All language subtitles for Regardez le film That Man Bolt 1973 sur lookmovie2 en haute définition 1080p

Vous êtes Bolt ?
Jefferson Bolt ?

Bien fait. Je suis impressionné.
Mais je n'ai pas toute la journée.

Allez.
Demandez-moi ce que je veux.

Vous allez me le dire.

Vous êtes ici depuis une semaine.
Vous voulez que ça tourne à deux ?

Il n'y a que deux types de personne
dans le monde :

Ceux qui donnent des ordres
et ceux qui font les commissions.

Vous faites les commissions.
Ça, j'en suis certain.

Alors, faites votre commission.

Voulez-vous sortir d'ici ?
Oui ou non ?

- Persuadez-moi.
- Alors, d'accord, Bolt. Allons-y.

"Quai des traversiers
Hong Kong-Macau"

Votre ami est ici.

Il va aimer votre appartement. Je vis
dans une minuscule chambre d'hôtel.

On dirait que ça paye très bien
d'être un messager professionnel.

Ça doit au moins vous coûter 7 ou 8 mille
dollars de Hong Kong par mois.

- Pas vrai ?
- No. L'édifice m'appartient.

Vous me connaissez peut-être.

Ouais, vous m'avez mis sur la glace
dans cette glacière chinoise.

J'oublie quelles accusations
ont été inventées.

Quelque chose à propos d'avoir
agressé un policier que je n'ai jamais vu.

Eh bien, vous auriez dû
plaider innocent, mon vieux.

C'est ce que j'ai fait, mon vieux.

Six ou sept fois par jour
pendant presque une semaine.

Eh bien, c'est fini maintenant, et il y a
beaucoup d'argent pour compenser.

Eh bien, on vous a sûrement dit qu'il
y en avait assez pour calmer la douleur.

Eh bien, prends-la, bon sang !

Est-ce que c'était nécessaire ?

Il n'est pas très commode.

Il m'a fourré son.38 dans la bouche,
en me disant qu'il me le ferait avaler.

Je n'avais pas faim.

Allez, Carter. Arrête de faire l'idiot.
J'ai bien mieux à faire.

OK. Maintenant, c'est à votre tour.
Dehors.

Pas avant que je vous dise pourquoi
je me suis donné toute cette peine.

Eh bien,
je vais prendre une douche...

alors, vous n'avez pas grand temps
pour piquer ma curiosité.

Que diriez-vous de 20,000 $ américains ?
Nommez votre devise.

- À faire quoi ?
- Vous êtes un messager professionnel...

un des deux ou trois meilleurs
au monde, d'après mes notes.

Rapport d'Interpol : "Jefferson Bolt. Six
ans à transporter des cargos spéciaux...

De l'Afrique à Rome,
Amsterdam, Londres, New York.

- Trois tentatives de vous capturer."
- Quatre.

Voyons voir ce que les Américains
disent à votre sujet.

"Il possède une maison à Londres,
Los Angeles, Hong Kong et Paris.

Six voyages à Las Vegas
dans les derniers douze mois.

Pour affaires et loisirs." Et certaines
choses sont assez osées, mon vieux.

"Capitaine,
Forces spéciales des É.-U...

Diplômé de Cal Tech.
Maîtrise, MIT, en physiques.

Détenteur d'une ceinture noire.

A tué trois hommes à Rio deJaneiro
en 1969. Auto-défense.

"Confidentiel"
Travaille maintenant comme messager,
cautionné et autorisé...

se spécialisant dans les articles
de grande valeur et les devises.

Classé comme étant dangereux,
à surveiller."

Aimeriez-vous savoir ce que
les Anglais disent à votre sujet ?

J'ai déjà vu mon dossier.
C'est le même genre de racket.

Ne soyez pas modeste.

- Oui, vous êtes absolument le bon gars.
- Ah oui ? Pour faire quoi ?

Transporter un million de dollars
américains, de Hong Kong à Mexico via LA.

Vous partez mercredi.

Alors, pourquoi tant de pression
et une semaine dans cette sale taule ?

Disons de l'assurance. On avait besoin
d'un peu de temps pour tout rassembler.

De plus, on a pensé qu'il serait mieux
si vous saviez qui était en charge...

et qu'elles seraient les conséquences
si vous refusiez, mon vieux.

Vous être vraiment drôle, mon vieux.

Vous allez accepter.
Croyez-moi, vous allez le faire.

La semaine que vous avez passée
en prison n'était pas sans raison.

Ça nous a donné la chance de regarder,
entre autres choses.

C'est dans le chapeau, mon vieux.
On apprend toujours du nouveau.

J'en sais plus sur votre appartement
que vous.

Bien sûr, ça nous a pris un détecteur
de métal en fin de compte pour y arriver.

Vous deviez avoir un coffre spécial
caché à quelque part...

un endroit pour conserver des choses
que vous ne vouliez pas qu'on trouve...

comme des papiers et des dossiers
ainsi que des passeports supplémentaires.

Trois en tout. Avec des noms
et des pays divers.

C'est très illégal.

Maintenant qu'on se comprend, je n'aurai
plus besoin de ça, n'est-ce pas ?

Et bien sûr, vous voudrez avoir
votre passeport. Celui qui est légal.

À propos, on a pris ceci de votre courrier
le jour où on vous a enfermé.

Elle provient de l'Agence bancaire
internationale, d'un monsieur Martin.

Il mentionne un envoi
qui doit aller par messager...

et en fin de compte,
c'est ce million de dollars.

Seriez-vous intéressé ?
Et bien sûr, vous allez accepter.

Si vous voulez récupérer
tous vos documents illégaux...

vous allez obéir à ses ordres,
sans discuter.

L'argent vous rend nerveux
M. Martin ?

Quand il atteint cette somme, oui.

Je ne pensais pas que
vous seriez accompagné.

Je suis avec le consulat américain,
M. Martin. Département des douanes.

Je dois apposer un seau afin que notre
ami n'ait pas de problèmes à l'arrivée...

après que nous ayons enregistré
l'argent, bien sûr.

Nous préférons effectuer cette tâche
à notre bureau.

C'était son idée de me faire venir
à la banque. Il a facilement peur.

- Ça ne vous convient pas, M. Martin ?
- Je n'attendais personne, c'est tout.

Excusez-moi.

- Cinq liasses d'un sens, trois de l'autre.
- Oui, monsieur.

Cela va bien rentrer en place.

C'est vraiment très simple,
M. Martin.

Nous n'avons qu'à prendre note
des numéros de séries, c'est tout.

Je vais avoir besoin de reçus de vous
deux. Les 4 copies, tel qu'indiqué.

Eh bien, je crois que tout est beau.

Ça ne vous servira pas à grand-chose,
si quelqu'un le veut vraiment.

C'est vrai. Les menottes ne font que
ralentir les choses...

tandis que quelqu'un
me scie le bras en deux.

Oui ?

M. Martin de la banque est en ligne,
monsieur. Il dit que c'est urgent.

Ici M. Kumada.
Que se passe-t-il, Martin ?

C'est à propos de ce Bolt, monsieur.

Il avait un représentant des douanes
avec lui. Il a enregistré l'argent.

- Il a fait quoi ?
- Je n'ai pas pu l'empêcher, M. Kumada.

Ça va, Martin.
Je vais m'en occuper.

Quand est-ce que Bolt doit arriver
à Los Angeles ?

Demain midi.
Sur le vol Pan American 846.

Vol 846.

Voulez-vous quej'entre en contact
avec nos gens à Los Angeles ?

J'ai dit que je m'en occuperais !

Je vais m'occuper de tout.

Attention, s'il vous plaît.

Tous les passagers sur le vol Pan American
846 en provenance de Hong Kong...

veuillez réclamer vos valises
dans la zone des douanes...

Ils ont appelé pour m'avertir.
C'est quoi, le fameux diamant Hope ?

Tous les passagers
doivent se rendre à l'immigration.

Pourquoi ne pas m'accrocher
une pancarte au cou, George ?

- Désolé. J'ai perdu la tête.
- Bienvenue à Los Angeles.

Je ne transporte que des documents
d'affaires de nos jours.

Ça paye moins,
mais ça dure plus longtemps.

Je vais devoir aller
chercher vos valises.

Je les ai envoyées hier.

Eh bien, c'est tout alors.

"Personnel autorisé seulement"

Il doit être grand et foncé,
spécialement foncé.

Merci.

Le plaisir est pour moi.

"Renseignements"

Allo ? Hé, Mary ?
Ouais, c'estJames.

Je vais bien. Je viens d'acheter une
nouvelle voiture ! Oui, ma chère. Je...

Comment ? J'ai reçu
mon chèque du BS.

Elle est belle. Blanc sur blanc.
Oui, ma chère.

"Mexico"

M. Bolt au bureau des renseignements,
s'il vous plaît.

M. Bolt au bureau
des renseignements.

M. Bolt au bureau
des renseignements.

Pourriez-vous bouger, Monsieur ?
Juste sur le côté un peu ?

- Qui, moi ?
- Oui, monsieur, juste un petit peu.

Quand je voudrai, mon gars !

Tu vas te grouiller, le gros, ou
veux-tu que je te déplace moi-même ?

OK, DeVargas, grouille-toi.

Vous êtes... Oui, bien sûr que vous
l'êtes. Écoutez...

- Vous avez envoyé mes valises à Mexico ?
- Elles sont dans la voiture.

- Pourquoi sont-elles dans la voiture ?
- Il y a eu un changement de plan.

Parle, vite.
Quels changements de plans ?

On prend livraison ici au lieu de là-bas.
Qu'est-ce que ça peut vous faire ?

- Ça me fait de quoi. C'est des ennuis.
- Vous avez raison.

Ne bouge pas trop vite, mon Noir.

Ils ont dit qu'il avait les clés quelque
part sur lui. Fouille-le.

Vos amis à Mexico
sont au courant de tout ça ?

Donne-nous le magot et on va s'en
aller. Personne ne sera blessé.

Je l'ai trouvée. Lève-la pour que
je puisse y avoir accès.

N'est-il pas gentil ?

Charmant.

N'oublie pas de te laver les mains.

"Les entreprises Casino
Las Vegas, Nevada"

Désolé. Ce n'est que pour les résidents.
M. Bolt ! Je ne vous avais pas reconnu.

- Salut, Walter.
- Ça fait quelques mois que je vous ai vu.

Pourrais-tu stationner celle-ci pour moi
et apporter ma voiture ?

Elle est déjà là. Je l'ai descendu
quand vos amis sont venus vous voir.

- Quels amis ?
- Ils vous attendent dans cette voiture.

Baisse-toi, vite !

Charmant.

"Location de voitures de sport
et de classe économique d'occasions"

J'aimerais louer une voiture et
la ramener lorsque j'en aurai fini.

Pour une semaine environ.

"Hôtel-Casino Frontier"

"Casino Bonanza"

"Hôtel-Casino Stardust"

"Hôtel-Casino Flamingo"

"Spectacles continuels
18 heures sur 24"

"Caisse"

- Qui voulez-vous voir ?
- Connie Mellis.

- À quel sujet ?
- Il le saura quand je le lui dirai.

Dites-le-moi.

T'es nouveau ici, OK.
Tu ne me connais pas. Ça me va aussi.

Mais tu commences
à m'énerver, mon vieux.

Ça va rempirer, sale Noir.
T'as entendu ? Tu saisis ?

C'est difficile de saisir comme ça, hein ?
Et sinon, je vais te briser le pouce.

Allons voir Connie. Il va peut-être
te donner une augmentation.

Alors, pousse dessus. Allez, pousse !

- Dis à cet idiot d'arrêter de m'énerver.
- Mickey, calme-toi.

- Et je vais me laisser faire pour ça ?
- Il fait parti de la famille.

De toute façon, il balayerait le plancher
avec toi. Assieds-toi.

Elaine, voiciJeff Bolt, un de mes amis.
Donne-lui la suite d'honneur, d'accord ?

- Tout ce qu'il désire. Absolument tout.
- Oublie ça. Il est sur écoute.

- Sam est encore ici.
- Ouais, je l'ai vu sur la marquise.

On me donne toujours
les grassouillets.

Désolé à propos de Mickey. J'ignorais que
t'étais en ville sinon je l'aurais averti.

Je commence à en avoir assez
qu'on me bouscule.

Quel idiot oserait te bousculer ?

Quelqu'un des Entreprises Casino
ici à Vegas essaye de me coincer.

On dirait que j'ai touché un nerf.

Les Entreprises Casino sont propriétaires
de 40% de cet établissement, c'est tout.

Personne n'a 40% de moi, et ce
qu'ils font n'a rien à voir avec moi.

Je ne pensais pas
que ça venait de toi.

- C'est ça qu'ils veulent.
- Qu'est-ce que c'est ?

Un gros bâton, en coupure de cent.

Assez lourd, hein ?
Peut-être un peu trop lourd.

Non, non.

Je vais faire examiner ça
aussi discrètement que possible.

Mais tu roules la maison. Il leur
appartient. Il me suit de près.

Il va savoir que t'es en ville, alors si
je t'aide, il vaudrait mieux faire vite.

Tu peux faire examiner ça dans ta salle
à monnaie. J'ai une idée à ce sujet.

- Camp ?
- Ouais, patron ?

Va me chercher Eddie et tout son
équipement. Et que ça saute !

Je le savais. Je le savais.

Les numéros de série...

Ils ont été imprimés par
une autre machine.

C'est de la fausse monnaie,
mais elle est vraiment bien faite.

La banque ne s'en apercevrait pas,
mais oui, maintenant que je l'ai vu.

A- t-il déjà fait erreur ?

Il est enfermé à longueur de journée
à examiner des billets. Pas vrai, Eddie ?

J'ai écopé de trois à dix à Folsom pour
m'être pensé aussi bon avec un burin.

Eh bien, j'étais pas aussi bon que ça.
Je n'ai jamais vu rien d'aussi réaliste.

- Merci beaucoup.
- Bonsoir, Eddie.

À plus tard.

Eh bien, ça éclaircit les choses.

- Comment ?
- On vient de m'appeler à ton sujet.

Tu vas me livrer ?

Ils ne l'ont même pas demandé.
Le gars à qui j'ai parlé a peur de toi.

J'ai dit, "Il veut juste être payé.
Payez-le et vous aurez vos trucs."

Tu sais ce qu'il m'a répondu ?
Qu'il s'en foutait si tu le mangeais.

Dans ce cas-là,
je vais pouvoir dormir.

Allez ! C'est beau !

Six. Un six Easy Way.
Le six Hard Way est ouvert.

On remplit les paris
à chaque coup de dés.

Vous jouez le montant au complet
Monsieur ?

Alors, vous avez un pari, Monsieur.
Six le gagnant. Six.

Douze. Gagnant sur la table.

Venez et pariez. Faites vos paris,
Mesdames et Messieurs.

Vous avez un pari, Monsieur.

- Allez !
- Rien ne va plus.

- Allez !
- Deux crap. Deux crap.

Faites vos paris,
Mesdames et Messieurs.

Six.
Le gagnant avec six.

L'argent joue.

- Vous avez du feu ?
- Pardonnez-moi.

Vous avez un beau bronzage.

Je le conserve à l'année.

Excusez-moi.
Je crois entendre mon taxi.

C'est ta Rolls-Royce,
et ne l'oublie pas.

Bon sang, t'as l'air plus belle que
le son de ta voix, si c'est possible.

- À vous de jouer, Monsieur.
- Je joue, l'ami.

- Désirez-vous une carte, Monsieur ?
- Qui a besoin de cartes ?

- Laisse-moi voir si tout est en place.
- Ça ne l'est pas ?

- Comment te sens-tu, Sam ?
- De mauvaise humeur et dépravée.

- Est-ce que ça te faire peur ?
- Je vais courir le risque.

Pourquoi mon cœur bat-il à tout rompre
et que je manque d'air près de toi ?

T'es empoisonné ?
Certains appellent ça "l'amour."

- Comment appelles-tu ça ?
- Tu le sais.

Toi et tes maudits beaux yeux bruns.
Tu le sais vraiment, n'est-ce pas ?

Paye sur 19.

Un de ces quatre,
je vais t'éteindre...

et te libérer,
si c'est la dernière chose que je fais.

Je ne le pense pas, Sam. T'en es
incapable. Pas plus que moi, d'ailleurs.

Paye sur 19.

T'as gagné, pour faire changement.

Eh bien, garde l'argent. C'est trop lourd
pour mes poches de complet.

Je te regardais faire. C'est quoi
cette routine de Nick le grecque ?

Juste une expérience. J'attends que
le chef vienne me dire "non-non."

Comment il s'appelle, Rockefeller ?

Ils me payent pour
que je me la ferme...

mais on pourrait aller faire de gentils
bruits à quelque part toi et moi, non ?

- J'aimerais bien.
- Ton prochain numéro est à quelle heure ?

Quand je me pointerai le nez.

Où est-il allé ?
Et le voilà.

T'as vite défait tes valises.

Je savais que t'étais ici.

- Ouais ?
- Connie ?

- Ouais, Jeff ?
- Je ne veux pas être dérangé.

Que dirais-tu de mettre un garde
à ma porte pendant un moment ?

- Pas de problème.
- OK, l'ami. Merci.

OK.

Plus de paris, s'il vous plaît.
Les jeux sont faits. Plus de paris.

"Lessive seulement"

C'est à ton tour, l'ami.

- Tu te trompes, Jeff.
- Fais-moi pas marcher, Connie.

J'ai utilisé la fausse monnaie au casino,
et attendu que ton expert le découvre.

Il n'a pas dit un mot.

Le truc d'imprimer le numéro de série
séparément, ça se fait toujours comme ça.

- Cet argent est réel.
- Je n'ai pas fait ça, Jeff.

Je le prends comme ça arrive,
mais Sam ne devait pas être impliquée.

Qu'est-ce qui se passe avec Sam ?

Elle est morte, perdue,
tout comme tu vas l'être.

Lève-toi.

Dans mon métier, Jeff,
c'est pas payant d'avoir des amis.

Je suis désolé à propos de Sam.

Tu sais qui ?

Ouais. C'était DeVargas.

Je savais...
qu'il était lié à cette affaire.

Il a des rapports avec un groupe
très puissant à Hong Kong.

T'as embrouillé ses plans...
L'enregistrement de l'argent...

pour qu'il puisse être retracé.

Et qu'en est-il
des Entreprises Casino ?

Ils ont abandonné.

Ils devaient doucement écouler l'argent
sur la table pour une commission.

Ensuite, ils ont eu peur.

C'est tout ce que j'ai appris avant
qu'ils ne m'utilisent comme sac de sable.

Désolé pour ton visage, Connie.

Eh bien, il n'était pas si beau avant.
Enfin, je suis toujours en vie, à date.

Et on va le rester, tant que
j'ai ça avec moi.

Que vais-je leur dire s'ils viennent
me tabasser encore ? Où seras-tu ?

Je vais aller venger Sam.

Dit leur queje serai à Hong Kong.

Je veux qu'ils sachent où je vais être
et ce queje vais faire...

pour qu'ils me poursuivent.

Alors, ça m'aidera à les trouver.

"Zone de retrait des bagages"

Désolé de vous avoir fait attendre.

Ça m'a pris du temps pour me renseigner
sur vos circonstances extraordinaires.

Faites ça vite. Je suis pressé.

On a vérifié auprès de M. Foster
au consulat américain.

Il a confirmé votre histoire.

Une transaction du genre de celle
que vous avez décrite...

a bel et bien eu lieu
entre vous et notre M. Martin.

Par contre, elle n'apparaît pas
dans nos dossiers.

Or donc, elle ne faisait pas parti
de nos transactions bancaires.

Nous présumons que M. Martin
faisait affaire privé avec vous...

chose qui est strictement défendue.

J'ai le pressentiment,
et il grandit rapidement...

que la santé de M. Martin s'est aggravée
depuis ma dernière rencontre avec lui.

On a retrouvé son corps au
Sommet Victoria samedi passé.

Le verdict du médecin légiste
est mort accidentelle.

Vous pouvez comprendre à quel
point nous sommes tous chagrinés.

Oui, bien sûr. Et j'imagine
que la banque s'en lave les mains ?

Une petite correction, M. Bolt.
La banque n'a jamais été impliquée.

Ah oui, vous êtes impliqué,
jusqu'à votre cou anglais distingué.

Vous pouvez dire à ceux qui vous engagent
qu'ils doivent me parler directement...

ou sinon je pars sans eux.

Au revoir.

Vous en avez mis du temps,
les gars !

"Feux d'artifice Ko Hung"

Qu'est-ce qui se passe, Doc ?

Comme vous le voyez, M. Bolt, l'art de
l'acuponcture peut causer de la douleur.

Il s'agit simplement de savoir
où placer les aiguilles.

Essayez de ne pas tacher
mes pantalons de sang, Doc.

Alors, dites-nous où est l'argent,
M. Bolt.

Désolé. Nous sommes fermés.

"Danger - Explosifs"

Charmant.

Bonjour.

Alors, là, c'est vraiment bien.
C'est vraiment bien, mon vieux.

Où avez-vous appris à esquiver
les gens comme ça ?

OK, l'ami, qu'est-ce qui se passe ?

L'homme au chapeau melon
veut vous voir.

Il commence à être temps ! Je faisais
assez de bruit partout à Hong Kong.

- Vous avez vos clés de voiture ?
- Ouais. Pourquoi ?

- J'ai besoin d'être raccompagné. C'est ça ?
- Ouais.

Écoutez !
Attendez, écoutez !

Ouvrez la porte.
Allez.

- Vous me retardez, mon vieux.
- Il a dit qu'il veut vous voir.

- Il m'a dit de ne pas revenir sans vous.
- Hé, ne vous énervez pas.

Je veux le rencontrer aussi. Vous savez
où se situe la route Ho Man Tin Hill ?

Je vais y être pendant la prochaine heure.
157 route Ho Man Tin Hill.

- 157 route Ho Tin Man...
- Non, non.

Route Ho Man Tin Hill.

- Route Ho Man Tin Hill.
- Bon garçon.

Route Ho Man Tin Hill.
Ho Man...

C'est ma voiture !

"Bains publics Fan Tan"

Homme veut bain à mille plaisirs ?

Non. On m'a dit que je trouverais
un ami ici.

- Un Américain, grand.
- Homme au chocolat, oui.

Eh bien,
je ne l'appellerais pas comme ça.

Il dit OK de l'appeler
homme au chocolat.

Chocolat avec grosses noix,
il dit.

- C'est lui.
- Attendez. Je vais l'avertir.

On vous demande.

Homme au chocolat dit vous venir.

Que diable faites-vous ?
Qu'est-ce que c'est ?

Écoutez. Je suis ici pour affaires,
mais pas pour ce genre d'affaires !

Cessez tout de suite.
À l'aide ! À l'aide !

À l'aide !

Vous avez vraiment essayé de me caler dans
un bol de chop suey, n'est-ce pas, l'ami ?

Vous l'avez fait en emmenant votre ami
de l'ambassade pour enregistrer l'argent.

- Après cela, c'était facile à retracer.
- Cela n'a rien à voir avec ça, le gros.

Vous m'avez initié à cette partie
de balle en premier lieu.

Est-ce que DeVargas
est l'un de vos licheux ?

Loin de là.
De toute façon, c'est "était," non ?

Il paraît qu'on la retrouvé
mêlé au linge sal.

Il a passé à la laveuse
plusieurs fois.

Je suppose que ce n'est pas
du nouveau pour vous, n'est-ce pas ?

Êtes-vous assez fluent en Cantonais
pour dire à Mme Godzilla...

que je n'ai vraiment pas
besoin de ça ?

J'ai pas l'impression
qu'elle me croirait.

Très amusant.

J'espère que vous serez toujours
de bonne humeur quand je vous dirai...

que la salle à bagages de l'aéroport
a été vandalisée et que tout a été volé.

Mon appartement aussi. Je vous le
dis, rien n'est en sécurité de nos jours.

Quelqu'un s'intéresse à la mallette
que vous avez emmenée ici avec vous.

Beaucoup de rats
savent que vous êtes en ville.

J'ai l'impression que vous allez passer
un mauvais moment, mon vieux.

Et c'est maintenant qu'il me le dit.

Un massage par jour
efface les rides pour toujours.

Est-ce qu'ils aplanissent le reste
avec du papier de verre ici ?

On me dit que vous vouliez me voir.
De quoi voulez-vous parler ?

Que connaissez-vous d'un endroit
du nom de Chen Fu ?

Ouais, ouais.
C'est une...

une île au large de la côte.

Ils ont un monastère bouddhiste.
C'est là que j'ai étudié...

l'art ancien de l'autodéfense.

Pourquoi ?

Il semble qu'ils ont corrompu l'art
un peu depuis votre départ, mon vieux.

C'est maintenant une école pour tueurs.
Ils entraînent des assassins de partout.

M'entendez-vous ?

Allo.
Je répète, êtes-vous là ?

Ouais.

On me dit que c'est dirigé par
un vieil homme, un ancien moine.

C'est un retour au système
Samurai, apparemment.

Dès que vous les engagez,
et payez leur tarif...

ils accomplissent tous les assassinats
qui leurs sont attribués.

Même si on ne peut pas
être absolument certain...

il semble que quelqu'un a fait
beaucoup d'efforts...

pour engager un tueur
tel que Chen Fu...

et que vous êtes la cible.

Araignée.

Je suis plutôt curieux de voir celui
qu'ils vont engager pour vous tuer.

Restez dans le voisinage, l'ami,
et on va le découvrir ensemble.

En passant,
qu'est-il arrivé à l'argent ?

L'argent ?
Ouais. Je l'ai dépensé.

Est-ce que vous coopéreriez plus
si je vous disais qui je suis ?

Je le sais déjà, l'ami.
Vous êtes du gouvernement.

Je le sais depuis le début. La question
qui reste à savoir, quel gouvernement ?

Celui qui est intéressé
à l'argent que vous avez dépensé.

Aimeriez-vous savoir
d'où il provient ?

Je me fiche d'où il provient.

Tant mieux.
Il vient d'un peu partout en Asie.

Marché noir, corruption, prostitution.
Un peu chaque fois...

jusqu'à ce qu'il y ait 10 millions
en beaux billets de 100 $...

avec juste un peu de la vieille
cochonnerie lui étant encore relié.

On sait au moins ça.
Mais il y en avait plus.

- Ah oui ?
- Il y a eu d'autres messagers...

incluant l'un des nôtres, qui a été trouvé
sur la côte de Macao récemment.

Vous avez été chanceux.
Vous êtes revenu.

Et ce n'est pas grâce à vous !

Et vous pouvez arrêter vos chansons
à propos d'être chanceux.

Je ne veux savoir qu'une chose :
Qui est-ce que je poursuis ?

Je pourrais vous le dire
si vous travailliez avec nous.

Y'en est pas question.

Je me fiche que vous soyez avec
la CIA, le CI D...

ou juste un simple policier.

Y'en est pas question. Une cible.
C'est tout ce dont j'ai besoin de vous.

Pour utiliser vos propres mots, mon vieux,
y'en est pas question.

Mais si vous travailliez avec nous,
les choses pourraient être différentes.

Eh bien, merci pour l'offre,
mais j'ai pas besoin de travail.

Je ne peux pas m'imaginer pourquoi ils
appellent ça le bain aux milles plaisirs.

Cela a dû tuer plus de Chinois
que la peste noire.

Réfléchissez-y bien. Les longs couteaux
sont pointés vers vous présentement.

Et vos chances de survie sont assez
minces, si vous jouez en solo.

Vous avez besoin d'amis.

Même de mauvais, comme moi.
Bonne journée.

C'est intéressant à lire,
n'est-ce pas ?

Spécialement du fait qu'un homme
revient tout le temps : Kumada.

Il est l'un des plus riches
marchant de l'Orient...

en plus d'être un banquier très respecté
et propriétaire de navires.

Il y a deux de ses bateaux-citernes en
quarantaine dans le port présentement.

Pourquoi sont-ils en quarantaine ?

Pour simples précautions.

Les deux bateaux-citernes sont
chargés à ras bord...

de produits chimiques stratégiques
en provenance des États-Unis.

De l'oxyde nitreux.
Des trucs du genre.

- Des explosifs.
- On me dit qu'ils sont sans danger...

en autant qu'on ne mélange pas
ensemble les oxydes ou les trucs.

- Mais en mélangeant ces deux navires...
- La moitié du port s'envole en fumée.

Précisément.

On dirait un cas assez sérieux.

Il est le produit de l'occupation
japonaise de la Chine.

Il est un survivant né.

Il a survécu à la Révolution chinoise,
à la conquête de Mandchourie...

il est finalement sorti par la Corée
avec presque toute sa fortune.

Évidemment, M. Bolt, c'est un homme
très puissant. Très puissant, en effet.

OK, Gouverneur,
vous cherchez à aboutir quelque part.

Et quand vais-je rencontrer
ce fameux personnage ?

Vous avez reçu ceci cet après-midi
à votre appartement.

Je me suis permis
de vous l'emmener.

Kumada vous invite à une réception
et à un souper ce soir.

20 heures, tenue de soirée exigée.

Je suis invité également,
ainsi que la moitié de la Colonie.

Bonsoir.

Bonsoir, M. Kumada.
Je vous présente ma femme.

Heureux que vous ayez pu venir.

M. Bolt, bien sûr.

Je commençais à penser que vous
ne viendriez pas. Je suis Kumada.

J'avais anticipé notre rencontre.

Alors, prenons un moment
pour faire connaissance.

Suivez-moi, s'il vous plaît.

Par ici, M. Bolt.

On ne nous dérangera pas ici.

On me dit que vous avez été ciblé
d'une certaine manière par un cadre...

Par un ancien cadre...
De la Banque Internationale.

Votre banque.

Il n'y a pas beaucoup de gens
qui sont au courant de ce fait, M. Bolt.

Très bien.
Je garderai ça pour moi.

Avez-vous raison de croire que je suis
lié de quelque façon à vos difficultés ?

C'est une bonne question.
L'étiez-vous ?

J'aime votre esprit, M. Bolt.

On ne m'affronte pas souvent sur
mon propre terrain, pour ainsi dire.

Peut-être si je vous montrais
quelque chose...

C'est un rapport sur Andrew Martin,
l'homme avec qui vous avez fait affaire.

Il provient de la police.

Il était grandement impliqué dans
un genre de réseau international.

Des faux-monnayeurs, sans doute.
Ça rend les choses nettes et propres.

Oui. Ces billets furent retrouvés
sur sa personne, en fait.

C'est de la très mauvaise qualité.

On vous avait apparemment donné...

un lot assez large de ces billets
pour les livrer à Mexico.

C'était l'idée générale du plan.

Et puis-je demander ce qui
est arrivé au cargo ?

Qu'est-ce que ça peut bien faire,
si c'était de la fausse monnaie ?

C'est pas l'argent qui me concerne,
bien entendu.

Mais ma banque est indirectement
impliquée par l'entremise de M. Martin.

Ça pourrait devenir gênant.

Ne vous inquiétez pas, M. Kumada.
Personne ne le retrouvera.

Vous l'avez détruit ?

Est-ce que je voudrais vraiment être pris
au piège avec un tas de fausse monnaie ?

Non, en effet.
Non, j'imagine que non.

En bien, alors,
je crois que l'affaire est classée.

Non, pas tout à fait.
Vous voyez, je n'ai pas encore été payé.

Vous êtes un personnage remarquable.
Très remarquable.

Votre banque est impliquée.
Indirectement, bien sûr.

Ça pourrait devenir "gênant,"
si je reprends vos paroles.

Je vais certainement y penser.

Il n'y a aucun doute que je vais décider
de vous donner ce que vous méritez.

Vous êtes venu précisément
au bon moment.

Nous allons célébrer
le Nouvel An chinois demain soir.

C'est le temps
de régler ses comptes.

Vous êtes familiarisé avec nos coutumes,
d'après ce que je vois.

Spécialement celle-là.

Toutes les dettes doivent être réglées
avant le début du Nouvel An.

Je règle toujours mes dettes
en entier, Kumada.

Excusez-moi.

Dominique Kuan, l'un des prix
les plus convoités de Hong Kong.

Ou devrais-je dire, l'un des prix
les plus convoités de Kumada.

On me dit
qu'il est extrêmement jaloux.

Te voilà, Miriam.
Je te cherchais partout.

Merci, mon chéri. Ça fait 20 ans
qu'on ne m'a pas cherché.

Venez,
ils font un duel dans le jardin.

On me dit que vous êtes étudiant
de karaté, M. Bolt.

Aimeriez-vous participer ?

Non, merci.
J'ai d'autres plans pour la soirée.

- Elle n'aime pas les sports sanguinaires.
- Ouais.

Araignée.

- Il est bon, je crois. Très bon.
- L'un des meilleurs, s'il survit.

On pourrait tous dire ça, M. Bolt.

Araignée est votre meilleur pupille,
n'est-ce pas ?

Il n'y a qu'un seul homme
qui est meilleur.

Le meilleur étudiant
que je n'ai jamais eu...

son nom... est Bolt.

De cela, en tant que Maître,
j'en suis certain.

Araignée n'est pas d'accord.

Cela devient donc
une question d'honneur.

Il préférerait mourir
plutôt que perdre.

Vous avoir comme connaissance
est une chose très dure pour mon coeur.

- Vous avez manqué un très bon repas.
- Non, pas du tout.

- Est-il ici ?
- Qu'est-ce qu'il y a ? Qu'est-ce qu'il y a ?

Lis ça, maintenant !
Lis ce que ça dit !

Ça dit,
"Bonne Année."

Araignée ! Araignée !

Est-ce la façon de procéder
d'un Maître de Ch'en Fu ?

Je croyais ne devoir être honoré
que par les meilleurs combattants.

Une autre fois, dans un autre endroit,
mon frère, si tu le désires.

Vous avez beaucoup de culot de venir ici.
Comment m'avez-vous trouvé ?

C'est facile.
J'ai demandé aux gens dans la rue...

où vivait la plus belle femme de
Hong Kong, et ils ont dit ici.

- Et me voilà.
- Menteur.

Ouais, c'est vrai.
Ça n'a jamais été mon point fort.

- Que veux-tu ?
- J'en veux encore.

Après ce que tu as fait !
C'était pas gentil du tout.

Tu sais qu'il m'a mis à la porte ?

II m'a frappé, et ensuite il m'a jeté
dehors. Juste à cause de toi.

Eh bien, je ne voulais pas que cela
t'arrive, Bébé-san.

Il va me rappeler.
Il le fait toujours.

Ensuite, il m'achète des cadeaux.

Et ensuite, je devrais lui dire
tout ce qui s'est passé.

Tu n'es pas le premier,
tu sais ?

Je suis surpris de l'apprendre.

Tu es sûr de toi-même,
n'est-ce pas ?

II m'a fait mal.
Regarde ce qu'il a fait.

- Est-ce que ça va mieux ?
- Beaucoup mieux.

Est-ce qu'il t'a fait mal ailleurs ?

Partout.

- Bonjour, Bébé-san.
- Bonjour.

Qu'est-ce que c'est ?
Du café frais !

Que fais-tu debout si tôt ?
II est arrivé quelque chose ?

Je vais partir dans quelques minutes
pour aller en ville.

Ah oui ? Pourquoi partir si vite ?

Je vois.

Il t'a déjà pardonné, n'est-ce pas ?

Eh bien, c'est la vieille routine
qui recommence, hein ?

Une poupée orientale à vendre.

Je n'ai pas le choix.
Il est Kumada, après tout.

Il obtient ce qu'il désire.

Et pourquoi pas simplement
t'en aller ?

Tu n'as pas l'air de comprendre.
On ne quitte pas Kumada simplement.

Oublie Kumada, ou sinon tu vas te
faire tuer, comme ton amie Connie.

Téléphone pour vous, Monsieur.
C'est un certain M. Bolt.

D'accord, passez-moi l'appel.

Je commençais à espérer
que vous soyez mort, mon vieux.

Vous partez, où ?
D'accord, je vais m'informer.

Où êtes-vous maintenant ?

Très bien alors,
où serez-vous ?

Bien sûr que je connais l'endroit.
C'est un endroit très public, non ?

Allo ? Allo, vous êtes là ?
Non, vous n'êtes plus là.

La police vous cherche partout et veut
vous poser un tas de questions...

et vous voilà assis ici,
en plein jour.

C'est évidemment le meilleur endroit où me
cacher. Parlez-moi des affaires de Kumada.

Ça nous a pris des années
à résoudre le casse-tête.

C'est une opération à deux sens.
De la drogue. Des tonnes, littéralement.

Quelqu'un en fourni à Kumada, et il leur
en fournit. Des produits chimiques.

Des achats non déclarés par l'entremise
de fausses compagnies américaines...

le tout financé par le genre d'argent
que vous transportiez.

Ces bateaux-citernes, là-bas
avec le nitro...

Oxyde nitreux.
Du carburant à fusée.

C'est ça. L'îlie entière est une large
série de bateaux d'entreposage...

pour du carburant à fusée liquide...

sous haute surveillance.

Combien d'hommes
avez-vous à l'intérieur ?

Deux, et ils ont les meilleurs.
Pourquoi ?

Eh bien, on dirait que
vous allez en avoir trois.

Vous allez finir par vous faire tuer.

Écoutez, l'ami...

ils ont tué Sam.
Ils ont vaporisé mon amie, Connie.

On m'a attaqué au couteau,
à l'acuponcture et tiré dessus.

Alors, la possibilité de me faire tuer
n'est pas nouvelle, n'est-ce pas ?

Et je commence à en avoir
ras le bol de ce Kumada.

Alors, si vous voulez rester assis sur
votre gros cul, ça va.

Mais ça ne va pas pour moi.

Je vais détruire ce rat.

Il me doit quelque chose,
etje vais le réclamer.

En premier, des feux d'artifices précoces
pour célébrer le Nouvel An sur son île.

Après, ça va être lui et moi...

face à face.

- T'as obtenu tout ce que je voulais ?
- Oui, patron.

"Compagnie de produits chimiques
Far East"

Ça va juste l'endormir pendant
un bout de temps.

"Entrepôt de produits chimiques"

C'est son talkie-walkie.

"Produits chimiques"

Joyeux Nouvel An !

C'est bien, merci beaucoup les gars.
Je m'en occupe à partir d'ici.

Il est temps que j'aille visiter
mon vieil ami Kumada.

Oui, Bolt.
Et ils l'ont laissé s'échapper.

"Propriété privée -
Défense d'entrer"

Allo ? Allo, la maison.
Ici Jenkins avec le groupe 4.

Nous sommes à la chute d'eau,
et nous commençons notre patrouille.

Dites à M. Kumada...

que si cet imbécile de Bolt
est dans les parages sur la propriété...

il n'aura aucune chance
de s'échapper.

Terminé.

Oh non, mon vieux.
La nuit a été longue.

C'est très aimable à vous, M. Bolt.

Vous m'avez donné une célébration du
Nouvel An que je suis pas prêt d'oublier.

Il est maintenant dur de savoir lequel
de nous deux à une dette envers l'autre.

Mais je crois que c'est moi,
et j'entends être payé.

Ce n'était pas nécessaire.
Je l'avais.

Donnez-moi ça. Merci infiniment.

Petite coquine.

Vous ne devez pas parler
à M. Griffiths sur ce ton.

Je vous assure que ma mère
n'a jamais fait aucune de ces choses.

Du moins, pas autant que je sache.

Vos documents, mon vieux,
tel que promis.

Juste comme ça, hein ?
Pas de valise, pas d'argent ?

Considérez-vous chanceux
de vous en tirer si facilement.

Maintenant, partez et ne péchez plus.
Eh bien, partez, au moins.

J'espère que
vous ne le regretterez pas.

Si jamais on le regrette, on va
le dissimuler le mieux possible.

- Bien fait.
- Que diable faites-vous...

Comment fait-il ça ?

"Mallettes - Sacs à main"

M. Bolt.

- Je vais la récupérer maintenant.
- OK.

J'étais pressé l'autre jour.
Je n'ai pas eu la chance de vous payer.

Vous êtes riche.
Merci, merci.

Je vous souhaite du plaisir
à le fumer.

- Revenez bientôt.
- À ces prix, ça me fera grand plaisir.