All language subtitles for Sailor Of The King

[Voix d'homme, Lecture]

[Train Coups de sifflet]

Tout va très bien pour lui. Il ne
il faut y aller, hein ?

Donnez-nous un rouleau.

[Train Coups de sifflet]

[Sifflet]

[Pas en cours d'exécution]

[Soupirs]
C'était un rasage de près.

Oui c'était.

[Coups de sifflet]

- Ça te dérange si je fume ?
- Bien sûr que non.

Beau temps que nous avons.

Oui. C'est assez saisonnier.

Vous n'avez pas de journal ou de magazine
Je pourrais emprunter, et vous ?

Je n'ai pas eu le temps
pour en obtenir un à la gare.

Non, j'ai bien peur que non.

- Ça te dérangerait si on parlait ?
- Oh?

Je veux dire, c'est un peu gênant
simplement assis ici.

Ils me disent que c'est à propos
le seul pays au monde...

où vous pouvez vous asseoir dans une calèche avec quelqu'un
pendant des heures sans dire un mot.

Parfois je pense
c'est un peu bête non ?

C'est peut-être parfois le cas.

- Vous allez à Londres ?
- Oui.

Donc je suis.

- Cinq jours de congé.
- Vous devez être de retour de la mer alors.

Beaucoup plus épuisant.
Un cours d'artillerie longue.

Balistique, mécanique,
mathématiques, explosifs...

et des défilés - des défilés sans fin.

- Ils t'ont fait subir ça.
- Ce sera l'île aux Baleines.

- Comment saviez-vous?
- Ma maison est à Portsmouth.

Mon père a des amis
à la caserne navale.

Oh je vois.

L'artillerie m-doit être très importante,
surtout en temps de guerre.

Oui. Oui, on me dit qu'il a ses utilisations.

- [coups de sifflet]
- Nous arrivons à Hazelwood.

Plus que deux stations jusqu'à LongmereJunction.
C'est là que nous changeons.

Gracieux. Il semble que
nous venons de quitter Portsmouth.

On pourrait prendre ça
comme tout un compliment.

Oui. Je suppose que l'on pourrait.

[Rorteur]
Longmerel LongmereJunctionl

Tout change pour Londres.

Longmere. Jonction Longmere.
Tout change pour Londres.

- Rorter. Avons-nous le temps de prendre une tasse de thé, portier ?
- C'est l'heure d'une tasse de thé, monsieur ?

Je pense que vous avez. Connexion Londres
n'arrivez pas ici avant 10 h 20 maintenant, monsieur.

- Quoi?
- Mais c'est presque trois heures.

Toujours. C'est la guerre, madame.
Tout a changé.

Rien que des trains de troupes
et des marchandises de nos jours.

Merci.
Qu'est-ce qu'on fait maintenant?

Attendez ici, je suppose.

Pour trois heures?

Écoute, je vais te dire quoi.
Laissons nos bagages...

se promener dans le village
et trouver un endroit pour dîner.

- Oh non. L-je ne pense pas-
- Trop présomptueux ?

Non c'est pas ça. Vous avez été très gentil.
C'est juste ça-

Les jeunes filles n'acceptent pas
invitations d'inconnus.

Des marins particulièrement étranges.

Je ne le suis guère.
Je t'ai raconté toute ma vie.

Eh bien, nous ne pouvons pas rester ici,
peut-on?

Bien sûr que non.

Je vais proposer un toast.

A Mlle Lucinda Bentley.

Lieutenant Richard Saville.

[Rires]

Je pensais juste... à ce que ma famille
diraient s'ils pouvaient me voir maintenant.

- Est-ce que j'ai l'air si peu recommandable ?
- Non, ce n'est pas ça.

- Mais ils sont très stricts en ce qui me concerne.
- Parlez-moi d'eux, Lucy.

Eh bien, il y a mon père.
C'est un marchand.

Et deux frères.
Ils sont dans le business avec lui.

Ma mère est morte quand j'étais à l'école.

Et j'ai dû prendre soin
de la maison pour eux.

[Soupirs]
C'est tout, je pense.

Puis-je vous demander...
une question impertinente ?

- Non, certainement pas.
- Oh.

Qu'est-ce que c'est?

Euh, est-ce que tu- je veux dire, y a-t-il-
Y a-t-il quelqu'un qui vous-

Si vous essayez de me demander
si je suis fiancé, la réponse est non.

- Et vous ?
- Moi?

Engagé?
[Rires] Mon Dieu, non.

Ils n'encouragent pas les attachements sérieux
sur la solde d'un officier subalterne, vous savez.

C'est censé prendre
votre esprit hors de votre travail.

Mais c'est comme mon père.

Si je devais me marier, ils auraient
personne pour s'occuper de la maison à leur place.

Ils me gardent bien hors de la tentation.

Ils vous permettent de partir
à Londres par vous-même.

C'est les premières vacances
J'ai eu pendant des années.

j'ai droit à une semaine
avec ma cousine Carrie.

Cela ne prend aucun risque.

- Non?
- [Sonnerie de l'horloge]

Eh bien, presque aucun risque.

Ne devrions-nous pas y aller ?
Il doit se faire très tard.

Nous avons beaucoup de temps.
Allons nous promener.

Ce fut une soirée tellement agréable.
L- Je ne veux pas que ça se termine.

On pourrait prendre ça
comme tout un compliment.

Oui. Oui, je suppose que l'on pourrait.

- Pourrais-je avoir une facture, s'il vous plaît ?
- J'arrive, monsieur.

- Lucie ?
- Oui, Dick.

Savez-vous que vous êtes plutôt belle ?

C'est seulement la nuit et le vin.

Non, je- je le pensais
le moment où j'ai posé les yeux sur toi.

Et tu es différent.

C'est parce que je viens
d'un monde différent.

Oui, mais je peux te parler.

En fait, je suis...
pas très doué pour parler aux femmes d'habitude.

C'est- ça fait
une merveilleuse soirée, Dick.

Je ne l'oublierai jamais.

Ni moi.

Lucy, il n'y a peut-être pas
une autre chance pour moi de vous dire...

combien te rencontrer
a signifié pour moi.

Je ne sais vraiment pas comment le dire.

- Lucie.
- Queue.

[La cloche sonne]

Queue. Le train.

Il est tard. Ça va nous manquer.

Bonté divine!
Il est 10 heures et quart. Rapide!

- Porteur !
- Porter, quel quai pour le train de Londres ?

Train de Londres ? Bénissez-moi.
Le train de Londres est parti il y a cinq minutes.

- Nous l'avons raté !
- Nous ne pouvons pas les garder traîner
ces jours-ci. Pas comme avant.

- A quelle heure est le prochain ?
- Il n'y en a pas d'autre avant cette heure demain.

- Demain, à cette heure?
- C'est vrai. Seulement un
train de voyageurs par jour maintenant.

Et je ne pense pas que nous aurons ça
beaucoup plus longtemps. C'est ce Kaiser Bill, merde lui.

Rien que des trains de troupes
et des marchandises de nos jours.

Que dois-je dire à Carrie ?
Comment vais-je expliquer? Que dois-je faire?

Maintenant, ne vous inquiétez pas.
Vous enverrez simplement un fil...

disant que tu as raté le train
et tu seras là demain soir.

Oui, mais qu'allons-nous faire ?

Je pense que tu devras prendre
votre femme à l'ange, monsieur.

J'ose dire Mme Godliman
peut vous héberger pour la nuit.

Eh bien, voilà vos bagages, monsieur.
Vous devrez m'excuser. Je ferme maintenant.

Depuis le début de la guerre, j'ai dû balayer,
nettoyer et essuyer.

[Raille] Ils m'auront même
polir les rails ensuite.

- Bonne nuit, madame. Bonne nuit Monsieur.
- Bonsoir.

[Train Coups de sifflet]

Oh, comme nous sommes stupides
laisser faire cela.

Lucy, je- Je devrais dire que je suis désolé.

- Non, c'était ma faute autant que la tienne.
- Non ce n'est pas.

- Maintenant que c'est arrivé, je suis content.
- Non, Dick, s'il te plait.

Je suis égoïste, n'est-ce pas ?
Eh bien, c'est vrai.

A Londres ce soir, nous aurions dû nous séparer.
L- Je ne vous aurais peut-être jamais revu.

Bien?

C'est assez difficile de trouver quelque chose
puis le perdre l'instant d'après.

Oh, Lucy, c'est sans espoir.

Il y a tellement
Je veux te dire.

Si seulement je pouvais trouver les mots.

Dick, mon cher, que veux-tu dire ?

[Grondissement du tonnerre]

[Femme]
Maintenant, quatre et un font cinq et deux font sept.

Sept livres, 17 et huit.

C'est-Oui, c'est vrai.

Eh bien, je dois dire,
Nous sommes désolés de te voir partir.

Nous espérions que vous seriez capable
rester un peu plus longtemps.

Pourtant, vous avez eu cinq jours, n'est-ce pas ?
Et c'est quelque chose.

En temps de guerre, tout le monde est ici aujourd'hui,
Parti demain. C'est ce que je dis toujours.

Pourtant, c'est très difficile, surtout
pour vous les jeunes. Voilà, monsieur.

Votre monnaie, monsieur.

- Merci, Mme Godliman.
- Et votre reçu.

Eh bien, tu ne laisses pas de beau temps
derrière vous, êtes-vous?

M. Godliman ne disait qu'hier-
Il a dit que depuis le début de cette guerre...

il a dit que tout avait changé, même le temps.
[Rires]

- Pardon.
- Oh, Bert a apporté les sacs
en bas de votre chambre, monsieur.

Voulez-vous demander à la jeune femme
nous appeler quand les siens sont prêts ?

- Exactement. Merci.
- Bert !

[Cloche sonne]

- [Cogner]
- Entrez.

Tout est réglé.

[Grondissement du tonnerre]

Journée misérable.

Queue?

je veux te parler
à propos de ce que nous avons décidé hier soir.

- Oui, Lucie.
- J'ai changé d'avis, Dick.

Je ne pense pas que nous devrions
se marier après tout.

Quoi? Mais- Mais tout est réglé.
Nous avons convenu que nous-

Je sais.
Mais j'y ai repensé.

Il n'y a pas de mais à ce sujet, Lucy.

- L- Je ne peux tout simplement pas m'en aller maintenant.
- Écoute, Dick.

Ce que nous avons fait est mal-
très mal.

Mais...

le mariage n'est pas qu'un moyen
réparer un tort.

C'est bien plus que cela.

Bien sûr que c'est le cas.
Je sais que.

Quand tu es monté dans le train à Portsmouth,
vous n'auriez aucune intention de vous marier.

- Avez-vous ?
- Non, mais je-

En fait, vous étiez tout à fait
définitivement à ce sujet.

Vous avez dit que le mariage était
un handicap pour un jeune officier...

surtout celui qui n'était pas riche.

Vous serez en mer pendant des années.

Vous reviendrez à une femme que vous...
sait à peine.

Quand tu m'as demandé de t'épouser,
y avais-tu pensé ?

- Ce n'est pas le sujet, Lucy.
- Oh, oui, ça l'est, chérie.

Je veux que vous affrontiez cela carrément.

Je veux faire ce que je pense être juste.

Pourquoi le fais-tu
si difficile pour moi?

Parce que je t'aime.

Et j'ai appris à te connaître.
Vous insistez là-dessus par sens du devoir.

Je pense dans ton cœur
vous êtes effrayé et incertain.

Tu ne veux pas vraiment
pour tenter sa chance.

Lucy, je t'ai dit que je t'aimais.
N'est-ce pas suffisant ?

Non, Dick.

Pas à moins que ton amour soit assez fort
pour vous donner envie de tenter votre chance.

Et ce n'est pas le cas, n'est-ce pas ?

Je dois changer de robe.
Le train part dans une demi-heure.

- [coups de sifflet]
- Au revoir, Dick.

[Train Coups de sifflet]

- Je ne vais jamais vous oublier.
- Au revoir, Lucie.

Réveillez-vous, Stratford.

- Qu'est-ce qui ne va pas?
- Peut-être qu'ils sont tous sortis déjeuner.

Il est plus probable qu'ils dorment.

Enfin.

- C'est parti, Gloomy.
- D'accord, Canada, allons-y.

Depuis Amesbury...

à Stratford.

Dunferne... Château.

C'est ça.

Cambridge fait
un signal aussi, Yeoman.

Elle demande la même chose.
Donnez-lui un Roger.

Droit. Allez-vous-en.

Signaux d'Amesbury
et Cambridge, monsieur.

- La réponse est affirmative aux deux.
- Oui, oui, monsieur.

Elle veut savoir si on a récupéré le S.O.S.
Depuis le château de Dunferne.

Pilote. Donne moi la position approximative
du château de Dunferne, s'il vous plaît.

Elle était à quatre jours de Panama, en direction
pour Sydney avec une cargaison de machines.

Elle doit être presque sur l'équateur, monsieur.
Nous sommes ici.

Je mettrais le château de Dunferne
600 milles au nord-est de nous...

et 900 milles plein ouest
des îles Galápagos.

Je vois. Notre convoi est toujours
60 milles à l'arrière.

- Merci, pilote.
- Monsieur.

Vous savez ce que cela signifie, n'est-ce pas ?
C'est le raider allemand.

- C'est Essen.
- Pouvons-nous en être sûrs, monsieur?

je ne pense pas
il n'y a aucun doute là-dessus.

On sait qu'un croiseur allemand est parti de Valparaso
il y a trois semaines sur une route nord-ouest.

Quelles sont nos dernières nouvelles de Essen, pilote ?

Elle a été signalée se dirigeant vers le nord à environ
14 nœuds, monsieur. C'était il y a quatre jours.

Oui. S'intègre très bien.
Laissez-moi voir que S.O.S.

"Etre bombardé par un croiseur ennemi.
Naufrage."

Oui, c'est bien l'Essen.

Elle est la seule avec une portée
opérer dans cette partie du Pacifique.

- Vous m'avez fait venir, monsieur ?
- Chef, je crois que nous sommes dans
distance de frappe de Essen.

- Nous allons après elle.
- Nous n'avons plus que 55 % de carburant, monsieur.

- Qu'est-ce qu'on peut faire là-dessus ?
- Huit jours à la vapeur à notre vitesse actuelle.

- Et à toute allure ?
- Moins de la moitié, monsieur.

Ensuite, nous sommes dans une situation difficile. Si nous perdons Essen
et elle a traversé ce convoi...

elle aurait un après-midi d'entraînement au tir
les ramasser comme des canards en bois sur un étang.

- Notre nom serait boue.
- Et si on ne la poursuit pas, monsieur ?

Oui, vous avez tout à fait raison.
Ils nous auraient aussi pour ça.

Si nous allons après Essen,
nous risquons le convoi.

Si nous ne le faisons pas, nous manquons la chance de détruire
le navire ennemi le plus puissant du Pacifique.

Amesbury et Cambridge vont bien, monsieur.
Ils ont fait le plein de carburant avant de nous rejoindre.

Oui, mais pas pouvoir
aller après Essen moi-même-

Eh bien, il n'y a rien d'autre pour cela.

Commandant, le capitaine Ashley ira après Essen
avec Amesbury et Cambridge.

- Nous restons derrière pour couvrir le convoi.
- Aye Aye monsieur.

- Faites un signal, chef Yeoman, s'il vous plaît.
- Oui, oui, monsieur.

[Déchirement du sifflet]

Vous entendez là ?
Vous entendez là ?

[Sur RA]
Le capitaine va maintenant s'adresser à l'équipage du navire.

C'est le capitaine Ashley qui parle.
J'ai des nouvelles pour toutes les mains.

Enfin, nous serons peut-être
passer à l'action.

Le raider allemand Essen
est connu pour être dans ce domaine.

Nous avons reçu des commandes
aller après elle.

Le plus tôt possible pour prendre contact
il fera jour demain.

Vous serez appelé
aux stations d'action alors.

Je suis convaincu que nous allons
rassurez-vous bien.

Nous exercerons des stations d'action dès
alors que les mains ont fini de dîner, commandant.

Aye Aye monsieur.

Le croiriez-vous ?

Tout le monde navigue paisiblement
tout en s'occupant de ses affaires...

et Jerry doit se présenter
comme un mauvais sou.

- Comme si le temps dans ces régions
n'est pas assez chaud sans lui.
- Oh, va-t'en, Misery.

Avec un peu de chance, nous aurons une semaine de congé
hors de cela. Qu'en dis-tu, Brun ?

Je dirais qu'il nous faut un peu de chance.

Les canons sur Essen
nous dépasser d'environ 5 000 mètres.

- Non! Tu plaisantes, Brown.
- Je ne suis pas.

Je suis juste content que Cambridge soit avec nous
pour partager le plaisir. C'est tout.

Te voilà. Vous voyez? C'est comme
dit la bohémienne en me lisant fortune.

« Éloignez-vous de l'eau », dit-elle.
"Ça ne te servira à rien."

- Je pensais qu'elle parlait des trucs que tu bois.
- [Rires]

- [Bip du code radio]
- Bonjour Curly.

Bonjour.

- S.D.O., Flag Deck.
- Pas de nerfs au centre névralgique, j'espère.

- Pas de nerfs. Presque pas de mains, blast it.
- Pont de drapeau.

- Faites descendre le yeoman.
- Aye Aye monsieur.

- Deux hommes à l'infirmerie.
- Oh, ce n'est pas de chance.

Je dois avoir un autre corps pour le codage.
Peux-tu m'en prêter un ?

- A cette heure, Curly ?
- Bien sûr à cette heure.
Nous devons fonctionner, n'est-ce pas ?

Si ça peut raccourcir la guerre, je t'en enverrai un.
Ça va te coûter un gros gin.

Pas cher au prix. Vous pourriez le faire
ce garçon canadien, Brown, voulez-vous?

- Maintenant, attendez une minute.
- Brown a déjà fait le boulot.
Il est brillant et il est fiable.

Maintenant, je suis désolé, Curly.
Vous pouvez avoir Bishop, Egham ou Poynter...

mais Brown reste sur le pont du drapeau.

Vous êtes un glouton. C'est l'un de mes meilleurs hommes.
Jetons un coup d'œil à ce journal.

Ce que je ne peux pas comprendre, Brown,
C'est pourquoi vous venez jamais dans Signals.

Parce que quand je m'entraînais à Shotley,
c'est ce qu'ils m'ont dit de faire.

Et l'artillerie ?
Tu voulais faire ça, n'est-ce pas ?

Eh bien, ils ont dit
ils avaient besoin de signaleurs.

Tu ne peux pas toujours faire ce que tu veux
dans le service. Tu le sais.

Un sens aigu du devoir, hein ?
Tu veux que ta tête soit examinée, mon pote.

Eh bien, en fait, il y a quelque temps,
J'ai pensé à demander un transfert.

- Oh? Pourquoi ne l'as-tu pas fait ?
- Ah, je ne sais pas.

Cela aurait signifié un taux de chute
et tout recommencer.

Je pensais que c'était prendre trop de risques,
alors j'ai décidé de rester sur place.

Eh bien, tout ce que je peux dire, c'est que c'est typique. Voici vous
jusqu'aux globes oculaires dans l'apprentissage des livres...

sur les navires et les canons et tout le reste
ta mère t'a appris...

le fier possesseur de plus de tir à la carabine
médailles que j'ai eu de nuits à terre.

Et qu'est-ce qu'ils te donnent à faire ?
Pose d'armes à feu ?

Lancer des torpilles ? Pas sur ta vie.
Lampes clignotantes et prise de messages...

et courir des morceaux de banderoles colorées
de haut en bas jusqu'à la vergue.

Et Blind O'Reilly,
ils s'attendent à ce que nous gagnions la guerre.

-Earnshaw.
- Oui Monsieur?

- Depuis combien de temps êtes-vous dans le service, Earnshaw ?
- Douze ans, monsieur, en janvier dernier.

- C'est long à rester
un signaleur, n'est-ce pas ?
- Oui Monsieur.

j'aimerais savoir exactement
quel lien tu penses qu'il y a...

entre tirer à la carabine
et l'artillerie du navire ?

- Je ne sais pas, monsieur.
- Non, je ne pensais pas que tu l'avais fait.

Laissez-moi vous dire, Earnshaw.
Rien. Justement rien.

Mais je m'attends à ce que vous sachiez que dans la bataille,
les communications sont tout aussi vitales que l'artillerie.

- Et c'est notre travail.
- Oui Monsieur.

- Voyons, nous le faisons bien. Tout le monde se sent en forme ?
- [Les deux] Oui, monsieur.

Brown, quand Poynter arrive, faites-lui rapport
au S.D.O. Pour les tâches de codage, voulez-vous ?

- Aye Aye monsieur.
- Continuez, s'il vous plaît.

Pourquoi a-t-il toujours
m'arriver ?

Vous voulez apprendre à garder
ferme ta grande gueule, mon pote.

Maintenant, je saigne la bouée de sauvetage
n'explosera pas.

[Coups]

Entrez, John.
Servez-vous un gin et asseyez-vous.

Merci Monsieur.

je viens de faire mon rapport
à l'Amirauté sur mes ordres à Ashley.

- Oui Monsieur. Puis-je vous en servir un ?
- Merci.

Je suppose que si je n'étais pas du genre tempéré
de camarade, je noierais mon chagrin ce soir.

Pourquoi pas? Gin's naval
tuppence seulement une caboche.

Le travail peut être fait rapidement
et à moindre coût, Dieu merci.

Je suppose que c'est possible.
Merci, Jean.

John, toi et moi avons été compagnons de bord
et amis depuis longtemps.

Cela ne me dérange pas de vous le dire pour engager Essen
est quelque chose dont j'ai rêvé.

C'est une expérience très amère d'avoir à envoyer
un navire junior pour faire le travail pour vous.

Oui, Bien sur que c'est ça.
C'est de la malchance pour vous, monsieur.

Le service d'un marin, vous savez, John,
est son seul mémorial.

Je voulais diriger cet escadron
en action contre Essen...

plus que tout
J'ai voulu toute ma vie.

Pour une raison ou une autre,
J'ai l'impression d'avoir raté les grandes occasions.

Ou est-ce que ça le fait
une affaire trop personnelle?

Je ne dirais pas cela, monsieur.
Pas si Horatio Nelson est un guide, monsieur.

- Nelson ?
- Vous souvenez-vous de ce qu'il a écrit une fois, monsieur ?

"Je serai un héros", a-t-il dit...

"et se confiant à la Providence,
Je braverai tous les dangers."

[Saville]
Oui. Fermez l'ennemi. Allongez-vous à côté.

Seulement, j'ai dû envoyer Tom Ashley.

- Votre seule autre action serait
ont risqué le convoi, monsieur.
- Je sais.

Mais je commence à me demander si
Je n'aurais pas dû accepter le risque.

Pour avoir attrapé Essen, l'a détruite-
cela ne l'aurait-il pas justifié ?

C'est forcément
une question d'opinion, monsieur.

Mes raisons de ne pas y aller
étaient suffisamment solides. Je sais que.

Mais n'y a-t-il pas des moments où l'instinct
est un guide encore meilleur que la raison ?

Permettez-moi de vous poser une question, John,
comme un ami.

Monsieur?

A mon poste,
auriez-vous pris le risque ?

- Vraiment, monsieur, comment puis-je-
- Allez, John. Fini avec ça.

Eh bien, oui, monsieur, je l'aurais fait.

Je vois.
Bon, ce n'est pas la première fois...

Je n'ai pas réussi à suivre mon instinct
et j'ai vécu pour le regretter, John.

[Cogner]

Excusez-moi monsieur.
Commandant, monsieur. Rondes, monsieur, s'il vous plaît.

Très bien.

Amesbury et Cambridge
peut encore détruire Essen, vous savez, monsieur.

Oui bien sûr. Je souhaite seulement que j'étais
avec Tom Ashley en ce moment.

- Continuez, s'il vous plaît, Commandant.
- Aye Aye monsieur.

Capitaine, monsieur.
Signal de Cambridge, monsieur.

"Ai aperçu le château de Dunferne
survivants morts devant."

Envoyez la réponse suivante.

Ramassez les survivants et rejoignez,
la plus grande expédition. Arrêt.

Réduction de la vitesse à 15 nœuds.

Maintien du cap actuel.

- Aye Aye monsieur.
- Réduisez la vitesse à 15 nœuds, pilote.

- Oui, oui, monsieur.
- Postes de défense, s'il vous plaît, Commandant.

Aye Aye monsieur.
Sonnez les postes de défense.

[Homme d'équipage]
Oui, oui, monsieur. Révolutions, 1-5-0.

-
- [Homme d'équipage

Au profit de ces membres
de l'équipe de contrôle des dégâts...

qui n'ont jamais été
en action avant...

ce signaleur là-bas se penche sur
ce qu'ils appellent une enseigne de bataille.

Maintenant, quand ça monte,
il y aura trois enseignes flottantes...

et cela signifie
que quelqu'un est pour.

Ils en mettent toujours trois,
de sorte que si l'on se fait tirer dessus...

l'ennemi ne peut pas dire
il pensait que nous avions frappé.

Dans la Royal Navy,
on ne frappe jamais une enseigne, tu vois ?

Alors tu ferais mieux de te décider à être
héros rouges que vous vouliez être ou non.

Tiens, prends ta main
de votre poche, vous.

- Aucun signe de Cambridge derrière ?
- Non monsieur. Pas encore.

- Très bien. Réduire la vitesse à 10 nœuds.
- Aye Aye monsieur.

Je veux qu'elle nous rattrape
avant la tombée de la nuit.

- Révolutions, 1-0-0.
- [Crewman On Speaker] Révolutions, 1-0-0, monsieur.

[Cris de téléphone]

- Très bien.
- [Remplace le combiné]

Navire portant vert-2-0, monsieur.

Stations d'action, s'il vous plaît.

-
- [Sonnerie d'alarme]

- [Cogner]
- [Saville] Oui ?

Rapport d'observation, monsieur.
Amesbury a repéré le voleur.

- Des détails ?
- Non monsieur. Juste un rapport d'observation standard.

- D'accord. Aucun accusé de réception.
- Aye Aye monsieur.

C'est la grande chance de Tom Ashley, monsieur.

Les deux devraient certainement pouvoir
pour manier Essen, malgré ses canons plus lourds.

Toutes choses étant égales.

Pourtant, en ce moment,
Que Dieu le bénisse.

[Les canons du navire tirent]

Nous y voilà.
Il ne perd pas beaucoup de temps, n'est-ce pas ?

[Marron]
Elle est bien au-delà de la portée de nos armes.

Ils nous ont déjà chevauchés.

C'est plutôt du bon tir.

Si nous allons la retenir jusqu'à Cambridge
apparaît, nous devrons la distancer.

- Port 10.
- [Crewman On Speaker] Rort 10, monsieur.

j'ai un sentiment étrange
ça va être un peu louche, mon vieux.

Qu'est-ce qu'ils attendent
pour le haut-

jusqu'à ce que nous soyons assez proches
tirer des arcs et des flèches sur eux ?

[Tir des canons du navire]

- Allez, la fête du feu. Ayez l'air vif. Venez.
- [Explosion d'obus]

Toujours aucun signe de Cambridge, monsieur.

- Éteignez ces feux ci-dessous. Au pas de course!
- [Shell entrant]

Allez.
Entrez là-dedans avec ceux-là.

Allez. Ayez l'air vif
et faire couler ces tuyaux.

N'importe qui penserait que vous étiez un groupe
des estropiés. Hey vous. Thompson.

- Appelez le pont immédiatement. Feu par après magazine.
- Aye Aye monsieur.

Nous ne pouvons pas la distancer.
Elle est beaucoup trop rapide.

Dites à G.C.O. Pour ouvrir le feu
dès qu'elle est à portée.

[Tourbillon du moteur]

- Ils ont touché la tourelle !
- [Explosion d'obus]

- Portée 2-1-5, monsieur.
- Très bien.

[Sonneries d'alarme]

- Attababa !
- Il était temps.

Jerry a dû commencer à penser
nous étions tous paralysés.

Désespéré. Tout court.

- Il va bientôt faire nuit, monsieur.
- Oui, mais pas assez tôt.

Eh bien, si nous ne pouvons pas lui échapper,
nous devons faire l'inverse.

- Tribord 20.
- Tribord 20.

- En avant tous les deux.
- En avant les deux moteurs.

C'est le capitaine qui parle. Jusqu'à présent,
nous avons dû subir toutes les punitions.

[Sur R.A.] Maintenant, nous allons leur donner
un avant-goût de leur propre médecine.

Nous allons droit dans
attaquer avec des torpilles.

Cambridge sera bientôt avec nous.

Essen ne doit pas- je répète-
ne doit pas sortir indemne.

Que chacun fasse son devoir.
Et bonne chance à vous tous.

Apportez tous les tubes lance-torpilles
au prêt.

[Cris de téléphone]

Contrôle des dommages au pont.
Le feu du chargeur arrière est incontrôlable, monsieur.

Incendie près après le magazine
hors de contrôle, monsieur.

- Inonder les magazines "X" et "Y".
- Inonder les magazines "X" et "Y".

Je voudrais aller dans un autre millier de mètres,
mais on n'y arriverait jamais. Attendez-vous à des torpilles.

Feu un !

Feu deux !

Feu trois !

- Toutes les torpilles en marche, monsieur.
- Alors sortons de là. Difficile à mettre en communication.

Tu perds ton temps, Brown.
Il n'y a plus de pont.

Oh, nous l'avons eue, Gloomy !
Nous l'avons eue !

Brown, le Cambridgel Brown !

Le Cambridge, Brown-
[Cris]

[L'obus explose]

C'est le Amesbury.
Elle nous appelle, Yeo.

[Explosion d'obus]

Essen...

appuyez.

Torpille... port.

[Homme d'équipage]
Elle est partie.

- Vous avez une idée de quoi il s'agit ?
- Je n'ai aucune idée. Il se passe quelque chose.

Vous m'avez fait venir, monsieur ?

Oh oui.

Messieurs,
nous venons d'avoir de très mauvaises nouvelles.

Amesbury a été coulé.

Le capitaine Ashley et son équipage...
Sont perdus.

Notre rapport nous dit
Essen a été touché par une torpille.

Je crois qu'elle le fera maintenant
faire l'une des deux choses-

essayer de trouver un endroit
effectuer des réparations...

ou mis dans un port américain
et être interné pour la durée.

De toute façon, elle n'est plus
représente une menace pour notre convoi.

- Chef.
- Monsieur ?

Cambridge suit Essen.

Panne de carburant ou pas de pénurie de carburant, je veux
la vitesse maximale que vous pouvez me laisser avoir.

Aye Aye monsieur.

Nous allons après Essen, messieurs.

Nous allons après elle.
Nous allons la trouver.

Et nous allons la détruire.

C'est tout. Merci.

Amiral. Un toast à Essen.

- Hesse. Le Essen.
- [Homme] Le Essen.

[Cogner]

[Parlant allemand]

Oh, entrez.

Comm.

Avez-vous bu quelque chose de chaud ?

- Oui Monsieur. Merci.
- Vous pouvez vous asseoir.

- [Allemand]
- Votre nom?

[Toux]

Marron. André Brun.

- Qu'es-tu?
- Canadien.

Non non Non. Que fais-tu?
Ton travail.

Signaleur en chef.

Votre vaisseau ?

J'ai dit: "Votre vaisseau?"

Cigarette, Brun ?

Poursuivre.

Non, merci.

Votre vaisseau était le Amesbury, Brown.
Nous savons que.

Que faisait-elle ici...

et où allait-elle ?

Je ne sais pas.

Vous avez travaillé dans les communications, Brown.

Un croiseur ne navigue pas sans but
de l'autre côté du Pacifique, n'est-ce pas ?

tu vas être
longtemps avec nous.

Pourquoi être obstiné et faire des choses
dur pour toi?

La Amesbury n'était pas seule, n'est-ce pas ?

Autant que je sache, elle l'était.

Pourtant, peu de temps après que vous ayez été pris en charge,
nous avons intercepté une radio d'un autre navire de guerre.

C'était quel vaisseau, Brown ?

Je ne sais pas.

Tu veux me faire croire qu'un seul
croiseur léger est venu nous attaquer ? Absurdité!

- Aucun capitaine anglais ne ferait ça.
- Je ne sais pas, monsieur.

Tu en sais beaucoup, Brown.
Si vous en saviez moins, vous parleriez plus.

Le Amesbury n'était pas seul.

Elle faisait partie d'une force plus importante
envoyée pour nous détruire, n'est-ce pas ?

Je ne suis pas tout cela, monsieur.
Je t'ai dit tout ce que je pouvais.

Très bien, Brun.

Tu n'es pas très doué,
mais j'admire ton courage.

Tu peux partir.

[Les deux parlent allemand]

[Allemand]

Hé.
[Allemand]

Ah. Komm hier, du.
Comm.

- [Les hommes d'équipage bavardant en allemand]
- [Crewman] Die Engländer.

[Allemand]

Ja. Ja.

[Expire]

[Allemand]

Angleterre.

- [Allemand]
- Anglais ?

Ja. Angleterre.

[Allemand]

Kaput.

[Allemand]

[Grondissement du tonnerre]

- Schénes Wetter, était ?
- "Plus humide" ?

- Schénes Wetter.
- Oh, oui, la météo.

Oui, très bien pour toi, vieil homme.

Tu serais assez difficile à trouver
par ce temps, n'est-ce pas?

[Allemand]

- Mm-mm.
- Angleterre. Régén.

- [Imite la pluie qui tombe]
- Ah, oui, oui.

Tout comme l'Angleterre, je suppose.

[La cloche du navire sonne]

Comm.

Salut.

Watcha.

- Comment allez-vous?
- Bien...

où était ma jambe gauche
n'est pas trop confortable.

Mis à part cela,
tout ce dont j'ai besoin, c'est de la vieille femme.

Prenons une goutte
de cette eau, veux-tu?

- Bien sûr.
- Ta.

Ta, mon pote.

Vous êtes Brown, n'est-ce pas ?

Ouais. Je me souviens de toi de Pompée
quand tu étais dans le tir à la carabine.

Tu as plutôt bien fait, mon pote.

- Des signaux ?
- C'est vrai.

Ouais je le pensais.

Je suis le sous-officier Wheatley- Stoker.

- Nous les deux seuls?
- Ouais.

[Raille]
Pourquoi ont-ils troublé, je me demande?

Pourquoi n'ont-ils pas fait une belle,
table rase du lot d'entre nous?

Ils ont besoin d'informations, je suppose.

Dès qu'ils m'ont repêché hors de l'eau,
J'ai été hissé avant le capitaine.

Il pense Amesbury
fait partie d'une plus grande force.

Et l'était-elle ?

- Ils peuvent t'interroger aussi, tu sais.
- Moi?

[Soupirs]
Je ne sais rien.

Je travaille dans une chaufferie.

Mais j'aimerais voir ces saignements soufflés
de l'eau. J'aimerais voir ça.

Tu ferais mieux de te mettre en forme rapidement,
Stokes. Cela peut arriver plus tôt qu'on ne le pense.

Ce serait riche, ce serait.

D'abord, Jerry te suce
dans la soupe.

Puis Jerry vous sort de la soupe.

Ensuite, venez vos propres gars
et vous souffler à nouveau dedans.

[ Rire moqueur ] Tu ferais mieux de voir s'ils peuvent
équipez-moi d'une jambe de bois assez rapidement.

Ça pourrait m'aider à mieux flotter.

Cor ! Je dois avoir quelque chose
pour cette jambe.

Salut Fritz.

[Parlant allemand]

[Allemand]

Vous parlez allemand?
Vous comprenez?

Ouais. J'ai travaillé pour la Norddeutsche Shipping Line
un peu avant la guerre.

Oui, je comprends leur jargon, mon pote.

Et je comprends les gens.

Ils vont bien, mais tu ne veux jamais les laisser
monter sur toi. Souviens-toi de ça, fils.

Ils sont toujours susceptibles de vous laisser l'avoir
où tu n'aimes pas ça, tu vois ?

- C'est vrai, n'est-ce pas, Fritz ?
- [Allemand]

Te voilà. Vous voyez?
Il ne pouvait pas être plus d'accord avec moi.

- Capitaine, monsieur.
- Merci.

J'avais peur de ça.
Il vient de Cambridge.

Elle s'est heurtée à un temps sale
et a perdu le Essen.

- C'est délicat, monsieur.
- Oui. Voyons ce que nous faisons maintenant.

- Pilote.
- Monsieur ?

Notre dernier rapport d'Essen lui a montré
sur un parcours nord-est, non ?

Oui Monsieur. Ici, monsieur.

Voyons voir. Si elle continuait
sur ce parcours...

elle sera forcée de se rendre,
et elle ne le fera pas.

Le problème, c'est où irait-elle ?

Où pourrait-elle trouver un abri
pour les réparations ?

A-t-elle tourné vers le nord, pensez-vous, monsieur,
et courir pour Impala?

Non. Trop de trafic.
Elle s'éloignera de là.

Voyons voir.
Le groupe des Galápagos.

Elle pourrait trouver
un mouillage là d'accord.

Très bien, pilote.
Donnez-moi un cours.

Si ma conjecture est bonne,
l'Essen a une très bonne longueur d'avance sur nous.

Mais avec un peu de chance,
nous pourrions juste l'attraper.

- Yoman. Prenez un signal pour Cambridge.
- Monsieur ?

Dites-lui de rendez-vous avec nous
au sud des îles Galápagos.

Donnez-moi un poste, s'il vous plaît, pilote.

[Tourbillonnement du moteur, étouffé]

Stokes.

- Stokes ?
- Bonjour.

Entendez-vous
ces pompes de cale fonctionnent?

Ouais. Elle doit avoir
une proue pleine d'eau.

Et une fuite
dans la cloison d'abordage.

Nous perdons du chemin. Nous avançons plus lentement
que nous ne l'étions hier.

En ce qui me concerne,
elle peut bien couler.

Eh, elle ne coulera pas,
pas à moins que nous rencontrions une autre tempête.

C'est exactement ce que je vous disais.

La façon dont ils conçoivent
ces bateaux aujourd'hui...

avec étanchéité spéciale
compartiments et cloisons-

Oui je me souviens.
Mais pas maintenant, professeur, merci.

Je ne suis pas d'humeur à me concentrer.

- Ouais. Je suis désolé.
- C'est bon, fils.

Tu sais ce que tu dois
faire, n'est-ce pas?

Tu devrais mettre en
pour l'amiral-

tout ce discours sur la tactique
et les cloisons et la balistique.

Qui vous a tout appris de toute façon ?

J'ai été éduquée
sur la marine, Stokes.

- Quoi, ton père, hein ?
- Non. Ma mère.

- Ta mère?
- Ouais.

C'est toute une femme.

Elle en sait plus sur la marine
que la plupart des amiraux.

Cor. Je n'ai jamais connu de filles canadiennes
étaient tellement intéressés par la marine.

Oh, l'anglais de maman.
Tu vois, mon père est mort avant ma naissance...

et elle a quitté l'Angleterre
et est allé au Canada - à Montréal.

Je suppose qu'elle voulait
s'éloigner et oublier.

Il était de la marine aussi, mais...
Elle ne parle jamais de lui, pas même maintenant.

Je suppose que ça a dû être assez dur pour elle,
travailler dans un pays étranger.

Ouais. Elle avait l'habitude de me nourrir la marine
avec ma bouteille.

L'a-t-elle fait maintenant ? Sois un bon garçon et nourris-moi
un peu de cette eau là-bas, d'accord ?

Oh, bien sûr.

[Les moteurs tournent plus fort,
Mourrir]

Hé, c'est drôle.

Les moteurs se sont presque arrêtés.

Nous devons être en eau douce.

[Parlant allemand]

[Officier, membre d'équipage : allemand]

[Éclaboussures d'eau]

[Allemand]

- [Officier, membre d'équipage : allemand]
- [Le télégraphe du navire sonne]

[L'homme d'équipage appelle]

[Allemand]

[Officier, membre d'équipage : allemand]

[L'homme d'équipage appelle]

Eh bien, où en sommes-nous ?

Eh bien, je ne sais pas.
Je ne peux rien reconnaître.

[Allemand]

- [Membre d'équipage : allemand]
- [Sonnerie du télégraphe du navire]

[Allemand]

Nous semblons être
dans une sorte de lagune.

Le canal doit être assez étroit.

Ils ont pris une ligne de la poupe.

Elle ne peut alors plus se retourner.

L'eau doit être trop peu profonde
de chaque côté pour la laisser se balancer.

Blimey, quelle baby-sitter elle serait
si nos gars arrivaient maintenant, hein ?

[Capitaine On R. A : allemand]

Ils croient qu'ils sont suivis.

[Le capitaine continue en allemand]

Que dit-il maintenant ?

Ils doivent faire leurs réparations
et sortir.

Il dit qu'il leur donnera
seulement 36 heures.

- [Le capitaine continue]
- S'ils attendent plus longtemps, ils seront piégés.

[Officier : allemand]

Trente-six heures, hein ?

Si seulement nous pouvions faire quelque chose
pour les retenir.

Je donnerais l'autre jambe
si nous pouvions faire cela.

- [Déchirement du sifflet]
- [Arrondi]

[Homme sur R.A.]
Achtung ! Schiff !

- [Continue en allemand]
- [Membre d'équipage : allemand]

[Bavardage]

[Cliquetis métalliques]

[Membre d'équipage : allemand]

- [Sonnerie du navire]
- [Garde] Komm.

Komm.
[Allemand]

Qu'est-ce qu'ils essaient de faire,
chavirer cette baignoire ?

Ils l'énumèrent
afin qu'ils puissent travailler sur les dégâts.

Ils ne perdent pas beaucoup de temps.
Tu devrais les voir là-haut.

Eh bien, je préfère eux que moi.

Il fait trop chaud.

Dans quel endroit être coincé, hein ?

Pas un souffle d'air,
et pas un pub en vue.

Cor. Ne pourrais-je pas faire
à une belle pinte d'oreille de cochon maintenant ?

Écoute, Stokes.

Je pense que nous pouvons faire quelque chose.

Faire quelque chose?
Faire quelque chose à quoi ?

Pour les retarder - pour les arrêter
de la faire réparer à temps.

Un demi-mois.
Et moi avec une jambe ?

Bien sûr que non. Mais c'était toi
qui m'a donné l'idée en premier lieu.

Tu te souviens quand le capitaine
parlait et tu as dit...

"Si seulement nous pouvions faire quelque chose
pour la retenir." Eh bien, je pense que nous le pouvons.

- Vous vous sentez bien ?
- Oui, bien sûr que je le suis.

Ce n'est pas la chaleur ?
Vous n'avez pas une touche de soleil?

Non. C'est juste que
depuis que tu dis ça...

J'ai regardé autour
et comprendre les choses.

- J'ai une idée.
- Maintenant, attendez une minute.

Tu veux embarquer sur ce vaisseau
en solitaire. Est-ce que c'est ça?

- Je n'y avais pas pensé de cette façon.
- Eh bien, tu ferais mieux.

Il y a une chose cependant.
Supposons que nous ayons réussi à les retarder.

Supposons que nos navires nous rattrapent.

- Et vous?
- Eh bien, je ne serai pas très à l'aise, n'est-ce pas ?

- Je sais, mais tu ne pourrais pas te lever-
- Écoute, fils.

Si je sors de ça, quelle chance
pensez-vous que j'ai...

de reprendre la mer-
sur une jambe et un moignon?

Et j'ai été en mer
depuis que j'ai 14 ans.

Ils me mettraient seulement
sur la plage pour pourrir.

Et je n'aimerais pas ça, tu vois ?

Donc, si vous n'êtes pas complètement
de ton rocker, buster...

vous allez de l'avant.

- D'accord, Stokes.
- Tant que tu réalises ça, quoi que tu fasses...

tu vas prendre
une terrible chance.

Vous vous en rendez compte, n'est-ce pas ?

tu vas prendre
une terrible chance.

Ouais.

- [Sonnerie du navire]
- [L'homme tousse]

- Je pars.
- D'accord, fils.

J'aimerais venir avec toi.

- Surveillez votre étape maintenant.
- Toi aussi.

N'aime pas l'idée
de te laisser tout seul.

N'allez pas vous inquiéter la tête
À propos de moi.

Rappelez-vous juste ce qu'ils ont fait
au Amesbury.

Bonne chance à toi.

[Tousser]

[Marteler]

[Le martèlement continue]

[Le martèlement continue]

- [Hommes d'équipage bavardant]
- [Marteler]

[Membre d'équipage : allemand]

[Le martèlement continue à distance]

[Marteler]

[Perçage]

[Le forage continue]

[Bavardage]

- [Cri étouffé]
- [Crewman s'exclame]

[Allemand]

Schnell

[Le forage continue]

[Coup de feu]

[Coup de feu]

[Les coups de feu continuent]

[En criant]

[Les coups de feu continuent]

[Allemand]

[Allemand]

[Klaxon hurlant]

[Tir de canon antiaérien]

[Les coups de feu s'arrêtent]

[Coup de feu]

[Halètement]

[Allemand, à voix basse]

[Allemand]

[Capitaine sur R.A.]
Marron.

Marron. Maintenant, écoutez-moi, Brown.

je vais te donner
juste une chance.

Nous savons où vous êtes.

Si tu ne sors pas
et rendez-vous immédiatement...

Je vais m'entraîner
mes armes lourdes sur vous.

Maintenant, sortez et rendez-vous.

[Coup de feu]

- [Allemand] Feuerl
- Feuerl

[Allemand]

[Capitaine : allemand]

- [Coup de feu]
- [En criant]

[Coups de feu]

[Les coups de feu continuent]

[Gémissant doucement]

- [Chut]
- Salut Fritz.

Comment va le travail là-haut ?

[Parlant allemand]

Toujours.

La meilleure partie d'une journée.

[Clique sur la langue]
Continue comme ça, buster.

Je dirais qu'il y a trois îles
qui sont les plus probables, pilote-

Chatham, Barrington, Résolution.

- Vérifions-les d'abord.
- Aye Aye monsieur.

- Nous commençons à manquer de carburant, monsieur.
- Je sais, mais on ne peut pas baisser la vitesse.

Notre meilleur parcours
est à travers ce passage, monsieur.

Très bien. Ajustez notre vitesse pour arriver
au large de Chatham Island à l'aube.

Je ferai un signal à Cambridge
lui racontant le plan.

[Capitaine, Officier : Allemand]

[Cliquetis d'objets]

[Allemand]

[frissons]

- [Le cliquetis continue]
- [Officier : Allemand]

[Marteler]

[Cliquetis, Martelage]

[Allemand]

- [Coup de feu]
- [Sifflet coup de sifflet]

- [Coup de feu]
- [Cris de soldats]

[Soldat : Allemand]

[Coups de feu]

[Gémissements]

[Gémissements]

[Gémissements]

[Soldat : Allemand]

[Cliquetis]

- [coups de sifflet]
- [Soldat : Allemand]

[Chuchotement]

[Halètement]

[Soldat : Allemand]

[Souffler du cor]

[Soldat : Allemand]

[Le klaxon continue]

[Le klaxon s'arrête]

[Winch Whirring]

[Homme sur R.A.]
Danger! Bateau!

[Continue en allemand]

Feu!

[Allemand]

[Les canons du navire tirent]

Nous avons dû assommer
sa conduite de tir.

Elle ne s'approche pas de nous.

- Cesser le feu.
- Aye Aye monsieur. Arrêtez de tirer !

[Coque grinçante]

- Préparez-vous à récupérer les survivants.
- Aye Aye monsieur.

[Homme d'équipage]
Allez. Continuez à bouger.

Allez.
En bas, mon pote.

- Continuez. Continuez à avancer.
- Je suis officier.

- Korvettenkapit�n Hesse.
- Très bien. Reste là-bas.

Je souhaite faire un rapport.
Il y a une cote britannique sur Resolution Island.

- Une note britannique ?
- Nous l'avons sauvé de l'Amesbury.

- Oh? Alors j'aimerais savoir
pourquoi vous l'avez mis à terre.
- Nous ne l'avons pas fait.

Il a volé un fusil, s'est échappé
et nous tirait dessus depuis.

- Non.
- Il nous a retenu pendant plus de 18 heures.

Il y a un survivant
de Amesbury sur la résolution.

- Demandez au capitaine si nous pouvons envoyer
un bateau loin et le ramener.
- Aye Aye monsieur.

Je pense que tu ferais mieux de venir
et parlez-en au capitaine.

Allez. Continuez à bouger.

[Le klaxon du navire sonne]

[Les gens bavardent]

[Bavardage]

Eh bien, Brown, félicitations.
Vous avez l'air de nouveau en forme.

- Merci, amiral. Pareil pour vous, monsieur.
- Pas de famille ici, Brown ?

- Non. Il n'y a que ma mère, monsieur,
et elle vit à Montréal.
- Oh je vois.

Elle m'a envoyé un câble merveilleux, monsieur.
C'est vraiment sa journée.

- Sa journée ?
- Oui Monsieur.

Elle m'a formé
depuis le moment où je pouvais marcher.

Avec Mère, la marine était la seule chose
dès le départ.

- Je vois.
- Elle m'ennuyait encore plus
que n'importe quel ancien maître d'équipage.

Apparemment, elle a fait
un bon travail, Brown.

Au fait, je te fais assigner
comme mon signaleur.

Merci Monsieur.
Les commandes sont passées ce matin.

- Vous êtes Brown, n'est-ce pas ?
- Oui Monsieur.

Sa Majesté arrivera
à n'importe quel moment.

Vous serez appelé en premier...

- puisque vous êtes le seul destinataire
de la Croix de Victoria.
- Oui Monsieur.

Amiral Saville, les ordres de chevalerie
sera deuxième.

Merci.

- Vous ferez rapport à bord du navire dans la matinée.
- Oui Monsieur.

Bien. Nous serons en service de convoi
dans l'Atlantique Nord.

- Nous pourrions bien faire escale à Montréal.
- Je l'espérais, monsieur.

- Cela fait quatre ans que je n'ai pas vu Mère.
- Eh bien, ce n'est peut-être pas long maintenant.

- J'espère avoir la chance de la rencontrer.
- Oui Monsieur.

C'est dommage qu'elle ne puisse pas
sois là, Brown.

Elle doit être une femme très remarquable.