All language subtitles for Curucu Beast of the Amazon - 1956

- Le monstre ! Le monstrueux aqui !

- L'aqui du monstre ! Le monstrueux !

- Bonjour, doyen.
- Capitaine Cansares.

Où est tout le monde?
- Ah, c'est pour ça que je t'ai appelé

par radio à ondes courtes.

Je suis content que vous ayez pu voler si vite.

- Tu m'as attrapé juste à temps.
Je partais pour Belém.

- Observez, M. Dean. Tous
vos ouvriers se sont enfuis.

Plus personne sur la plantation.

- Où sont-ils allés?

- Retour dans la jungle.

Je ne pouvais pas les retenir.

Laissez-moi vous montrer pourquoi. Veuillez intervenir.

- Comme les autres.

- Tupanico. Que faites-vous ici?

- J'ai appris la terrible nouvelle.

J'ai deviné que tu serais ici.

C'est la cinquième victime du monstre ?

- Oui, et comme toujours, le
les pistes partent de l'eau

et de nouveau dans l'eau.

- Observez ceci, Señor Dean.

Une bête avec des griffes comme
celle d'un oiseau géant.

- Un crocodile, peut-être ?

- Un crocodile n'est pas un oiseau.

- De quel animal pourrait-il s'agir ?

- Qui sait, monsieur ?

Les gens qui l'ont vu sont morts.

Et ceux qui n'ont pas cru
que c'est l'un de ceux

monstres qui vivent derrière
les chutes de Curucu.

C'est une légende.

- Une légende?

Est-ce que tu t'attends à ce que je
croire que cette femme

a été assassiné à cause d'une légende?

- Qui sait, monsieur ?

Je doute moi-même que de tels monstres existent.

Mais même si je doute, je ne suis pas
certain que non.

Il y a beaucoup de mystères dans la jungle.

Aucun homme blanc n'a jamais remonté la rivière

jusqu'aux cascades de Curucu.

- Eh bien, jetons un coup d'œil
autour de la plantation.

4ème.

- Euh!

- Pourquoi crie-t-il ?
C'est quoi ce dialecte ?

- Il fait appel aux Indiens
quitter les plantations

et retourner dans la jungle.

- Ils ne vivront jamais là-dedans
jungle. Ils ont oublié comment.

Je ferais mieux de discuter avec eux.

- Ces gens ne sont pas rationnels, Señor.

- Bonjour Rita.
- Je suis content que tu sois là.

- Comment est la, euh, température ?

- Ils ont été en conférence
pendant des heures à vous attendre.

- J'ai enlevé le moment
J'ai reçu votre télégramme.

- Eh bien, je ferais mieux de dire
eux que vous êtes ici.

Votre fils est ici.
- Envoyez-le directement.

- Combien de temps vas-tu rester en ville ?

- Hmm. Pas assez longtemps pour
ce que tu penses, mon ange.

Désolé j'ai mis beaucoup de temps.
- Il a besoin d'une quasi-catastrophe

pour nous rassembler tous.

- Señor Guzman.
- Bonjour Rock.

- Señor Carvello.
- Bonjour Rock.

- Content de te voir.

Bonjour, père.

- Rock, qu'est-ce que c'est
bêtises sur un monstre?

C'est une grève, n'est-ce pas ?

Combien veulent-ils ?

- Non, ce n'est pas une grève.

Et ce n'est pas une question d'argent.

- C'est toujours une question d'argent.

- La panique grandit.

Chaque plantation le long de la
Amazon perd ses employés.

- On ne peut pas les arrêter ?

- Ce sont des citoyens libres.

S'ils veulent retourner au
jungle, nous ne pouvons pas les arrêter.

- Et le gouvernement ?

- Le gouvernement ne peut pas intervenir.

C'est l'affaire de la police locale.

La police peut enquêter sur un meurtre,

mais ils ne peuvent pas enquêter sur la peur.

- Eh bien, que proposez-vous ?

- Eh bien, quelqu'un doit
remonter le fleuve Amazone

aux chutes de Curucu.

- Pourquoi là-bas?

D'après la légende,
c'est là que vit le monstre.

- Il n'y a pas de monstres.

- Tu sais à quel point c'est superstitieux
ces indigènes sont.

Vous avez vécu parmi eux assez longtemps.

- Trop d'années dans le
jungle peut affecter n'importe quel homme.

- Cinq personnes ont été assassinées.

La police pense qu'un animal l'a fait.

Les indigènes disent que c'est un monstre.

- Les monstres qui vivent dans les chutes de Curucu

et descendre la rivière?

- Eh bien, c'est le seul indice que nous ayons.

C'est la raison pour laquelle je veux y aller

et ramener ces gens.

- Vous parlez de suicide.

- Aucun de vous messieurs n'a
trouver une meilleure solution.

- Bonne chance, mon garçon.

- D'accord, jeune homme.

Il faut s'y attendre.

- A quoi faut-il s'attendre ?
- Oh, une légère touche

du paludisme, aucune importance.

Nous aurons les rapports du labo dans un instant.

Mademoiselle Romar ?
- Oui, Dr Vale ?

- Attrapez-moi le tétanos, jaune
fièvre et petite vérole.

Demi CC chacun.
- Oui, docteur.

- Ah, c'est une jeune femme très capable.

- Ouais? Bien...

- Ah, gardez votre chemise.

Vous obtenez quelques coups.

- Juste au cas où, tu sais ?

De la, euh, jeune femme capable ?

Qui est-elle?

- Américain travaillant ici
pendant son congé sabbatique.

- Ouais, je sais comment c'est.

Impossible d'avoir un homme, alors elle choisit une carrière.

- Oui, très triste.
- Ouais.

- Les boosters sont prêts, Dr Vale.

- Asseyez-vous, M. Dean.

C'est Mlle Romar.

- Comment êtes-vous bon avec
cette aiguille, docteur ?

C'est agréable de rencontrer un médecin

plus jolie ici que le Dr Vale.

- Jusqu'où vas-tu
remonter le fleuve Amazone ?

- Eh bien, je me suis dit...
- Ne bougez pas.

- je vais tout en haut
au pays des chasseurs de têtes.

- Je t'ai demandé de ne pas bouger.

- Oui, docteur. Comme vous le dites, docteur.

- je vais les regarder
coups dans quelques jours.

Je vais te donner une ordonnance, d'accord ?

- Je croyais que tu avais dit que j'allais bien, Doc ?

- Ah, c'est un nouveau médicament au cas où le paludisme

vous dérange à nouveau.

Combien de temps serez-vous absent ?

- Eh bien, je ne sais pas, docteur.

Avec ces Indiens, vous
savoir .. peut-être pour toujours.

En fait, la prochaine fois que vous
Regarde-moi, je suis peut-être sous verre

au Muséum d'histoire naturelle.

- Ah, je ne plaisanterais pas avec ça, Rock.

- Ouais. Ce sera un
voyage difficile, d'accord.

Je pense qu'un homme mérite une dernière aventure,

bonne nourriture, danse, sympa
conversation, compagnie agréable.

Mlle Romar, que diriez-vous
égayer la dernière soirée d'un homme ?

- J'adorerais, M. Dean.

Vous, euh... vous pouvez choisir
moi ici à sept heures.

- Six mois qu'elle travaille pour moi,

personne ne pouvait sortir avec elle.

Et beaucoup ont essayé.

- Jolie fille.

- Oh, il y a six femmes pour chaque homme.

Cigarette?

- Les hommes semblent être une espèce rare.

Je dirais que c'était l'inverse.

Six filles pour chaque gars.

- Mm-hmm.

- Et, euh,

suis-je l'un d'eux?

- Concentre-toi, veux-tu ?

- Oh, mais si.

- Tu n'es pas intéressé
dans mon genre de travail?

- Énormément.

Qu'est-ce que c'est?
- Recherche contre le cancer

que je continue avec le Dr Vale.

Nous avons découvert ce single
injections sous-cutanées

de pénicilline purifiée n'ont pas
effets de régression du tout.

- C'est dommage.

Puis-je avoir la prochaine danse ?

- Je veux te parler.

- Bonjour Rocko.
- Bonjour.

- Populaire.

- Juste célibataire. Allons-nous danser maintenant?

- Non, maintenant écoute-moi.

Les chasseurs de têtes ont un médicament que nous voulons.

- Et qu'ont les
chasseurs de têtes ont à voir avec nous?

- Eh bien, les chasseurs de têtes préparent un extrait

de certaines plantes
qui rétrécissent les tissus vivants.

- Têtes réduites.

- Si je peux trouver cette préparation, eh bien,

la médecine ferait un pas de géant.

- Eh bien, je suis pour la médecine.

- Vous voyez, c'est une drogue appelée koshisin.

Les chasseurs de têtes savent
à propos de cette préparation

en concentration non létale et nous ne le faisons pas.

- Chérie, tu as
m'a complètement éclairé.

Maintenant, allons-nous danser ?

- Salut Rock.
- Oh salut.

- Asseyez-vous, rejoignez la fête.

- Eh bien, nous avons une minute.
- Oui.

Eh bien, euh -- Oh, Vivian, c'est Andrea.

Andréa, Vivian.

- Charmé. Pourquoi ne m'as-tu pas appelé ?

- Oh, j'ai, euh, pensé
vous étiez à San Paulo.

- Vous ne pouvez pas lui faire confiance
ici à ce verre de champagne.

Ne vous impliquez pas et
ne tombez pas sous son charme.

- Je vais essayer de ne pas.

- C'est ce que j'ai dit quand je l'ai rencontré.

Tu vas m'appeler demain soir ?

- Je ne peux pas, je serai hors de la ville.

- Vraiment?
- Nous sommes, euh,

nous allons au pays des chasseurs de têtes.

- Comme c'est gentil.

Ramenez-moi sa tête réduite et...

assurez-vous de le garder avec des rations courtes, hmm ?

Au revoir.

- Euh, numéro un ?

- Ecoute, on peut danser maintenant ?

- D'accord.

Tu vas vraiment là-haut tout seul ?

- À peine. Je, euh, prends
un guide de Belém.

Excellent homme. Tupanico.

- Euh, T-U-P-A-N-I-C-O ?

- C'est exact.

- Je n'oublie jamais un nom une fois que je l'ai épelé.

- Oh? Épelez le mien.

- Euh, W-O-L-F.

- Pourquoi tu ne m'emmènes pas avec toi ?

- Prendre une femme blanche
à travers la forêt tropicale?

Cela ne peut pas être fait.
- Vous me donnez une raison.

Il n'a pas à être bon.

- Je peux penser à beaucoup de
endroits où prendre une femme.

La jungle n'en fait pas partie.

- C'est ta décision finale ?

- Ouais.

Quel est le problème?
- Je rentre à la maison.

- Mais Andrea, c'est ma dernière nuit en ville.

- Non, ce n'est pas le cas. vous encore
avoir quelques clichés à prendre.

- Oh, ayez un coeur, voulez-vous?

- Voulez-vous changer votre
ça te dérange et tu m'emmènes avec toi?

- Mais je peux t'emmener avec moi.

- Eh bien, bonne nuit.

- Tupanico.

- Monsieur Dean. Comment avez-vous
tu reviens si vite ?

- Je remonte la rivière.

- A la chasse aux monstres ?

Traquer la bête, la tuer ?

Où commenceriez-vous à le chercher ?

- Chutes de Curucu.

- Aucun homme blanc n'a jamais
été jusqu'à la rivière qui goudron.

- C'est là que tu es
de, n'est-ce pas, Tupanico ?

Votre famille y habite.

- Ceux d'entre eux qui restent.

La plupart d'entre eux descendent dans les plantations.

Maintenant qu'ils ont peur,

ils reviennent à
la terre de nos pères.

- Ça te plaît ?

- D'une certaine manière, c'est le cas, Señor.

Je suis le fils d'un chef.

- Dans une soie
chemise et un sombrero

vous avez payé mille cruzeiros pour?

c'est ce que tu veux?

- Parfois, je me demande, Señor.

- Eh bien, pourquoi ne rentres-tu pas ?

Peignez votre visage, souffrez de la chaleur,

la faim, les maladies.

Serait-ce mieux ?
- Vous avez raison, Señor.

J'adore les chemises en soie, bien
la nourriture et les cruzeiros.

- D'accord, allons-y.
- En allant?

- Bien sûr.

- Je suis désolé, Señor.
Je ne peux pas venir avec toi.

- Pourquoi?
- j'ai été fiancé

par la personne que vous m'avez envoyée.
- J'ai envoyé?

- Je suis vraiment désolé, Señor.

C'est la première fois de ma
lite que je travaille pour une femme.

Jolie, mais une femme.
- Dis-lui

pour obtenir quelqu'un d'autre.

- Supposons que vous lui disiez.

- Eh bien, bonjour. Les injections ont-elles pris ?

- Pourquoi avez-vous volé mon guide, Mlle Romar ?

- Eh bien, comme c'est formel.

C'était Andrea dans la boîte de nuit.

- Vous allez devoir obtenir
vous-même quelqu'un d'autre.

J'emmène Tupanico avec moi.

- Et Tupanico part avec moi ce soir.

Voilà le bateau.

- Tu es une petite fille stupide.

Tu travailles pour moi. Comprendre?

- Je suis désolé, Señor.
C'est déjà décidé.

- Bien sûr, si vous voulez
aime venir...

Faites-moi savoir si vous changez d'avis!

- Señor Dean est un homme très déterminé.

- Accueillir. Je pensais que tu le verrais à ma façon.

- Eh bien, je ne pouvais pas te laisser partir seule.

- Mm-mm.

Mauvaises nouvelles?

- Je viens de recevoir ce télégramme avant de partir.

- Est-ce qu'il a encore tué ?

- Panique. Imagination.

Maintenant ils voient le monstre
derrière chaque arbre.

- Rock, le tueur de dragons.

- Ce n'est pas drôle.

Quoi qu'il en soit, ils sont
le fuir.

- Et en allant aux chutes de Curucu,

tu vas résoudre l'énigme
et les ramener à nouveau.

- Sinon comment?

- C'est là qu'on prend les canoës ?

- Oui. Tupanico les fait attendre.

Nous récupérons le matériel,
le portier est à quelques miles

jusqu'à cet affluent.

- Nous passerons par l'Hôpital du Père Flaviano

puisque nous avons des fournitures pour lui.

- Calme, n'est-ce pas ?

Y a-t-il des poissons ?

- Des milliers d'entre eux.

Chacun d'eux est un tueur.

- Piranha.

- J'en ai vu quelques-uns
à l'aquarium de Rio.

Des choses horribles. Toutes les dents.

- Ils peuvent manger la chair
un homme en 60 secondes.

- Roche, attention !

- [Tupanico] Vipère, la plus venimeuse.

Il attaque tout ce qui bouge.

- Eh bien, je vais m'y habituer.

Je vais devoir.

- Eh bien, avez-vous eu
assez? Tu veux rentrer ?

- Non, je continue. Peu importe ce que.

Quand rencontrons-nous les porteurs ?

- Ce n'est pas beaucoup plus loin.

Quelques kilomètres, nous choisirons
les porteurs et le matériel.

Le tenir.

- Que sont-ils?
- La tribu Terrazaha.

- Nous ferions mieux d'y aller
pour eux. Allez Andréa.

- Moi? Pourquoi?

- Si un homme est avec une femme,
il ne cherche pas les ennuis.

C'est ce qu'ils pensent.

- Sûr qu'ils sauront que je suis une femme ?

- Je pense que oui.

Marche derrière moi.

Paix.

Femme.

- Ils sont satisfaits que
vous êtes une femme, Señora.

- La paix, grâce à vos attributs.

Le hochet et les tambours. Quelqu'un est malade.

- Malade? C'est mon département.

- Ce n'est pas un travail pour une femme.

Le sorcier sera
offensé. Il va perdre la face.

- C'est mon travail.
- Attendez une minute.

- Ne touchez pas au malade, Señora. Ne le faites pas.

- Va chercher ma trousse médicale, Rock !

Ouvrez mon dossier.

- Mmm !

- Appendicite aiguë.
- Es-tu sûr?

- J'en ai vu des milliers.

Maintenant, n'ayez pas peur. Ici.

Cela ne va pas faire de mal.

Tout va bien se passer.

Allongez-vous simplement.

- Il ne comprend pas, Señora.

- Il comprend.

Tupanico, dis-lui que nous sommes
prendre le malade

avec nous au Père
Hôpital Flaviano.

- Selon la coutume indienne,
tu es maintenant responsable

pour la vie de cet homme.

- A quelle distance est-ce?

- Nous devrions y être à la tombée de la nuit.

- S'il ne meurt pas en chemin.

- Osciller! Attendez.

- Le tenir. Attendez une minute.

C'est bon.
- Vite vite!

- Père, avons-nous
l'heure d'une numération globulaire ?

- Non.

- Maintenant, respirez profondément.

C'est exact.

Maintenant, n'ayez pas peur.

- Son compte va bien.

- Il me semble bien.

Commençons bientôt, Rock.

- Vous ne pouvez pas partir d'ici.
- Pourquoi pas?

Le père Flaviano a suffisamment de personnes formées.

Il n'a pas besoin de moi.

- Vous avez pris la place
du sorcier.

Si vous le quittez, il mourra.

- C'est vrai, Père ?

Dois-je rester ici
jusqu'à ce que Tico soit debout et autour ?

- Il va vite récupérer,
grâce à l'arôme du péché

et la pénicilline que vous avez apportée.

- Eh bien, pourquoi ne pas
nous partons le matin?

- Nous ne pouvons pas partir. Vous nous avez embarqués là-dedans.

J'aurais dû le laisser au sorcier.

- Et le laisser mourir ?

- Les sorciers connaissent aussi quelques trucs.

- Père Flaviano !

Le monstre, Curucu !

- Jusay !

Jusay !

Quel genre d'animal a tué Jusay ?

- Le monstre Curucu, Padre.

- Superstitions, adoration du diable !

Je pensais que tu étais amené
devenir chrétien, Tupanico ?

Monstres.
- Quoi d'autre

est-ce possible, Padre ?
- Voilà les preuves.

- Oui, il y a la preuve du Diable.

- Vous connaissez la légende de
le monstre Curucu, Padre ?

Il descend de la
tombe pour punir le peuple

qui ont déserté les terres de leurs pères.

- Oui, je connais les légendes
du culte du diable et du vaudou.

C'est pourquoi je vis ici dans la jungle.

Apportez la lumière à cette obscurité.

Prions pour la lumière.

Venez avec moi, mes enfants.

- Donnez-moi le pistolet, Tupanico.

- Voulez-vous sortir maintenant dans le noir, Señor ?

Señora.
- Oui qu'est ce que c'est?

- Le monstre. C'était ici.

Señor Dean le cherche.

Il a pris le fusil lourd.

- Vous l'avez laissé partir ?
- Comment pourrais-je

le retenir, Señora ?

- Osciller?

Osciller?

Rock, où es-tu ?

Osciller! Osciller!

Osciller!

- Andréa ! Andréa !

Andréa !

- Oh, Rock.

- Rentrons à la maison.

- Une théorie intéressante.

Très intéressant, en fait.

Et tellement évident que je n'y ai jamais pensé.

- Pouvez-vous obtenir un peu de cela,
euh, préparation du chasseur de têtes

d'un de vos amis, Padre ?

Cela lui éviterait un voyage aux chutes.

- Et ça, Tupanico ?

- Seuls les chefs et la sorcière
les médecins connaissent le secret.

- Tu es le fils d'un chef.

- Je passe un accord avec vous, Señora.

Je l'emmène dans ma tribu,
Je lui donne la formule,

si c'est possible.
- Bien,

Je vois que nos enseignements prennent racine.

Tu parles comme un chrétien, Tupanico.

- C'est vrai, Père.

C'est ici que j'ai découvert le paradis.

- Indiens?

- Il te fait cadeau du couteau.

- Oh merci.

Merci beaucoup Tico.

- C'est un couteau sacrificiel.
Les chasseurs de têtes les utilisent.

- Puisque vous avez accepté son cadeau,

c'est ton esclave à partir de maintenant.

- Oh, c'est charmant.

Qu'est-ce que je vais faire d'un esclave ?

Merci quand même, T--
- Ne rejetez pas cela.

Soyez vraiment en difficulté.

- Tico !
- Vous ne pouvez pas le tenir

s'il veut y aller, Mlle Romar.

- Nous avons vu le dernier de lui.

Commençons.

- Je suis prêt.

- Buffle sauvage.

Buffle sauvage ! Courez vers les arbres !

Là-haut, vite !

- C'était fermé.

- Ouais.

Quand ils commencent à courir,
rien ne peut les arrêter.

- Attends, Rock. Regarder.

Comme c'est terrible.

- Dans la jungle, tout peut arriver.

- Quel horrible spectacle.

- Mm-hmm. Nous camperons au bord de la rivière.

- Salut tout le monde.

Vous montez ou descendez ?

Bonjour chérie. Oh.

Aie!

Très bien, allez-y.

Hmm.

- Décent?

- Comptez jusqu'à 10 puis entrez.

- Un deux trois quatre cinq,

six sept huit neuf dix.

Ici.

Chaud.

Eh bien, charmant.

Oh !

C'est une utilisation pour une arme à feu.

- Il est certainement rapide sur le compte.

- Ces casseroles étaient chaudes, elles
me brûlaient les doigts.

Affamé?
- Affamé.

j'allais ouvrir un
boîte de boeuf et haricots.

- Oh, c'est beaucoup mieux.

- Eh bien, j'ai mis la table.

J'ai fait du thé maté.

Autrement dit, si vous aimez le maté.

- Fou à ce sujet. Prend généralement
avec un shot de cachaca.

- Cachaca? C'est 80% d'alcool.

- C'est vrai, docteur.

- Eh bien, je vais manger et
Je poserai des questions plus tard.

- Eh bien, juste manger.

Allez-y, mangez.

- Qu'est-ce que c'est?

- Lézard. Iguane.

Cuire comme un cochon sur des pierres chaudes.

- Eh bien, j'ai mangé à peu près tout.

Queues de kangourou, sauterelle,

scotch haggis, crotale.

C'est nouveau pour moi.

- Et ça, hein.

Ça a le goût de cacahuète.

- Fourmis noires. Les fourmis rouges sont trop épicées.

- Eh bien, s'il bouge, mangez-le.

Si ce n'est pas le cas, enterrez-le.

- Vous n'avez peur de rien, n'est-ce pas ?

- Bien sûr j'ai peur

de certaines choses, je suis une femme.

- Ouais. C'est ce que je n'arrête pas de me dire.

- Les Indiens semblent le penser.

- Vous savez, si vous portiez
une robe de soirée, je pourrais...

Eh bien, je ne fais que des passes.

- Oh. C'est une contrainte que vous avez.

Avez-vous déjà vu un psychiatre ?

- Eh bien, tu ressembles à une femme.

Désolé de t'avoir fait sursauter.

Je n'ai pas eu le temps de vous prévenir.

- Merci.

- Un œil rapide.

Je ferais mieux de nettoyer ça.

- Je vais le nettoyer moi-même.

- C'est une belle arme, Señor.

Ne manque jamais sa marque.

- Curucu ! Curucu !

Pour de vrai! Le monstrueux !

- Regardez là.
- Qu'est-ce que c'est?

- Le monstre.

Il descend la rivière rapidement.

- Entrez et calmez-les.

- Si, Señor.

- Que pensez-vous que c'était?

- Je ne sais pas.

- Ressemblait à un serpent de rivière géant. Hein.

On dirait que tout est possible
dans cette partie de l'Amazonie.

- je n'y crois pas
serpents de cent pieds de long.

Pas même en Amazonie.

- Ce n'était pas une hallucination.

- Peut-être n'importe quoi.

Cela aurait pu être un
banc de poissons lumineux.

- Señor Dean !

Les porteurs refusent de continuer.

- Offrez-leur un peu plus d'argent.

- Il ne sert à rien.

- Je vais leur parler.

- Euh!

- Vous n'êtes pas l'un des porteurs.

Je vous connais.

C'est toi qui a attaqué
moi à la danse vaudou.

Eh bien, c'est ça.

- Ils seront plus effrayés par eux-mêmes.

Ils nous reviendront.
- Ne pariez pas dessus.

- Señor, les chutes d'environ un
journée de voyage loin d'ici.

- Nous recommençons demain.

- Maintenant, attendez une minute.
- Nous rentrons.

- Tu peux, je passe devant.

- Aux chutes, Señor, nous
trouvera d'autres porteurs.

- Non.

- Je suis content de votre décision
aller de l'avant, Señora.

Je continuerai à vous guider pour vos commandes.

- C'est ce dont je te parlais.

- Plumes, os et dents.

- Des griffes comme des rasoirs.

- En Afrique, les chasseurs de têtes,
ils utilisent des griffes pour le meurtre.

Pourquoi? Pourquoi Tupanico fait-il cela ?

- Je ne sais pas.

Je pensais le connaître, mais ce n'est pas le cas.

Je connaissais sa voix, son visage. Thaïs tous.

Il a même mis des blancs dans mon arme.

C'est la raison pour laquelle il
a insisté pour le nettoyer.

- Et le monstre dans la rivière ?

- Tupanico est passé par là.

Il aurait pu ramasser un truc comme ça.

- Astuce?

- Peut-être méta\
de la poudre et de l'eau, quelque chose.

Qui sait?

Il nous a amenés ici dans un but. Mais pourquoi?

- Cela ne semble pas possible. Chasseurs de têtes.

La fille blanche et le brave chasseur.

- Nous sortirons d'ici.

- Comment? Le Calvaire Ouest ?

Eh bien, vous avez essayé de me le dire.

J'étais si intelligent. Je ne
savoir ce que je faisais.

Défaut

- Quand j'étais dans le -- quand
J'étais en sixième,

J'ai lu un livre sur l'Amazonie.

Ils avaient des photos d'un
tribu nommée les Humachumik.

Les gens avaient de beaux
noms, comme Moydine, Juanamali.

Maintenant, me voici.

- Très intéressant, Tupanico.

- je suis désolé je ne peux pas
offrez-vous une chaise à tous les deux.

Ma tribu ne sait pas tisser des chaises.

- Je suppose que non
faire du bien de te dire

que vous passerez probablement le reste

de ta vie derrière les barreaux.

- Avant qu'ils puissent me mettre derrière les barreaux,

ils doivent m'attraper.

Je m'appelle Tupanico.

Savez-vous ce que "Tupan"
signifie dans notre langue?

Cela signifie Dieu.

Ils n'oseraient pas
mettre un Dieu derrière les barreaux.

- Tu n'es pas un Dieu, Tupanico.

- Selon vos lois, peut-être.

- Les missions vous ont élevé en tant que chrétien.

Maintenant, regarde-toi.

Vaudou noir, danses de serpents, crânes.

Tu es devenu fou, Tupanico.

- Je ne suis pas fou.

Pendant des années, j'ai
écouté l'homme blanc

dans l'espoir d'apprendre des choses.

Voici votre préparation,
ta formule secrète

que vous cherchiez.

C'est le tien.

Vous voyez, je suis aussi un
humaniste et idéaliste.

Je veux aussi rendre les gens heureux.

- En les massacrant ?

- Il y a trente ans, Colonel
Forcet a essayé d'atteindre les chutes.

Il n'est jamais revenu.

Si vous disparaissez tous les deux maintenant,

peut-être que nous serons laissés
seul pendant encore 30 ans.

Nous ne voulons pas de votre civilisation.

Avez-vous déjà entendu parler d'un homme de la jungle

qui avait des problèmes cardiaques ou des ulcères?

Avez-vous déjà entendu parler d'un
qui était frustré ou mécontent?

- Je peux voir les heureux
des visages sur ces têtes !

- Il m'en a fallu 10
ans pour obtenir mon peuple

retour dans la jungle.

Ce ne sera plus le
les plantations les engloutissent,

les ruiner avec de l'alcool et de l'argent.

Des milliers de nos concitoyens sont morts.

Pour le bien de leur civilisation.

- Cours, Andréa ! Sors d'ici!

Ils ressemblent à la tribu de Tico.

S'ils découvrent que nous avons
se sont échappés, ils seront après nous

comme une meute de fous.

Allez debout! Vous avez à!

- Je ne peux pas. Une minute.

- Tiens, tiens, bois ça.

- Qu'est-ce que c'est?

- Il n'y a pas le temps de
demander. Allez allez!

- Roche, attention !

Osciller! Osciller!

Aide-moi! Osciller!

- Allongez-vous ici.

- Je suis si fatigué.

- Je ferais mieux de trouver de la nourriture.

- Non, non, ne pars pas.

- Quel est le problème?

- Ah, je...

Je suppose que je rêvais.

- Hé, hé !

Merci.

Osciller! Osciller!

Père, l'Indien.

- Les Indiens vous ont amené ici.

Tico et ses hommes.

- Quoi, Tico ?.

Lui et le jeune Dean vous ont amené ici.

Tu étais un triste spectacle.

Vos vêtements tout déchirés.

Vous avez dormi 48 heures.

- 48 heures?

- Détendez-vous, mon enfant.

- Oh, ne me regarde pas.

Je dois avoir l'air en désordre.

- Absolument hideux.

- Il vous a apporté un autre cadeau.

- Oh merci.

- Oh.

C'est la formule.

Tupanico l'avait dans sa hutte.

- Il l'a pris dans la cabane pendant l'incendie.

- Oh.

Oh.

- Tupanico.