bonsoir.

Ça ne te dérange pas, Gilda, si
Alberto...

C 'est vous qui décidez.

C 'est trop mignon.

Alors, Alberto, d 'abord on baise et
après on va négocier la facture de ma

voiture.

On ne peut rien vous refuser.

Ça remonte au pied du jour.

Merci.

qui va être le premier.

J 'ai l 'asthme, je viens de mentir.

Tu l 'auras, avec ta vie.

Merci d 'être venu.

Je laisse tout, tous les derniers
gouttes.

J 'adore.

C 'était super.

Vous vous entendez bien tous les deux.

Je ne connais que déjà.

C 'est le talent d 'Alberto.

Mais quel plaisir j 'ai pris en
découvrant ta

virilité, Zildas.

La bite d 'un garagiste est celle d 'un
pianiste

qui baisse à l 'unisson. C 'est une
expérience art.

renouveler absolument.

Bonjour. Bonjour.

Bonjour. Vous êtes ? Une grippe,
enchantée. Louis est parti de la maison

mon copain Gilda.

Ah, très bien.

Enchanté. Moi, c 'est Germain. Je suis
le maître connageur de la villa.

Et moi, je suis Audrey, une amie de
flamme.

Ça ne te dérange pas de voir ton âme
tripoter fora ? Pas du tout. On est un

couple libertin. Tout à l 'heure, il
nous avait dit, Ara et moi, une sacrée

chaude à celle -là.

Oh, cool ! Vous êtes un couple moderne.

Bon, ben moi j 'ai pas envie de les
déranger.

Par contre, j 'irais bien à la piscine.

Je suis pas une très bonne nageuse.

J 'ai un oeuvre, vous m 'accompagnez ?
Avec grand plaisir, Ingrid.

Vous pourriez me donner des conseils ou
quelque chose ? Bien sûr.

Ça ne te dérange pas Audrey ? Oh non,
pas du tout. Moi, je vais aller faire un

petit test.

T 'es trop tentante, toi.

Mais qui es -tu ? Celle qui vient de
lécher ton gode.

Qui ? Celle -là.

Tu aimes ma langue ? Oui.

vous disiez, baisez -moi, baisez -moi
encore.

Mais trop de texte gâche le plaisir de
recommencer.

Et moi, j 'adore.

Et puis vous, il vous faut recharger des
batteries, non?

Allez, faisons une pause.

Et je vous promets, les séries, la
journée est loin d 'être finie.

Et puis, allez -y à la piscine. profiter
un petit peu. A tout à l 'heure.

A tout à l 'heure.

Tiens, finalement, j 'ai fait son
conseil.

Je vais aller faire un petit tour à la
piscine.

Tu viens ? Moi, pas.

Moi, ça ne me dit rien. Je pense que je
vais rester plutôt les arts du soleil.

Fais attention au coup de soleil, quand
même.

C 'est bon.

J 'ai l 'impression de flotter sur l
'eau.

C 'est agréable.

Vraiment, c 'est très agréable.

Il y a bien d 'autres choses que tu peux
faire, ma chère Ingrid, avec deux

hommes forts.

Tu l 'imagines ? J 'ai beaucoup d

'imagination, Alberto.

Et vous me baisez où ? Dans l 'eau ou
sur la pelouse ?

Et au frais à la maison de cette tante ?
Je m 'en fous, mais bisez -moi.

Allez, venez.

C 'est une histoire.

Regardez, les filles, il y a Gildas qui
est tout seul sur la terrasse.

Je vais s 'ennuyer, le prof.

Vous savez, les filles, il m 'a baisé
tout à l 'heure et j 'ai pris un pied.

Mais un pied.

J 'ai cherché ça à l 'homme.

Et puis, on l 'offrait comme un dessert
après notre partie de jambon l 'air, les

filles.

Ça vous dit, mademoiselle ? Carrément.

Les queues, tu vas baisser encore mieux.

Ben,

Audrey, j 'ai pas encore fait peur.

Allez, Audrey, tu vas te régaler.

Ah oui, je savais que tu allais penser à
ça.

Je n 'en déteste pas.

Allez, Sarah, profite de ça.

Merci.

Qu 'est -ce que tu fais, Sarah ?

Je vais te faire goûter à mon petit
Audrey.

Merci.

Surtout pas avec le thème du film prévu
dans nos majeurs de Jean -Sébastien

Bach. Parce que moi, Jean -Sébastien
Bach, c 'est vraiment tristelet.

On pourrait faire peut -être autre
chose.