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Sous -titrage Société Radio -Canada

Sous -titrage ST' 501

Comme tu es sucrée, ma chérie.

Tu es mon dessert.

Profitons -en avant que les deux
emmerdeurs nous tombent dessus.

Les emmerdeurs, tu dis ? La patronne, tu
la trouves pas si emmerdeuse que ça. Je

dirais même que tu la trouves plutôt
bien, l 'emmerdeuse.

Tu ne vas pas être jalouse d 'elle.

Moi, je n 'ai pas la chance de pouvoir
exciter le boss comme tu arrives à le

faire.

Faut conserver mon job.

Je suis obligé de passer à la casserole
avec madame.

D 'ailleurs, quand je dis exciter le
patron, je joue les innocents.

Parce que toi aussi, tu as dû y passer à
la casserole. Moi ? Ça jamais, tu me

prends pour qui ? Je ne suis pas une
pute comme toi.

Une pute sournoise, hein ?

Avais -tu le devoir d 'avoir vu le
brasier ?

Caresse

-toi bien.

Oh,

oui,

laisse -moi.

Oh ! Oh

!

Excuse -moi.

Prends -la bien dans ta bouche.

Oui,

enfonce

-la bien à fond.

Oh ! Oh ! Oh !

Je suis à toi.

Dépense -moi.

J 'aime ça.

Encore plus fort.

Et je suis...

Sous -titrage ST'

501

Sacha, et vous, Claudia ? Et moi, si
vous prenez pour une jeune fille timide,

sortez immédiatement. Nous réglerons ça
plus tard. Dépêchez -vous d 'or !

Vraiment, on aura tout vu ici. Et vous,
on en prend à ton aigle, est -ce que je

vois ? Vous allez avoir affaire à moi.

Femme trompée, tigresse en furie, la
croisière s 'annonce tendue. On la

elle va sûrement trouver très vite une
solution.

Ah, bravo, c 'est de joli.

Mais regardez -moi ça.

Ça ne va pas, ma chérie ? Oh non, c 'est
rien. Le changement d 'air me rend

nerveuse, mais ça va passer.

On va bien t 'installer. Je t 'en
remercie.

Et puis après, je vais aller faire
quelques courses, car nous manquons de

Ça sera long. Oui, parce que je dois
aussi aller prendre Violette, avec qui j

'ai rendez -vous, mais je ferai vite.
Fais ce que tu dois, chérie.

Tu vas bien.

Occupez -vous de lui, mademoiselle. Bien
sûr.

Bon, repose -toi.

Je te promets que je ferai le plus vite
possible.

Allez, au revoir, mon amour.

À tout à l 'heure, Josette.

Allez,

viens là, toi.

Fais -moi fort dans tes bras.

Tu sais, je t 'aime, je te veux. J 'ai
tellement hâte que tu sois ma femme.

Moi aussi.

Je commence quand même à trouver le
temps un peu long.

Qu 'est -ce que ton avocat a traîné
comme ça pour le divorce ? Tu ne crois

que ça a fait durer de jouer cette
comédie ? Mais tu sais très bien que

sommes mariés sous le régime de la
communauté, Isabelle et moi.

Ça ne te ferait pas de la peine de voir
la moitié de ma fortune partir pour une

simple séparation ? Écoute, il faut
faire ce que nous a dit Maître Bargue.

Dès que nous aurons les éléments qu 'il
nous a demandé.

Ainsi, nous pourrons faire tout ce que
nous voudrons à leur patience.

Je sais, tu as raison.

Mais tu sais, je t 'aime tellement.

Il m 'est tard de devenir la nouvelle
Madame de la Veine.

Joseph de la Veine. Ça sonne bien, non ?
C 'est quand même mieux qu 'Isabelle de

la Veine. Allez, ne fais pas la tête et
profitons de son absence.

Je n 'y arrive pas.

Je ne sens que l 'excité. A tout de
suite, mon chéri.

C 'est la mort.

Mets -toi à genoux.

Je vais te prendre comme ça.

Oui,

encore.

Laisse -moi m 'écarter, que tu ailles
plus profondément.

Vous avez vu, les patrons de l 'érotique
sont arrivés. Ah ouais, c 'est fini la

belle vie pour Sacha.

Faudrait pas exagérer, elle est pas si
mal roulée que ça, l 'atelier.

Moi, je me laisserais bien faire pour un
petit coup.

Vous avez entendu ce qu 'il en dit,
Sacha ? C 'est une rongeuse de santé, il

en fout jusqu 'à plus. C 'est pas vrai,
Lucien ? Bah ouais, c 'est une vraie

nympho. Vous êtes tous des jaloux, oui,
parce que vous pouvez pas vous la mettre

sur le bout du nœud, vous critiquer.

C 'est pas un coup pour... Et à propos
du petit coup, je vous remets un quart ?

Tricard, ouais, c 'est exactement ce qu
'on est. Question, on s 'avalait des

gonzesses de cette classe -là.

Arrête ça.

Tu veux un peu d 'eau ? Ouais, c 'est
ça.

Moi aussi.

Mais attention, ça fait rouiller.

Merci.

Bonjour. Bonjour.

Une coupe, s 'il vous plaît.

Il n 'y a pas de coupe ici, ma petite
dame. Pour la coupe, c 'est chez le

coiffeur en face. Moi, je n 'ai que du
blanc.

Bon, eh bien, un blanc, je vous prie.

Merci.

Pardon.

Pardon, excusez -moi, monsieur.

Est -ce que vous connaîtriez un skipper
très expérimenté qui pourrait être

disponible dès demain matin pour une
croisière d 'un mois ? Peut -être, mais

pourquoi Sacha, il est malade ? Laisse
tomber, Lucien.

Bonjour, je me présente Marcel Bergugno.

Je crois que je suis votre homme.

Ah oui, si vous le dites.

Allons là -bas pour discuter.

Venez derrière, on sera plus tranquille.

Je suis.

Alors, qu 'est -ce qu 'il a encore fait,
le Sacha ? Vous savez qu 'il n 'est pas

d 'ici et pour nous, il a toujours eu l
'air louche.

Il trafiquerait des trucs sales que ça
ne m 'étonnerait pas.

Alors, si j 'ai bien compris, vous
voulez le remplacer par un garçon

Mais ce n 'est pas tout.

Je comprends, il doit être honnête,
réservé, sachant être disponible. Je

votre homme.

Vous voulez goûter du marin de plus près
?

Pauvre Guichard, il martèle. Se l
'embarquer comme ça.

Il n 'y a pas deux secondes, il crachait
sur cette gonzesse. Et maintenant, il

est en train de la faire monter au
septième chef. Je lui ai demandé de

à sa chatte.

Je veux que tu me donnes un bon coup de
cul de billard.

D 'abord, regarde -moi.

Je vais que tu me prennes comme si j
'étais une fuite.

Défends cette forme.

Oh, oui.

Oh, oui, viens me prendre tel qu 'il est
fort.

Oh, j 'ai ta chair.

Viens ! Viens !

Bonsoir. Il l 'a bien cherché aussi.

Eh bien, à demain, M. D 'Avignon. Mon
mari et moi -même serons très contents

vous avoir comme capitaine.

Eh bien, celle -là, elle ne manque pas d
'air.

Eh, vous avez le train, les mecs ? Eh,
on a vu.

Allez. Eh, c 'est le mien. Eh, reprenons
un autre, c 'est ma tournée.

Alors, ma chérie ?

Qu 'est -ce qu 'il se passe ? Je te
trouve bizarre.

Tu ne me fais pas la gueule, au moins.

C 'est à cause d 'hier, hein ? Allez,
dis -moi, c 'est ça ? C 'est parce que j

'ai tiré un petit coup avec Claudia ?
Elle n 'est rien pour moi, tu sais bien.

Toi seule comptes.

Je te trouve un peu culottée de me dire
ça après ce que tu as fait avec elle.

Détends -toi.

Tu sais bien que j 'ai envie de toi.

Ne me touche pas. Allez.

Tu aimes trop ça, hein, la lape ?

Viens.

Tu m 'excites, salope.

Je vais t 'inquiéter, j 'ai envie de...

Oh mon Dieu, elle est tellement
chérieuse ! Vas -y !

Sacha ne dîne pas avec nous ce soir ?
Non, et je pense qu 'il ne fera pas

de la croisière.

Mais qu 'est -ce qui s 'est passé ? Eh
bien, depuis peu, il souffre du mal de

mer. Et donc, il préfère rester à terre.

Tiens, c 'est curieux. C 'est bien la
première fois que j 'entends dire qu 'un

marin de carrière pouvait avoir le mal
de mer.

Décontracteur, mettons le pilote
automatique pour avoir les manies.

Ah, il fait si beau.

Regardez, je l 'éteins bien bronzé.

On pourrait au moins attendre qu 'on
soit en pleine mer, mon grand.

Claudia, mettez donc votre maillot de
bain.

Nous allons bientôt nous arrêter, ainsi
nous pourrons nous baigner, d 'accord ?

Bien, madame.

Allez, venez, ça va vous faire du bien.
C 'est haut. Mais non, il est juste deux

mètres.

Soyez pas si créatifs.

Tu vas goûter les joies de la mer, tu
vas voir comme l 'eau épale. Oui, tout

monde.

Merci.

Merci à tous.

Et voilà, on n 'a plus besoin de ça.

Alors, comme ça, on s 'envoie en l 'air
avec Sacha, mon capitaine. Oh, madame.

Eh bien, puisque c 'est comme ça, tu vas
me payer.

Si vous voulez, madame.

Petite salope, pour ta punition, tu vas
venir me cesser.

Et surtout, ne dis rien à personne, ou
alors je te débarque comme Sacha. D

'accord. Allez, maintenant, vas -y, suis
-moi bien.

Mouah !

Merci.

Non.

Pardon, madame. Oui, venir un instant.

Je reviens tout de suite, ma chérie.

Alors, elle est bonne, cette petite
baignade ? Non, mais dites donc, vous

coupez de vos affaires ? Qu 'est -ce que
ça veut dire ? Tu me rends pour un con

? Je crois que je ne vous ai pas vu, toi
et la caméra. Et alors ? Tentez un peu

plus pour m 'exciter.

Non, mais de quel droit vous vous
permettez ? Arrête de jouer, mijorez.

Viens, on va ouvrir les vannes pour
faire tomber la pression.

À droite, chérie.

Allez, suis -ce -ma.

Vraiment, les grosses poufiasses du port
sont des oies blanches à côté de toi.

C 'est vraiment la technique d 'une
pute. Allez, vas -y !

Je vais te défoncer le coiffure.

à Tribord.

C 'est bon maintenant.

... ...

...

...

Merci à tous.

pas souvent sur le pont.

Non, vous savez, monsieur Marcel, j 'ai
la peau très fragile, alors je me méfie

toujours du soleil. Vous savez, il y a
un tas d 'autres endroits sur le bateau

où il n 'y a pas de soleil. Oui, sans
doute, mais quel intérêt ? Il y a les

machines, vous savez, elles sont à l
'ombre.

Ça ne vous intéresserait pas de voir ces
monstres de puissance en pleine action,

le vrai cœur de ce bateau ? L 'odeur d
'huile surchauffée.

Vous savez, monsieur Marcel, je ressens
très bien ce que vous pouvez éprouver au

contact de ces machines.

D 'ailleurs, j 'ai toujours eu follement
envie de visiter cet endroit, mais je n

'ai jamais osé. Il fallait m 'en parler,
enfin.

Ça ne vous dérange pas ? Allez, venez,
je vous emmène. Vraiment ? Oui, d

'accord.

Attention, vous entrez dans les parties
intimes du navire.

Regardez, je ne vous avais pas trompé. C
'est décent, c 'est tant et moins qui

vibrate.

C 'est drôle, je pensais que c 'était
plus sale que ça, mais qu 'est -ce qu

fait chaud ici.

Arrêtez -vous donc à l 'aise.

Et ici, c 'est si propre qu 'on pourrait
manger par terre ou même faire autre

chose. Ah oui ?

Et enfin, qu 'est -ce qui vous prend ?
Enfin ! Laisse -toi faire. Non.

Oh mon dieu !

Vas -y, lubrifie -moi bien le fiston. Il
y aura plus d 'étanchéité dans le

pressé -toupe.

Oh, il suce bien, ma salade.

Oui, vas -y.

Mais viens, relève -toi.

Je vais te prendre.

Oh, mais tu mouilles comme une salope.

Tu le sens bien, mon gros pisson ?

Laissez -nous.

D 'accord, tu vas me sucer. Non.

Tu vas t 'exciter, vite.

Allez, vas -y. Allez, du lit de perche.
Non.

Je vous balance tous les deux.

Suceux. Allez.

Ça va aller.

Et toi, continue de la besogner. Elle
sera plus ouverte que moi. Tu diras

Il suffit, je l 'ai dure. Je vais lui
faire un rodage de soupape dont elle va

souvenir. Allez, dégage.

Déshabille -la et tiens -la, cette
chienne, que je la baisse bientôt.

Tiens -la bien.

Écarte -la.

C 'est le grand jour. Ta rivale va être
destituée. Ils sont tous réunis dans le

salon pour le passage du pouvoir.

Viens, mon grand.

Prends -moi une dernière fois dans l
'illégalité.

Demain, tu seras mon amant officiel.

Où es -tu, moi ?

Viens me sucer.

Rien que toi qui sais me la faire bonder
aussi grosse.

Oh,

et

fais -moi gorge profonde.

Je te veux, viens.

Viens.

Ouais, comme ça.

Penche -toi bien en avant, je vais te
régaler, ma chérie. Comme tu aimes,

-toi.

Ouais.

Tiens, enfoie bien ma grosse bite dans
ton nez.

Tu te sens bien sur mon perchoir.

Fais -toi fondre. Je veux sentir ton jus
sur mes couilles.

C 'est trop bien.

Tu t 'assieds, ton esclave, ton objet !

Veuillez avoir l 'obligence de me
réserver une coupe de champagne, s 'il

plaît. Avec plaisir, mon cher.

Merci.

Un petit verre aussi, cher Matelot ?
Volontiers.

... ...

...

...

Vous avez cru vous être joué de moi tout
ce temps, mais à malin, malin et demi,

j 'ai simulé cette infirmité pour mieux
vous piéger.

Vous aviez cru me tenir en pensant que
la moitié de la fortune et de la veine

vous reviendraient si je divorçais. Eh
bien, c 'était une grossière erreur, car

j 'ai maintenant les preuves
irréfutables de votre forfaiture. Mon

ainsi demander le divorce et vous aurez
tous les torts, ce qui me permettra, dès

qu 'il sera prononcé, d 'épouser Josette
que vous connaissez.

Viens, chérie.

Ma chère et tendre garde malade va dès
aujourd 'hui vous remplacer.

Venez, Josette. Allons sabrer une
bouteille de champagne loin de ces

Mais je ne m 'attendais pas à ça.

Régalez donc, madame. Elle n 'aura pas
tout perdu, n 'est -ce pas, ma chère ?

Elle nous a bien eus.

Ça ne m 'étonne pas de lui. Cet homme
est un véritable Machiavel.

Eh bien, que vous attendez tous ? Vous
avez entendu le maître à bord ?

Alors, profitez -en.

Tenez, exécutez ces ordres, messieurs.

Je suis à vous.

J 'ai envie que vous me preniez sur
cette table, Marcel.

Pourquoi moi ? Parce que c 'est vous le
responsable de tout ça.

Oh, j 'en ai marre de cette robe.

C 'est tellement chaud.

Au lieu de me regarder comme ça, vous
auriez mieux de me sauter.

Allez, Marcel.

Allez, dépêche -toi.

T 'es chienne.

Oui, viens.

Allez, vas -y, Franck.

Depuis le temps que je la désirais.

Allez, suce -moi bien.

Rentre comme dans l 'hiver

C 'est bon.

... ... ...

...

C 'est bon.

Rien que moi.

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